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Anonyme (37 ans)
Nationalité Suisse
07 novembre 2019

Bonjour à tous ! Si vous murissez l'idée d'arrêter de fumer, mon témoignage pourra peut-être vous encourager. J'ai fumé de 16 à 36 ans 10 cigarettes par jour, soit pendant 20 ans. J'ai arrêté du jour au lendemain, sans patch et sans substitut. Aujourd'hui, ça fait une année et 7 mois que je suis non-fumeuse et je sais que c'est définitif, tout simplement car je constate que la cigarette n'apporterait rien de plus dans mon quotidien aujourd'hui. Je n'ai plus d'envie de fumer, excepté à de rares occasions d'apéros arrosés avec beaucoup de fumeurs et l'envie passe en quelques secondes. Mon astuce pour arrêter, c'est d'avoir déjà cogité cela depuis longtemps, avec l'envie de retrouver ma liberté. De mon côté, l'envie d'avoir un enfant et de ne pas fumer pendant la grossesse était une motivation supplémentaire. J'ai toujours parlé avec d'anciens fumeurs et récoltés leurs histoires sur leurs manières d'avoir arrêté. Je pensais honnêtement que ce serait très très difficile pour moi et disais que je prendrais tout ce qui existait pour me soutenir si un jour je devais tenter le coup. Je n'ai jamais essayé d'arrêter pendant ces 20 ans et croyais que c'était mission impossible pour moi. Un jour, toute seule dans ma tête comme une grande (:-)), je me suis dit, 'et si c'était maintenant, ce moment où j'essaie' ? J'étais en train de fumer et me suis dit que j'allais voir combien de temps je tiendrais avant d'en allumer une autre et avant que je ne sois dans un état trop critique. Je n'ai rien dit à mon copain ni à personne. J'ai tenu la première nuit et j'ai pensé , 'incroyable ! J'ai passé la nuit !' Puis j'ai continué comme ça, sans me mettre la pression, en me disant que si je refumais c'était pas grave.. juste la curiosité de voir jusqu'à quand je tenais. En fait plus ça durait, plus j'étais fière de moi. C'est comme si je passais un pacte avec moi-même. Je crois que j'ai attendu une semaine avant d'en parler, tout en continuant à dire que je faisais un ptit test, juste pour voir.. Bref, pour moi, le fait de prendre la décision entre moi et moi sans en parler et d'y aller petit à petit a été la solution. Je ne me disais pas que j'allais arrêter, juste que j'avais la curiosité de voir jusqu'à quand je tiendrai avant la prochaine... qui n'est jamais venue ! Bien sûr j'ai plus tard toussé pendant très longtemps (3 mois) et eu plein d'émotions qui sont sorties, mais aujourd'hui, je me sens tellement 'libérée, delivreeeee'! Surtout par rapport à ces fabriquants de mort qui nous manipulent et par rapport aux autres etc. Envolée la culpabilité de déranger avec ma fumée, mon haleine ou mon mégot . Tout est possible. L'idéal est d'écouter votre petite voix et de vous faire confiance. Bon courage et chaleureux messages, Nathalie
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Philippe (47 ans)
Nationalité France
09 août 2021

Quelques mots qui vous aiderons j'espère. 47 ans fumeur depuis 29 ans, en avril 2014 j'en étais à 50/60 cigarettes par jour. Le décor est planté. Déjà 5 tentatives d'arrêts qui ont échoué et voici ma 6e. Mes motivations : des toux continuelles même à ne plus en dormir, devoir m'arrêter 1 a 2 fois pour monter une rampe d'escalier et un pneumologue qui me dit "continue comme ca ... et tu n'en as plus pour très longtemps". J'ai un petit garcon de 14 mois après 8 années d'attente et finalement obligé de passer par un traitement pour voir venir ce petit trésor. Je ne suis que a mon 5e jour sans cigarettes ... et je rame pas possible, les 2 premiers ça a été mais hier et aujourd'hui DUR DUR ... avec le Ziban comme aide. Ce serait comment sans ??? ...Ce qui me motive surtout c'est le fait de prendre conscience c'est toute la joie que me procure mon fiston et je la lui rend en l'empoisonnant a petit feu, volute après volute ... tout ca pour mon plaisir. Quel père suis-je ? Hier matin sur le point de craquer je lis un témoignage sur ce site ou une maman prend la parole a la place de son enfant prématuré qui se trouve dans une situation dramatique. En 1 an je suis a plus de 3500 euros dépensé pour mes cigarettes sans compter les visites chez le médecin, les pastilles contre la toux, les sirops et j'en passe Avec en plus une épouse qui supporte mon tabagisme par amour pour moi. Quel être suis-je ? Je suis à mon 5e jour, j'ai peur de craquer mais je pense a tout ce que je vous écrit et je veux tenir pour leur amour. Je suis avec vous qui êtes ex- fumeur ou qui voulez l'être et mon rêve est de pouvoir vous certifier sous peu que je fais partie de cette famille des ex fumeur. Et je CROIS aux rêves qui deviennent REALITE ... que l'on a RIEN sans RIEN ... mais nos trésors les plus chers ne sont- ils pas justement ceux qui ont été dur à avoir ou à réaliser. Un de mes prochains trésors sera d'être ex fumeur. Amitiés à vous tous.
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Olivier (39 ans)
Nationalité Suisse
12 août 2021

Bonjour, entre la cigarette et moi, c'était une grande histoire d'amour. Je fumais depuis 22 ans et j'ai fait plusieurs tentatives d'arrêt (au moins 6), vouées à l'échec à chaque fois, pourtant j'ai déjà cessé de fumer 2 ans, et puis je persistais à croire qu'une ou 2 clopes par jour ne pouvaient pas me faire de mal, et c'est comme ça que j'ai repris à chaque fois, je ne voulais pas me priver du plaisir d'en griller une avec des amis en soirée ou au boulot, malheureusement cela conduit à la rechute, on en prend une et puis deux et on finit rapidement par en fumer 10 par jours. Aujourd'hui, je ne fume plus, et j'ai bien appris à mes dépends que le vrai truc pour arrêter définitivement, c'est de ne surtout plus y retoucher même des mois ou des années après avoir arrêté. Merci
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Maria
Nationalité Suisse
10 avril 2023

Bonjour à tous! Je voulais faire part de mon témoignage que j’espère pourra vous aider. J’étais une grosse fumeuse depuis plus de 20 ans environ 1-2 paquets par jour… (20-40 cigarettes). C’est ma deuxième tentative d’arrêt. L’année passée j’ai tenu 6 semaines et suite au décès de mon père et problèmes professionnels j’ai trouvé réconfort au près de mon amie toxique: la cigarette. .. inutile de dire que j’ai très vite repris mes mauvaises habitudes… Il y a 18 jours j’ai décidé d’arrêter de fumer, parce que avec mon mari nous essayons d’avoir un bébé et ça prends du temps car j’étais une grosse fumeuse… et aussi j’en ai marre de fumer… Je me suis bien sûre faite aidée par qq séances d’acupuncture de psy et les Patchs un peu sous dosé au début pour ma consommation de cigarettes. Il y a 12 jours soit j6 d’arrêt avec mes béquilles (Patch acupuncture séances psy) le manque est insupportable alors je viens sur ce site pour me motiver… je lis les différents témoignages et au lieu de m’encourager je me sens nulle, pas assez motivée. Plus je lis les témoignages plus j’ai l’impression que ca a été facile pour les autres et moi j’y arrive pas. J’ai l’impression de manquer de volonté…je me dis même la dernière fois c’était plus simple j’avais plus de volonté.., Alors se passa ce qui devait se passer J7 j’ai fait une rechute et j’ai acheté un paquet et je l’ai fumé en entier ….. j8 je décide de ne pas me laisser abattre par cela…je me suis dit je continue peut être ma volonté reviendra…. Alors j’ai continué mon arrêt… La rechute m’a permise de mieux comprendre ma dépendance et de mieux contrer les moments de fortes envies! J’ai aussi réalisé que ce n’était pas un manque de volonté mais seulement une dépendance tellement forte… J’avais associé la cigarette à un support pour surmonter le décès de mon père…. Bref je me perds… Hier j’ai de nouveau eu une grosse crise alors j’ai lu les composants de la cigarette et toutes les saloperies que l’industrie de tabac y met pour nous rendre complètement accro… la dépendance n’est pas seulement au nicotine mais tout ce qui compose la cigarette….a la fin de ma lecture je me suis dit si je veux fumer je devrais avant boire de l’acétone(1 des composants).., ça marche pour le moment … je ne sais pas combien de temps…j’espère pour toujours parce que je veux me libérer de cette prison! Aujourd’hui J18/11 sans une cigarette (oui je compte ma rechute comme faisant partie de l’arrêt ) j’ai envi de dire à celui /celle qui est en difficulté, celui/celle dont le Craving ne passe pas après 3 minutes…, celui/celle qui a l’impression que c’est impossible qu’il /elle n’est pas seul/e. On n’est pas tous armé de la même manière face aux dépendances… la nicotine n’est pas le seul composant de la cigarette qui rend dépendant il y en a d’autre c’est pourquoi les Patch apaisent mais n’enlève pas totalement l’envie. La volonté seule n’est parfois pas suffisante et finalement il/elle gagnera la bataille finale! Force et courage à tous!
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Rosalie (59 ans)
Nationalité Suisse
12 août 2021

A 17 ans je fumais ma première cigarette et j'ai fumé la dernière le 11 juillet 2013 après 32 ans dont 18 mois d'interruption à l'âge de 41 ans. Toute une vie de tabac, la plus ancienne compagne de ma vie....très vite j'ai fumé un paquet par jour et à la fin de ma vie de fumeuse j'étais à plus de 2 paquets 1/2, voire 3 paquets. Lorsque j'ai cessé de fumer à l'âge de 41 ans çà a été plus difficile que maintenant, étrangement. A l'époque j'avais fait un pari avec moi-même:" tu vas t’arrêter; tu vas leur montrer que tu es capable de le faire"; un an et demi après je rechutais: normal, j'avais gagné mon pari, je m’étais arrêtée et l'odeur de la cigarette qu'un ami allumait devant moi était tellement troublante........ Cette fois j'ai décidé de m’arrêter et j'ai mis un an et demi à prendre la décision, à me conditionner, à me convaincre que j'allais me passer de tabac, aussi dur que cela pourrait être. et puis un jour, en naviguant sur le web j'ai trouvé par hasard Stop tabac.ch et je ne l'ai plus quitté. ma décision était prise, il faisait passer à l'acte et c'est stop tabac qui m'a aidé et tous les membres de la tribu qui m'ont aidée patiemment, sereinement et m'ont remonté le moral les jours gris ou noirs. Pourtant si je voulais cesser le tabac, je ne voulais que les autres puissent en souffrir dans mon entourage et par ailleurs je ne voulais pas prendre de poids. J'ai donc utilisé le zyban selon la manière préconisée par stop-tabac et dans les mois qui ont suivi j'ai pris du Prozac pour pouvoir passer les moments difficiles et ne pas remettre en cause ma décision.pour contrôler mon poids, j'ai bu de l'eau pétillante à chaque fois que le manque de "quelque chose aux lèvres" se faisait sentir, je buvais au goulot, comme un biberon j'arrivais à boire 3 litres par jour Voilà maintenant j'ai 59 ans et je découvre des goûts et des parfums comme j'en connaissais dans mon enfance et que j'avais perdus; j'ai retrouvé aussi un souffle perdu, je cours, je marche, je nage, je vis. et les fumeurs à côté de moi ne me gênent même plus. Quand je vois quelqu'un fumer, les femmes surtout, je trouve cela très moche, très laid. je sais et je sens tellement que c'est une drogue que j'ai envie de leur dire:" arrêter de vous détruire" mais nul ne peut faire le bonheur des gens malgré eux aujourd’hui je suis heureuse d’être une ex fumeuse et je resterai une exfumeuse jusqu'au bout.
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LAURLI (54 ans)
Nationalité Francaise
19 avril 2023

Bonjour, bienvenue dans la lutte contre le tabac! Je suis à 100 jours d’arrêt ce matin, Grâce aux patchs, aux pastilles de nicotine j’ai arrêté assez facilement. Mais à partir du 3eme mois, des démons ressurgissent au contact de fumeurs notamment. Alors hop je prends une pastille et ça passe! Oui les envies sont toujours là, mais elles passent et finissent par s’estomper… nous sommes drogués et cette drogue est une « drogue dure » p car la plus addictive qui soit… Courage, grâce aux substituts et à l’application, la motivation est la plus forte! Je veux fêter mon 55eme anniversaire en tant qu’ex fumeuse, car j’ai essayé plein de fois avant mais la c’est la bonne! Rdv a J 180 pour un nouveau témoignage!
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Franck (59 ans)
Nationalité France
14 juillet 2021

Voilà mon expérience personnelle: Bien qu'asthmatique enfant et jusqu’au début de l’adolescence, j’ai fait comme les copains et suis tombé dans le panneau de la cigarette vers 17 ans. A cet âge on manque d’assurance, alors on ne va pas encore en rajouter en se distinguant des autres par le fait de ne pas fumer, on n’est pas un gamin !!! Dans les années 78-80 la cigarette était encore tendance et à la mode. L’époque ou la publicité pour le tabac était partout, dans les journaux en passant par la formule1, les magazines sportifs, le cowboy Marl… Dans les films le héro fumait forcément puisque c’était le héro ! On fumait au bureau, au resto, dans les trains, les avions, les discothèques et les salles d’attente, il y avait des cendriers partout les voitures, les compartiments de trains… Les messages de prévention commençaient tout juste à exister mais on n’avait pas trop envie de les entendre. Je vais avoir bientôt 60 ans et je fume donc depuis 43 ans, malgré quelques arrêts qui n’ont pas duré longtemps. J’ai bien failli gagner cette bataille en 2008 ou j’ai réussi a arrêté, et ce pendant 6 ans. Je pensais bien être tiré d’affaire, mais une période de ma vie accompagnée de relâchement lors de soirées arrosées où on se retrouve entouré de fumeurs et se voit tirer sur la cigarette d’un ami (erreur fatale) s’en suit la rencontre d’une grosse fumeuse et on glisse sur une pente savonneuse jusqu’à la reprise ! Depuis ce jour (2014) j’ai dans l’idée d’arrêter de nouveau puisque j’avais réussi à le faire une fois. Mais je n’ai aucune volonté, je le sais bien ! On entend partout « pour arrêter il faut de la volonté » (c’est surtout les non-fumeurs qui le disent) ignorants ce qu’est l’addiction à la nicotine. Bien que n’ayant jamais été un gros fumeur (une dizaine par jour) je n’arrivait pas à m’en passer et elles m’étaient indispensables, même dans mes activités sportives (Trial moto) qui est assez physiques. Même à bout de souffle, j’étais celui qui allume une cigarette pendant les poses, au moment de se désaltérer, en arrivant sur le terrain, en repartant en fin d’après-midi… A force de me trotter dans la tête cette idée à fini par voir le jour, et je me suis dit qu’il fallait absolument que j’arrête le tabac avant d’être à la retraite. Il me semble plus facile de faire des efforts tant qu’on est en activité, occupé quotidiennement et avec les contraintes liées à la cigarette (poses à l’extérieur obligatoire, limitées dans la journée) ce qui n’est pas le cas lorsque je suis chez moi puisque totalement libre d’allumer une clope avec le paquet sous les yeux et parfois une consommation qui augmente. Le 25 juin 2021 i y a 2 semaines et demi j’avais rendez-vous avec mon généraliste et je décidais de lui demander de me prescrire du Champix, j’en avais entendu parler et un collègue de travail avait arrêté ave ce médicament. J'ai d'abord été effrayé par tout ce que je lisais sur le Champix, la liste d'effets indésirables est si longue que même Tabac info service me l'a déconseillé en disant que la varénicline ne devait se prescrire "qu'en seconde intention" !?! C’est-à-dire réservé aux très gros fumeurs, très dépendants, ceux qui ont tout essayé…. Les cas désespérés ! Devant mon manque de motivation et le plaisir que j’avais a fumer ma cigarette si indispensable après le petit-déj, le café, l’apéro, le repas etc. (et en règle générale j’appréciais les 10 que je fumais puisque justement, je n’en fumais que 10, pas de cigarettes superflues) Je ne voulais pas passer par la méthode douce encouragée pas Tabac info service : les substituts Nicotiniques, gommes à mâcher, patchs… Il me fallait une méthode radicale même comportant « quelques » risques. Je me suis dit que c’était le prix à payer pour me débarrasser de ce fléau et j’avais vu trop de personnes autour de moi échouer avec les substituts pour recommencer après quelques temps. J’avais moi-même expérimenté cette méthode il y a quelques années sans succès. La cerise sur le gâteau à été la réaction de mon médecin. Il a presque sursauté en entendant le mot Champix ! Il me répond : « NON, je ne prescrit pas de Champix. Je l’ai fait 4 fois dans ma carrière et j’ai eu 2 fois des problèmes. Une patiente a voulu sauter par la fenêtre ! « Vous avez essayé l’hypnose » ? Evidement tout ceci n’était pas en mesure de me rassurer, mais j’insistais argumentant que je n’étais pas fragile, ni physiquement, ni psychologiquement et que les effets indésirables sont potentiels, pas systématiques. Le lendemain samedi 26 juin je passe à la pharmacie et prends ma première dose de Champix à 11h du matin (0,5 Mg le matin pendant les 3 premiers jours du traitement) avec le même enthousiasme qui si j’avalais une pilule de cyanure ! Je rappelle que ma consommation quotidienne est de 10 cigarettes, parfois je débordais 11 ou 12. L’après-midi je pars faire du sport et ne change rien a mes habitudes, le samedi soir je n’en avait fumé que 8 ! J1 : 0,5 Mg matin = 8 cigarettes J2 : 0,5 Mg matin = 6 cigarettes J3 : 0,5 Mg matin = 5 cigarettes J4 : 0,5 Mg matin/soir = 5 cigarettes J5 : 0,5 Mg matin/soir = 4 cigarettes J6 : 0,5 Mg matin/soir = 4 cigarettes J7 : 0,5 Mg matin/soir = 3 cigarettes J8 : 1 Mg matin/soir = 1 cigarette J9 : 1 Mg matin/soir = 0 cigarette J10 : 1 Mg matin/soir = 0 cigarette…. Depuis dimanche 4 juillet je n’ai plus fumé de cigarette, nous sommes le 14 ça fait dix jours. Les dernières avaient un gout moins agréable qu’habituellement. Je ne sais pas encore si c’est gagné, l’envie de fumer me traverse quelques fois l’esprit dans la journée mais ça ne dure pas et je tien bon. J’ai envie de dire, c’est là que la volonté entre en jeu : Quand on a fait une partie du chemin, au prix de quelques efforts (largement aidés par le médicament) il ne faut pas renoncer et faire demi-tour. En dehors des rêves complètement dingues qui ne sont pas des cauchemars (presque amusants, j’ai revu des personnes totalement disparues de ma vie et de mes pensées) des nuits entrecoupées et une certaine fatigue sans doute liée a mon activité cérébrale nocturne et aux moments de réveil successifs qui rendent les nuits moins réparatrices, quelques fois une légère nausée (pas méchant, ça passe) et occasionnellement une sensation de vertige (comme quand on a fumé un joint, pour ceux qui connaissent) pas plus d’effets indésirables. Je ne peux en rien préjuger des réactions de chacun, mais pour ma part le rapport bénéfice risque est sans appel, totalement positif ! J’ai lu que le traitement pouvait durer jusqu’à 12 semaines. Mon médecin m’a prescrit deux boite de 14 jours donc 28 J. Je suis au 18 jours et je pense avoir fait une partie du boulot. Je crois que 4 semaines de traitement devraient me suffire, si j’ai tenu 3 semaines sans fumer je suis sur la bonne pente. Pour moi qui ait déjà arrêté, c’est la règle des 3 qui s’applique : 3 premiers jours, une bataille de reportée, 3 premières semaines, une seconde, et si on a tenu 3 mois c’est presque gagné ! J’envisage de diminuer la dose par 2 la dernière semaine du traitement (semaine prochaine) 1 Mg seulement le matin (au lieu de 1 matin / 1 soir) et ainsi prolonger d’une semaine le traitement en réduisant le taux de varénicline progressivement. Je verrais si le besoin de nicotine refait son apparition, mais j’ai bon espoir. Je ne sais pas si ce témoignage sera utile a quelqu’un, mais quand je pense a toutes ces journées sans tabac et me dit que je suis entrain d’entrer dans le monde des non-fumeurs, ceux qui ont plus de souffle, qui ne sont plus esclaves de cette M… et tous ces euros que j’économise (pour info le médicament est totalement remboursé avec la mutuelle) je n’ai plus qu’une seule chose à dire : MERCI CHAMPIX .
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Anonyme (59 ans)
Nationalité belge
05 janvier 2021

Bonjour à tous! Je devrais commencer mon traitement à partir du 7 janvier parce que le médicament n'était pas de stock à la pharmacie. De fait, je visite quelques forums de discussion et suis un peu surpris de voir la quantité de gens qui se plaignent des effets secondaires du CHAMPIX. Personnellement, je n'irai pas lire la notice pour y relever les effets indésirables résultant de la prise du traitement, j'ai bien compris qu'elle doit être longue. Mais, à tous les détracteurs, si vous êtes tellement inquiets, avez vous déjà pensé à lire la liste des effets secondaires du tabagisme? J'ai bientôt 60 ans et j'ai commencé à fumer à l'âge de 14 ans. Honnêtement, je n'y trouve plus aucun plaisir depuis bien longtemps, c'est juste une sale habitude qui m'a probablement pourri la vie. Si je décide aujourd'hui de tenter sérieusement d’arrêter de fumer, c'est principalement parce que je sais que moi et mon entourage avons beaucoup à y gagner. Retrouver le parfum des fleurs, retrouver le goût des bonnes choses, pouvoir jouer avec les petits enfants sans être essoufflé après 15 mètre de course, voilà des petits bonheurs de la vie que j’aimerais retrouver. Même si je devais souffrir de quelques désagréments en cours de traitement, je suis convaincu que, au bout du chemin, j'en sortirai grandi et certainement plus heureux. De ma vie, c'est la première fois que je laisse un message sur un site tel que celui ci, je suis généralement discret mais, je voudrais que ceux qui veulent tenter leur chance prennent conscience que, même s'il y a de mauvais effets secondaires, ils ne seront JAMAIS aussi néfastes que ceux du tabac. peut-être qu'un jour, dans un futur relativement proche, je laisserai à nouveau un message ici pour partager mon expérience. En attendant, je souhaite bon courage à tous les candidats (à commencer, égoïstement, par moi même). Soyez heureux.
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Anonyme (65 ans ans)
Nationalité française
01 novembre 2023

J'ai arrêté le tabac grâce à la natation. Jeune je pratiquais la natation sportive en participant à des championnats de France catégorie jeunes et finissant régulièrement dans les 10 premiers de ma catégorie d'age. J'ai fumé environ 35 ans entre 10 et 15 cigarettes quotidiennes. Un jour, accompagnant mon fils à la piscine pour faire quelques longueurs avec lui, un MNS a remarqué que j'avais sans doute été nageur. Il m'a proposé de reprendre la natation. J'ai accepté me disant que peut être ce serait une bonne occasion de cesser définitivement la cigarette car malgré plusieurs tentatives je n'y arrivais pas. J'avais alors 57 ans. Dès les premiers entrainements l'envie de fumer s'est réduite. Je suis passé de 15 à 4 cigarettes par jours. J'avoue que j'ai craché mes poumons pendant les premières semaines. Et deux mois j'avais totalement arrêté de fumer... Je n'ai pas touché une cigarette depuis décembre 2015... Je m'entraine 4 fois par semaine à raison de 12 à 15 kms et tout en travaillant encore à mi temps car je suis désormais en retraite. Je suis même monté sur les podiums des championnats de France catégories C8 (60/64 ans) et C9(65/69). Mais l'essentiel n'est pas là. Il réside dans le fait que je ne fume plus et surtout que je n'y pense plus... C'est super sympa... J'ai même oublié que j'étais fumeur.
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mimosa (36 ans)
Nationalité française
03 avril 2023

J'ai arrété de fumer il y a 2 mois, je ne compte plus les fois où j'ai arrété mais cette fois je veux que ce soit la dernière. Je ne veux plus retomber dans ce piège, je le connais par coeur, j'en connais tous les rouages, toutes les subtilités, j'ai pris le chemin de la paix et je ne veux pas me perdre encore dans des impasses sordides. Alors oui, il y a cette pollution dans mon cerveau qui est encore présente, cette tentation dans un coin, cette illusion qui est si bien déguisée mais j'espère qu'à force de prendre le temps de la regarder dans les yeux et de la démasquer à chaque fois qu'elle se pointe devant moi, je saurai la voir toujours telle qu'elle est : une sordide illusion capitaliste. Je suis à fond avec quiconque essaie d'arrêter de fumer, vous avez tout mon soutien, c'est vraiment pas dur, il s'agit de choisir la paix et de savoir y gouter suffisement pour ne plus jamais vouloir autre chose!
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Georges (67 ans)
Nationalité Allemagne
09 août 2021

Je fus un fumeur invétéré, et au moment de ma prise de décision d'en finir avec le tabagisme je consommais deux paquets de cigarettes par jour...Et de ces cigarettes de tabac brun qui empestent, sans filtre, celles-là qui étaient distribuées dans l'armée dans les années"60". Conscient des désagréments que générait mon comportement auprès de mon entourage, du mauvais exemple que je donnais à mes enfants, des effets néfastes sur ma santé (et nous n'évoquions pas à l'époque la notion de tabagisme "passif"!) et surtout la stupidité de mon geste, j'ai pris la décision de mettre fin " à la cigarette"; Il a fallu franchir la pas. En complément de mon analyse j'ai estimé que je n'appréciais en fait que quatre à cinq cigarettes par jour sur la quarantaine consommées, et que dans la mesure où j'arriverais à résister à celles-ci le combat serait gagné. Par ailleurs j'acceptais de moins en moins l'ineptie de ce geste dans lequel par amour propre je refusais de me reconnaître en lui... Fort de ces arguments, et étant conscient que le principe du "tout ou rien" était le seule valable, profitant d'une période de congé, j'ai mis fin, du jour au lendemain, à ma pratique. Clés de la réussite après la prise de décision: * savoir résister aux quatre ou cinq cigarettes qui nous semblent impératives ( le matin, après les repas..). Il faut savoir alors endurer l'envie durant une à deux minutes par cigarette, et se divertir pendant ce moment là. Au bout de quatre à cinq semaines l'intensité du besoin s'estompe pour disparaître complètement au bout de deux à trois mois. * avoir une volonté sans faille, ne plus accepter de porter une cigarette aux lèvres * faire de l'exercise physique * refuser de penser que nous sommes des victimes de la société et que le tabac (pour ne parler que de lui) nous permet de combattre le spleen. Après mon expérience, j'ai la conviction que seule la volonté et le bon sens permettent de mettre un terme à l'habitude de fumer. Je ne peux que laisser aux lecteurs de mon témoignage, le soin d'imaginer quels peuvent être mes sentiments envers les "patchs" et autres méthodes d'hypnose proposés par ci par là, et qui couvert d'apporter une solution aux inconditionnels du tabac recèlent une action commerciale très lucrative. Cependant, si l'une d'elles peut permettre d'aboutir, pourquoi pas! mais je reste convaincu que seuls la volonté et le bon sens constituent la clef de la réussite. Et que dire des belles sensations que le tabac nous a occulté durant toute la période où nous en sommes les victimes et que nous découvrons à nouveau dés qu'il a fini de sévir!
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Alinah (26 ans)
Nationalité France
15 avril 2021

Bonjour à tou.te.s, Cela va faire 1 an que j'ai arrêté de fumer quotidiennement. Je fumais depuis 9 ans en moyenne 10 cigarettes roulées par jour, je m'étais faite ma meilleure alliée psychologique pour palier à mon mal- être. D'années en années, je sentais mon corps se fatiguer plus rapidement, une toux perpétuelle, une peau sèche... Je ne voulais pas mourir du tabac, car je sentais bien que le tabac m'enlevait mes forces. Pendant le premier confinement, j'ai décidé que j'arrêterais le tabac. La première semaine, je me suis autorisée une cigarette par soir, puis la semaine d'après plus rien. Comme nous ne pouvions sortir de chez nous, ça m'a aidé à m'apaiser et à enlever les envies fortes qui peuvent subvenir quand nous sommes dehors par stress, occupations, contenance... Pour palier au manque, je me suis mise au sport, j'ai cuisiné, j'ai mis mon activité autre part. Dès qu'une envie devenait trop forte, je faisais le ménage, je prenais une pilule de fleur de bach, une gomme nicorette, je faisais des exercices de sophrologie pour m'apaiser. En 1 an, je peux dire que je n'ai presque jamais envie de fumer. Je suis très heureuse d'avoir arrêté, je perds moins mon temps, j'ai récupéré toutes mes facultés physiques et je me sens mieux psychologiquement car même si nous croyons que la cigarette noue apaise, elle nous stresse car nous sommes conscients qu'elle nous détruit mais nous préférons vivre dans le déni, ce qui créé une cassure psychologique. Bref, j'encourage tous ceux qui souhaitent à arrêter car votre réalité deviendra plus belle et plus saine. Courage à tou.te.s, avec tout mon soutien.
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Anonyme (54 ans)
Nationalité Française
19 mars 2020

Bonjour à tous, En plein confinement de coronavirus, je viens de recevoir un message de félicitations, pour 1 an d'arrêt du tabac. Percée de ciel bleu: un sentiment de joie se mêle à celui, très fort, de gratitude pour l'équipe qui a conçu et anime le site. Après 35 ans de consommation, 20 ans de très grosse consommation et de dépendance ++, plusieurs tentatives d'arrêt et un certain découragement, j'ai trouvé la capacité de surmonter toutes les difficultés que j'avais déjà rencontrées. Aidée des patch mais surtout soutenue par le site, ses articles d'info, les tests pour faire le point et voir sa progression, les astuces et techniques: enfin des spécialistes, fins connaisseurs de l'addiction, prennent en compte les épreuves que tu vas subir, t'aident à t'y préparer, à t'armer pour les affronter, et à renforcer tes capacités pour les surmonter. Un entrainement technique, psychologique, une transmission pleine et entière des connaissances que tu peux acquérir sur ce dont du es l'objet (identifier les mécanismes de l'addiction, repérer les symptômes, les accepter, les surmonter), identifier les risques de rechute pour élaborer des techniques personnelles pour s'y préparer...) Autant de connaissances que tu vas pouvoir mettre au service de ta capacité à agir: tu deviens ton propre médecin, l'acteur de ton arrêt. Un sentiment de fierté, de victoire, un gros coup d'amour propre. Du coup en plein arrêt, j'ai affronté 2 inondations d'appartement, un déménagement d'urgence, une maladie cardio vasculaire liée à la conjugaison du tabac et du cholestérol, dont les symptômes se sont déclarés après l'arrêt, un accident chimique environnemental très grave (Lubrizol), et maintenant le coronavirus, comme vous. Parfois encore, je fumerai bien une petite clope, pour m’asseoir et me dire, ouahou. Mais je sais ce que c'est: le besoin de la petite récompense chimique. Et je sais aussi qu'une autre récompense fonctionne tout aussi bien, ou mieux dans la durée. PS: je ne me suis pas pesée mais je n'ai du prendre que 2 ou 3 kilos, perdables si je me bouge un peu plus. Mais j'ai totalement éliminé les graisses animales de mon alimentation, devenue presque végan par nécessité de combattre le cholestérol. Autre appui et pas des moindres: les patch pendant presque 5 mois quand même, et surtout la découverte du Yoga, un soutien très utile pour réapprendre à être en vie, à respirer, à gérer ses angoisses, les insomnies, puis plus tard accompagner ce changement de vision de soi, changement de vie.je souhaite aussi remercier les personnes qui ont laissé leur témoignage, première porte d'entrée vers le site. Ceux que j'ai lus m'ont redonné confiance dans le fait que c'était possible et m'ont aidé à re-décider d'essayer d'arrêter: si j'ai pu, vous le pouvez aussi, ce n'est que du bonheur de franchir les étapes vers la sortir de cette spirale étouffante de l'addiction au tabac. Merci à toute cette communauté humaine virtuelle réunie dans cet échange. Le site fait ici une belle démonstration du rôle que peut jouer le numérique pour les progrès de l'humanité ;) Espérant éveiller en vous le désir de commencer votre arrêt, vous y retrouverez votre amour propre, confiance en vous, et une deuxième vie toute neuve. Stop-tabac.ch vous mettra sur la bonne voie pour retrouver les capacités que le tabac vous a ôtées.
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Anonyme (52 ans)
Nationalité France
26 février 2020

Bonjour, voilà nous y sommes ! 30 jours sans tabac ce jour ! Je n'aurais jamais pensé que cela aurait été si facile, nous vivons dans la peur du 'Que sera ma vie sans cette cigarette ?!" Pourtant après tant d'années d'amitié et complicité, j'ai réussit à cette envie sans substitut ni autre complément. Ce qui a fait le déclic de cet arrêt c'est le début d'une grippe qui s'est vite terminé en 'J'ai plus envie ni besoin de fumer'. Je me suis nourrie d'articles de témoignages, tous les matins à mon réveil, lorsque l'envie se faisait sentir...Et je me suis rendue compte ! Que ce n'était plus une peur de ne plus avoir cette cigarette mais la peur de fumer une cigarette et de remettre de la nicotine dans mon corps qui m'a fait tenir jusqu'à ce jour ! Comment je vois la suite ? Tout simplement en continuant sur ce chemin que je me suis décidée sans tabac mais avec des chemins de fleurs afin que je puisse sentir de nouveau la beauté de la terre. Ne lâcher rien !! Continuons ensemble ça en vaut la peine ! Même des collègues au travail me rejoignent a cette date où les cigarettes vont prendre encore une claque ! C'est à dire ! d'ici quelques jours ! Bon courage à nous tous !! Soutenons nous et merci pour tous ces supports d'internet qui nous permettent de s'aider.
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Jeff
Nationalité Française
14 juin 2023

Hello à tous et voilà un an déjà j y suis arrivé ça n'a pas été facile loin de là parce que se passer de sa bonne vieille cigarette quand on fait une pause café, ou avec un bon petit whisky coca ou en soirée avec des potes c'est dur ...très dur... Mais j'ai tenu bon ,surtout les deux premiers mois après il fallait juste que je gère... Je me félicite tous les jours d'y être arrivé et je vois que dans le regard des autres surtout ceux de mes enfants... J y vois de l'admiration... Et mon compte en banque me dit merci tous les jours 4000 € par an rien qu'en clos en comptant un paquet par jour... Ce n'est pas négligeable multiplier ce chiffre par x années...??? Mais bon j'espère ne plus retomber dans ce piège dont je me suis sorti... Vive la liberté....à tous ceux qui se lancent dans cette aventure tenez bon vous y arriverez....
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Foutricket (27 ans)
Nationalité France
23 avril 2023

Boujour a tous :) J'ai commencer la cigarette vers 18/19 ans, ayant au debut une consommation de 5 a 10 cigarette par jour, elle est passée par la suite de 15 à 25 cigarettes par jour. Je suis parti par la suite en Nouvelle Zelande et en Australie, la bas le prix des cigarettes est astronomique !!! J'ai cependant continué a fumer pendant quelque mois, ayant plus un dollars en poche du a des imprévus, j'ai du arreter la cigarette, les debuts etaient tres difficiles, symptomes de depression, fatigue, insomnie et nerf a vif. J'ai repris apres 20 jours d'arret. Quelque temps plus tard je me suis mis a vapoter la cigarette electronique avec du liquide qui contenait de la nicotine, le prix etait beaucoup plus aventageux car j'etait encore en Australie, la transision s'est fait assez vite, cependant il m'arrivait souvent d'utiliser du tabac pour fumer du cannabis. Apres quelques annees de vapotage, ma cigarette electronique a rendu l'âme ce qui ma donner l'idee d'arreter definitivement la nicotine. Cela fait maintenant 1 mois que j'ai arrêté la nicotine, et j'ai remarqué que le sevrage à la cigarette electronique est beaucoup plus simple ! Et les effets du sevrage etaient moindre puisque je n'avais que l'appetit et l'insomnie seulement ( qui dura que 10 jours avant de disparaitre) etonnamment je n'ai eu que très peu l'envie de fumer ou de vapoter. Pour conclure je dirais que la cigarette electronique ma permis d'arreter assez facilement l'addiction à la nicotine et je le recommande à n'importe quel fumeur !
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Bella (64 ans)
Nationalité Francaise
28 octobre 2022

Un grand merci grâce à votre soutien j ai arrêté définitivement de fumer (12 cigarettes)par jour depuis 40ans!!!!!!j ai fais une et une seule séance de laser pour me donner toutes les chances de réussite et ça a marché !!!!!voila un an est passé plus d envie plus de manque et surtout PLUS de toux !!!!!!!suis ravie et fière de moi🤪🤪🤪
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Anonyme (40 ans)
Nationalité Française
07 juin 2021

Bonjour, je prends du champix depuis MAI 2021. Après plusieurs tentatives avec des substances nicotinique. Ayant envie de m arret et motivé l arrêt tabac. Cependant au bout d environ deux semaines. Pour moi les effets secondaires ont etait rapide. Insomnie, agressif envers moi-même, pleurer sans raison. Dépression s est installée. Puis un sentiment d être perdue et incoppehantion des autres. Maladie sous adjacente epileptique. Côté tabac plus d envie. Mais la dépression pour moi à remplacer le tabac. Je conseille toutes personnes fragile un temps de réflexion, avant de ce lancer dans se type de médicament. Car pour moi la nuit je me réveille pour pleurer ainsi, d une espèce impression que tout le monde veut nous manipuler. J attend 2 semaines, Mai je pense sérieusement arrêter champix. Courage à tous.
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Anonyme (56 ans)
Nationalité Française
15 janvier 2021

Je viens de passer le cap des cent jours sans une cigarette et je suis fier de moi tout en étant encore surpris voire incrédule d’y être arrivé! Je sais que la route est encore longue (il m’arrive régulièrement de rêver que je fume par exemple) mais ma détermination reste totale. Alors comment ce miracle s’est-il accompli après 40 années de tabagisme et en moyenne 40 cigarettes par jour? Tout d’abord prise de conscience d’un état de santé en dégradation exponentielle avec en particulier une toux grasse incessante. Consultations médicales pour une hypertension faible mais bien présente et nouvelle, réalisation que l’effort physique devient de plus en plus pénible et autres signes désagréables: je me persuade que l’origine de ces désagréments vient du tabagisme. Je me forge une stratégie pour essayer ce que je crois être le plus adapté dans mon cas (et attesté par une ancienne collègue comme étant efficace): le CHAMPIX Comme prescrit, prise des premières pilules 2 semaines avant la date choisie. À cette date je pars de bon matin en voyage chez un vieil ami non fumeur avec qui je passe les trois premières semaines de sevrage avec un régime alimentaire sain, une activité physique quotidienne (marche) et nombre d’activités touristiques et sociales. De retour à mon environnement habituel j’ai réussi à maintenir le rythme et à graduellement abandonner sans presque m’en apercevoir la prise quotidienne des 2 pilules avant le terme de la prescription normale. Le médicament n’a pas provoqué d’effets secondaires indésirables dans mon cas. Bref, pour l’instant ça marche et je croise les doigts pour ne jamais succomber de nouveau à la tentation nicotinique... Ce qui est primordial c’est la démarche intellectuelle, tout se joue dans la tête. Conviction, auto persuasion, se défier soi-même...l’encouragement et l’appui de l’entourage qu’on peut solliciter en dévoilant ouvertement le défi d’arrêter sont évidemment un bonus. Bon courage et bonne chance à tou.te.s! PS: merci à stop-tabac.ch 😉
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Anonyme (34 ans)
Nationalité française
07 décembre 2020

Bonjour, à mon tour de laisser mon témoignage car cela fait maintenant 3 mois que j'ai arrêté de fumer. J'ai eu envie de laisser mon expérience pour les personnes qui ne se sentent pas capables d'arrêter, qui pensent que la cigarette est plus forte qu'elles-mêmes; En effet, j'ai arrêté de fumer sans réelle envie, sans volonté, sans conviction, bref, sans être prête du tout. Je fumais depuis l'âge de 14 ans, au début j'avais mes petits paquets de 10 qui me faisaient 2/3 jours, et je suis très vite passé à un paquet de 20 cigarettes par jour. environ 1 paquet par jour, pendant presque 20 ans, sans jamais ne serait-ce qu'avoir l'envie d'essayer d'arrêter. Je me suis construite avec la cigarette, elle faisait partie de ma personnalité. Me retrouvant sans travail il y a quelques mois, et mon conjoint fumeur (mais beaucoup moins que moi) souhaitant arrêter, je me suis dit que c'était pour moi le moment ou jamais de faire une tentative puisque je n'avais plus le stress du travail, ni la tentation (collègues fumeurs). Alors un peu comme ça, je me suis dit: "fini ton paquet, et puis tu arrêtes, au moins ce laps de temps sans travail sera utile pour ta vie". Je n'avais pas du tout confiance en moi, je pensais bien sûr ne pas être capable de tenir plus de 2h. J'ai donc filé à la pharmacie acheter des patchs, des bonbons à la nicotine; sur internet acheter le livre d'Allen Carr, et au bureau de tabac acheter une petite cigarette électronique à cartouche! Malgré tout cet attirail, le soir même je pleurais toutes les larmes de mon corps en rêvant de redevenir une fumeuse qui s'assume (pfff, quelle bêtise, c'est comme si on disais "oui oui je sais que je vais mourir et je vous emm****!). ça a été vraiment très dur, mais je voyais chaque jour comme une victoire, comme un pas de plus vers une guérison. Je ne me suis presque pas servi des bonbons, les patchs pendant environ 1 mois et demi mais ensuite j'ai dû arrêter car je ne sais pour quelle raison, ils se sont mis à me faire des allergies insupportables, alors qu'au début je n'avais pas de problème. aujourd'hui je me sers encore de ma cigarette électronique, mais peu (une cartouche de 1.5mL me fait une semaine); elle est nulle cette e-cig et c'est volontaire! :-) je ne risque pas de trouver le vapotage aussi voire plus cool que la cigarette, car mon but est de me séparer aussi de la e-cig. Clairement pour moi, la partie n'est pas encore gagnée, car ma tête n'arrive pas à faire le travail de me détacher de cette cigarette, je me vois encore comme une fumeuse, je suis encore une septique des maladies causées par le tabac alors que j'ai les preuves sous le nez, je trouve toujours l'odeur agréable quand je croise un fumeur... Le chemin sera encore long et je suis restée dubitative concernant le livre d'Allen Carr, peut-être qu'il me faudra une relecture. Mais n'empêche "Je l'ai fait! , j'ai arrêté de fumer!" A moi la liberté de ne plus me préoccuper de mon stock de cigarettes, des horaires d'ouverture du bureau de tabac, d'être suffisamment en avance à un rendez vous pour avoir de le temps de "fumer ma clope", de laisser ma fille toute seule dans le salon pendant que je sors fumer dans le jardin, et j'en passe. Beaucoup de grands changements pour moi, j'ai un peu l'impression de m'être menti à moi-même depuis toujours et d'être aujourd'hui en train de construire une autre vie, que cette fois j'aurai choisi...
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Anonyme (37 ans)
Nationalité Française
28 novembre 2020

48 jours aujourd’hui ! Je fumais depuis 20 ans environ 1 paquet par jour. Aux personnes qui m’ont dit j’ai arrêté de fumer comme ça du jour au lendemain sans problème ou ceux qui disent c’est trop facile. Je réponds non ! On dit que c’est dans la tete mais on ne parle jamais du manque à l’intérieur de soi, le manque que réclame ton corps après 20 ans de cigarettes. Après 48 jours, je veux vous parler de mon expérience. Pendant une petite semaine, l’envie dure quelques minutes puis plus tard c’est des secondes pour en arriver à une petite pensée. Voilà où j’en suis aujourd’hui. Ma tête a decidé, mon corps doit l’accepter. Bon courage à toutes et à tous. Soyez fort ! Le chemin est long mais à la fin on y gagne. Cette sensation de liberté est géniale !!
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Anonyme (43 ans)
Nationalité Française
25 novembre 2020

Bonjour, Je viens de lire quelques témoignages et cela m’a donnée envie de partager aussi mon expérience. J’ai arrêté la cigarette depuis presque 5 semaines. J’avais précédemment arrêté plusieurs fois mais en définitive sans que ce soit moi qui l’avait réellement décidée, les causes étaient mes maternités, une intervention chirurgicale, du coup reprise derrière de la même façon que lorsqu’on commence à fumer. D’abord une cigarette lors d’une soirée puis deux puis juste une par jour, puis deux ... et le rythme, sans que je m’en rendes compte est revenu. J’avais tellement honte de moi que je me cachais souvent de mon mari ou de mes enfants. Quelle vie ! Alors il y a environ deux mois j’ai appelé un Tabacologue, j’ai pris rendez vous et là, en fait je me rends compte aujourd’hui que j’avais fait le plus dur car j’avais pris LA décision. J’ai mis des patch qui j’en suis sûr m’ont bien aidée mais j’ai commencé à en oublier certains jours et cela fait maintenant 4 jours que je n’en mets plus, je ne le fais pas exprès mais je n’en ressens plus le besoin la journée, je suis bien tout simplement. Par contre je dors très mal, mon Tabacologue me dit de ne surtout pas les arrêter mais moi j’ai envie de me sentir complètement libre de cette emprise nicotinique. Je sais que je ne reprendrais pas et j’ose le dire, chose que je n’aurais pas fais les autres fois car aujourd’hui c’est moi qui l’ai décidé. Je suis moins patiente qu’avant mais d’après mes proches pas désagréable du tout, mes enfants sont ravis . Je bois beaucoup de tisane, je mange également beaucoup de pommes et je fais plus de sport, en bref que des bonnes choses pour ma santé et mon bien être. Je suis heureuse de vous avoir lu et heureuse d’avoir pu écrire, cela doit être effectivement une bonne thérapie, merci de pouvoir nous le permettre.
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Anonyme (35 ans)
Nationalité Français
11 novembre 2020

Bonjour, Je souhaite simplement passer un message d'encouragements à toutes celles et tous ceux qui se lancent ou qui sont dans le doute. J'ai arrêté depuis 311 jours selon mon compteur (bientôt souffler la 1ère bougie lol). Aujourd'hui et depuis plusieurs mois, je n'ai plus aucun manque. Une envie parfois se fait sentir mais il est simple d'y résister et ça passe vite. Ce qui m'a permis de réussir a été le soutien inconditionnel de ma femme et mes enfants. Ils ont fait le dos rond pendant 1 mois, le temps que mon mauvais caractère passe... Une vraie vigilance pendant les 3 premiers mois car les envies étaient fréquentes et la lecture régulière des témoignages sur ce site. Bon courage, l'arrêt de la clope est forcément la bonne décision, pour vous et pour vos proches. Le premier mois est vraiment dur à passer (manque physique et psychologique) ensuite un peu de persévérence pour continuer à ne pas toucher une cigarette et après 1 trimestre vos pensées et habitudes auront changé. Au moins, c'est mon cas et je fumais plus de 20 cigarettes par jour. Je vous souhaite courage et réussite !
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Anonyme (58 ans)
Nationalité Francaise
24 juin 2020

Bonsoir Je viens de recevoir un mail de Stop-tabac.ch : j'ai arrêté de fumer depuis 3ans et 35 semaines, j'ai économisé 7000 euros. J'ai l'habitude de résumer mon sevrage tardif (54 ans) ainsi : 1) une amie a cru en moi en m'accompagnant acheter une cigarette électronique 2) j'ai été presque immédiatement malade en vapotant (sans satiété) trop longtemps - je n'ai donc pas pris de substitut- cet écœurement à la nicotine m'a aidé à passer les premiers jours pratiquement sans sensation de manque 3) je me suis accrochée à Stop-tabac.ch comme a un ami. J'attendais les mails d'encouragement, je faisais les tests ; je n'étais pas seule (aujourd'hui encore je suis contente de les recevoir) Et puis il y a eu cette phrase magique prononcée par ma fille : "tu sais j'ai un copain qui m'a dit qu'il lui avait fallu 2 ans pour ne plus y penser" Je me suis dit alors que pour mes 2 premières tentatives j'avais baissé les bras trop tôt (au bout de quelques mois ou semaines) et qu'il y avait un temps long du sevrage que je pouvais accueillir avec sérénité parce qu'il avait un terme. Et c'est cela qui a été magique pour moi. Aujourd'hui je fais la promotion de ce site dès que quelqu'un me parle d'arrêter. Je suis très reconnaissante à la faculté de médecine de Genève de cette initiative. Bon courage à tous ceux qui commencent leur sevrage !
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Anonyme (33 ans)
Nationalité Belgique
14 janvier 2020

Mes début de fumeuse: J'ai commencé à fumer à l'âge de 15 ans. Je voulais faire partie d'un groupe alors j'ai commencé à fumer. Pensant d'abord pouvoir gérer ma consommation et arrêter quand je voulais, je me suis vite rendue compte que je n'avais pas gagné de groupe d'ami et qu'en plus, j'étais dépendante. J'ai reporté mon arrêt du tabac à plus tard pendant longtemps. Ma méthode: Aujourd'hui, après de nombreuses tentatives sans succès, j'ai arrêté depuis un mois. J'ai 33 ans et 3 enfants. J'ai d'abord diminué ma consommation pendant 1 an, et j'ai lu le livre Allen Car qui m'a aidé à avoir envie d'arrêter puis arrivée à 2 cigarettes, j'ai arrêté. Pendant 3 jours j'y pensais tout le temps, c'était difficile mais je savais gérer mon mental en reportant l'envie qui ne me quittait pas. Je suçais des bonbons à la menthe et à l'anis pour faire passer l'envie de fumer. Après ces 3 jours, le 4ème jour a été un soulagement, je pensais toujours à la cigarette mais je gérais vraiment cette envie. Ça devenait vraiment gai, parce que je savais que j'avais passé le pire et je sentais que je gérais. C'est un peu comme quand on joue à un jeu vidéo et qu'on est bloqué à un niveau puis qu'après de l'acharnement on y arrive. Après 2 semaines, je n'avais plus d'envie du tout. Comment je me sens: Aujourd'hui, après un mois sans tabac, il m'arrive d'avoir des flashs mais je les balaye de ma tête. Parfois après le repas j'y pense un peu mais c'est différent d'une envie. C'est un peu comme si j'avais changé de voiture et que je devais m'habituer aux nouvelles commandes. Nombres de kilos pris: 0 kg, pas de fringale. Mes bénéfices: J'étais asthmatique enfant, les désagréments étaient passés d'eux-mêmes à l'adolescence. La maladie est revenue petit à petit à cause du tabac. Après un mois d'arrêt, je n'ai plus besoin de traitement, je respire à nouveau correctement. Je commence à sentir plus d'aisance dans les activités physiques et je peux embrasser mes enfants sans cette odeur de tabac. La clé de mon succès: Une bonne préparation psychologique. Pour moi, arrêter d'un coup et sur un coup de tête, par exemple parce que j'ai une bronchite à cause du tabac, ça ne marche pas. J'ai vraiment dû prendre conscience que je ne voulais pas arrêter de fumer mais être une non fumeuse, pour toute la vie. C'est une longue préparation.
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Anonyme (46 ans)
Nationalité Francaise
03 janvier 2020

Bonjour, Je vous livre la méthode qui m'a permis d'arrêter totalement depuis 8 ans la nicotine après 20 ans de tabac intensif (>20 cigarettes/j). Lors de mes précédents essais, j'avais toujours repris, car je suis fumeur de cannabis occasionnel. Je ne souhaitais pas stopper cette substance que je gère très bien de façon très occasionnelle. La nicotine contenue dans les "pétards" me raccrochait au tabac... je multipliais les prises... au risque de trop prendre de THC... bref à chaque fois je recommençais finalement à fumer du tabac. Fort de ce constat, j'ai acheté du substitut de tabac. J'ai essayé différents mélanges, aujourd'hui j'utilise la Damania. Ma règle était (et est toujours) : "fume autant que tu veux de substitut, mais jamais de nicotine". Ce n’est pas simple, car il faut refuser les pétards qui tournent... mais cela rend possible de s'en rouler et de le partager. ET SURTOUT cela empêche de retoucher à la nicotine. Je m'autorise à fumer autant que je veux de substitut pur... L'envie passe très très vite, car on n'a que les inconvénients : goudron, gorge sèche, mauvaise odeur, prix... sans l'effet addictif. C'est génial, car cela aide à passer le cap de mettre fin au "geste". J'avais aussi lu le best-seller "comment j'ai arrêté de fumer" pour avoir une vision positive de cette libération. Aujourd'hui je ne fume plus du tout de tabac, et plus non plus de Damania seul, je n'en éprouve absolument pas l'envie. Si la tentation de fumer me prend, je m'imagine rouler ce "clope", l'odeur, etc., et l'envie est partie avant que j'aille chercher la pochette. Seules de très rares fois je continue de faire mon adolescent et je fume un pet... pour l'effet amusant... et surtout: sans reprendre le tabac. Si cela peut inspirer et aider d'autres...
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Jérôme (44 ans)
Nationalité Française
26 mars 2019

Bonjour, J'ai fumé de 18 à 43 ans. 1 paquet par jour. J'ai essayé plusieurs fois d'arrêter : Patchs, gum, rien n'a fonctionné. Lors de l'arrivée des e- cigarettes j'ai essayé bien sûr. Malheureusement après un début encourageant j'ai été confronté à des problèmes de fuites de e-liquide et d'autonomie. Très génant, j'ai repris la cigarette. Peu de temps après un ami m'a donné quelques informations très importantes : Il faut trouver sa e-cigarette. Celle qui conviendra à l'utilisation qu'on en fait. J'ai fait quelques recherche et j'ai investit 1 mois de "cigarette" dans l'achat de materiel pour e-cigarette. Un modèle plus serieux. Cela fait 18 mois que je vapote maintenant. J'ai commencé à 12 mg de nicotine et aujourd'hui je suis à 6 mg. Je n'arrive pas à descendre en dessous. Il m'arrive encore de me laisser tenter par une cigarette, souvent lors d'une soirée avec alcool, mais le goût n'est vraiment pas plaisant et au final c'est plutôt rare. Les dernières études montrent que la e-gigarette est 95% moins nocive que la cigarette. Alors même si je n'ai pas complètement gagné, j'ai en tout cas nettement amélioré mon hygiène et ma santé général. Sans compter que ma femme n'est plus obligé de supporter mon haleine, que je ne suis plus obligé de fumer dehors (dur l'hivers !) et que je n'ai plus besoin de me demander de ce que je vais faire de mon mégot quand je suis en ballade. Je pense bientôt réessayer de baisser le taux de nicotine dans mon e-liquide. A terme je souhaites toujours arrêter. La e-cigarette, lancez-vous ! Je ne dis pas que c'est la solution miracle mais enfin, que risquez vous ? 1 mois de budget cigarette redirigé vers la e-cigarette ce n'est pas bien méchant. Tentez le coup, beaucoup à gagner et pas grand chose à perdre !
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Katell (32 ans)
Nationalité Francaise
19 octobre 2007

Arrêter de fumer c'est comme déménager dans sa propre vie. Il faut s'y prendre un moment à l'avance pour prendre le temps d'imaginer le genre d'endroit où on va aller vivre: plus propre, plus grand , plus lumineux, plus frais... Puis il faut décider de la date. Elle ne doit pas être trop proche pour avoir le temps de préparer les cartons (s'informer, préparer le "kit du jeune ex-fumeur" à savoir chewings gums, pommes, balle anti stress, LA bouteille d'eau fétiche que l'on emmène partout avec soi etc.), revisiter chaque pause en imaginant comment on fera "dans le nouveau logement". Ca permet aussi de ne pas se traumatiser par un changement trop brusque. Pour se faciliter la vie, un peu avant l'échéance, contacter un déménageur compétent (en l'occurrence un médecin) qui est souvent de bon conseil sur l'organisation de la manoeuvre (patch de nicotine? Zyban? Champix?) et on rameute les amis les plus barraqués (les plus encourageants). Les premiers jours sont difficiles: on ne retrouve plus rien, on a l'impression que c'est le bazar partout, on est fatigué, on s'énerve pour un rien... Là il faut juste respirer un grand coup et laisser le temps passer car il travaille pour nous (s'autoriser la "cure" de cinéma, de TV ou de sieste la première semaine). Petit à petit, les choses se mettent en place. Un par un, les cartons sont déballés: les gestes quotidiens sont réinventés: le café devient vaisselle ou fruit, l'arrêt de bus devient salon de lecture et les potes sont ravis de recevoir de nombreux sms... Le nouvel appartement semble immense et pour cause: on s'est débarrassé de quelques 250 gestes quotidiens, 140 minutes chaque jour, 16 heures et presque 50 CHF chaque semaine... Ca fait beaucoup de place! Au départ on est perdu dans tout cet espace et on ne vit que dans la pièce principale, timidement, "comme avant". Puis petit à petit on explore... Hummm... Les goûts reviennent... Tiens, si j'apprenais à cuisiner... les kilos arrivent, bof, bof... Bon, ben je vais prendre les escaliers, et puis...je pourrais rentrer du travail à pied le vendredi soir... Et puis tiens, si je me mettais au sport? Hé mais finalement je ne suis pas aussi nulle que je le croyais... Tiens, les kilos sont repartis... Il y a des expériences étonnantes où l'on s'étonne soi-même: Apéro chez des amis? Hum... Pas envie d'alcool mais d'un jus de fruits bien frais (Moi qui ne crachais pas dans mon verre). Deux autres personnes disent "moi aussi" (ultra tendance donc...) Le réveil ? Me voilà en train de le regarder s'allumer... (Wow! J'avais pas vu ça depuis des années!) J'ai même réussi à intervenir dans une conversation sur aussi abstraite pour moi que l'actualité politique! (Normalement je n'y connais rien mais depuis que je lis les journaux en attendant les gens, je suis mieux informée). Parfois il y a des vieux réflexes qui reviennent, comme si on cherchait la table de nuit à l'endroit où elle se trouvait dans l'ancien appartement: on se demande si on a assez de monnaie... pour quoi faire au juste? On se retourne pour "ne pas oublier" le fameux paquet doré sur la table... Ah ben non, c'est pas le mien. On trouve son sac à main étrangement vide (ben non, il est juste trop grand maintenant) Ca fait deux mois que j'ai déménagé et pour le moment je suis ravie. Tout n'est pas encore bien en place, les luminaires ne sont pas tout à fait fixés, il manque quelques meubles... Ca vient. J'ai bien plus de projets de déco que de regrets concernant mon ancien appartement. J'y pense plus trop d'ailleurs. Si vous êtes dans le même appart' depuis votre adolescence, c'est bon maintenant, vous méritez bien mieux: plus grand, moins cher... Mieux.
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Philippe (43 ans)
Nationalité Suisse
08 janvier 2013

Après 25 ans de tabagisme à raison d'un paquet par jour (FRS 75'000.- dépensés pour du poison) j'ai arrêté net du jour au lendemain, ceci après plusieurs chocs dans ma vie liés aux méfaits du tabac (décès d'un copain, ma mère ayant des problèmes de coeur, ma fille qui a refusé que je l'embrasse car je puais trop et crachats noirs lors d'un footing). Là, j'ai dis STOP ça fait trop... Je dois dire que j'avais fais plusieures tentatives sans succès jusqu'à ce jour, mais cette fois, j'ai opté pour une approche psychologique différente, il est en fait très difficile d'arrêter quand on est persuadé d'arrêter quelque chose de bon, qui nous détent et de considérer la cigarette comme un soutient, comme une amie, ces convictions nous font peur d'arrêter et nous plongent dans une sorte de deuil et de petite déprime à l'arrêt . En fait c'est tout le contraire, c'est l'addiction qui nous fait réfléchir contrairement au bon sens, les non-fumeurs ont du bon sens eux (ils disent pourquoi dépenser pour quch qui tue et qui pue et ils ont raison) maintenant je sais que j'ai arrêté le mal sûprême et je me suis débarassé de mon démon qui m'a ruiné, mis à l'écart socialement, m'a empêché de me sentir bien, de sentir bon, d'avoir une belle peau, de belles dents, d'avoir une vie sexuelle vigoureuse, d'être mois stressé au travail et avec des amis (toujours penser d'avoir des clopes sur soi) etc etc...Croyez-moi arrêter de fumer en vaut vraiment la peine, un verre de vin a dix fois plus de saveur, même croquer une pomme vous fait plaisir (le goût est triplé par rapport à avant) et encore une chose de terrible, je sens les fumeurs qui passent à côté de moi et je me dis : c'est pas vrai tu puais pas comme ça pendant 25 ans c'est franchement dégueulasse !!! ALORS ALLEZ-Y ! Vivre sans cigarettes c'est génial et le sevrage sera plus facile si vous optez mon approche psychologique que j'ai mentionné ci-dessus, bonne chance !
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Anonyme (33 ans)

28 février 2011

Lorsque j'ai fumé mes premières cigarettes je devais avoir 12 ans. J'avais une loupe qui me permettait grâce à la puissance du soleil de pouvoir allumer mes bouts de cigarettes ramassées avec mes amis. Ce n'était donc pas une histoire de faire comme les autres mais on était plus fasciné par le fait de pouvoir utiliser cette loupe pour allumer tout ce qui nous tombait dans les mains. La preuve lorsque j'ai perdu cette loupe quelques mois après je n'ai plus jamais refumé jusqu'à l'âge de 20 ans même si beaucoup de mes amis fumaient déjà . D'abord j'ai trouvé ça infecte et puis à force de ressayer j'en suis venu à acheter mon premier paquet tout en me disant que de toute façon je suis resté clean tout le temps puisque je ne bois jamais, je peux bien m'autoriser quelques cigarettes de temps en temps en ayant la ferme certitude que je pouvais arrêter quand je le voulais. Hélas 2 ,5 ,7 11 ans après je fumais toujours. J'ai essayé plusieurs tentatives qui se sont toutes soldées par un échec, chaque grand événement dans ma vie était l'occasion pour moi d'arrêter sans jamais tenir longtemps car je pensais à chaque fois qu'une cigarette de temps en temps ne maintenait pas la dépendance. Après une rupture, après un licenciement, après mon master, après mon mariage, après la naissance de mon fils, Anniversaire etc. Mais à chaque fois je me faisais avoir par cette drogue, la colère et l'euphorie étant les moments qui me faisaient plonger systématiquement. Je me rappelle qu'en pleine nuit alors que tout était fermé, j'errais à côté des bureaux de tabac à la recherche de mégots jouflus que je tirais avec amour, sans même me rendre compte des risques que je prenais, sans même me rendre compte que je devenais fou. EH oui c'est bien de la folie et je m'en suis rendu compte que longtemps après... Une autre fois après une énième tentative solennelle faite à ma femme, j'ai recommencé avec une terrible déception si profonde que je ne pouvais pas le dire à ma femme. Je fumais secrètement tout en continuant à éprouver de la fierté lorsque je recevais des félicitations venant d'elle . C'est dingue !! Pourtant aujourd'hui dans ma profession je suis cadre, c'est vous dire que j'ai toujours maîtrisé assez facilement tous les aspects de ma vie sauf la clope !! Donc lorsque je descendais la poubelle ma femme trouvait toujours que j'avais trop duré, je la descendais même lorsqu'elle était remplie à à peine 10% !! J'étais pressé d'aller vérifier le courrier à 10h (avec la certitude que le facteur dormait encore) pour y retourner à 11h et ainsi de suite Je sais que c'est ridicule mais je ne m'en rendais même pas compte de tout le poids de ma dépendance malgré le fais que je fumais en moyenne 8 cg/J. Je me mentais inconsciemment et je profitais de la moindre dispute (dispute que je causais) avec ma femme pour aller prendre de l'air !! Mais de toute façon elle n'est pas dupe elle m'a grillé depuis longtemps mais elle ne savait pas non plus quoi faire !! J'ai arrêté de fumer le 20 janvier 2011 à 17h après avoir lu 2 fois Allen carr en 2 jours (soit 480 pages en 2 jours) et consulté un tabacologue au téléphone... Ensuite j'ai écrasé ma dernière cigarette après avoir fait la synthèse de tous mes échecs. Aujourd'hui Ça se passe tellement bien et je suis presque sûr que je ne retomberai plus jamais dans cet engrenage mortel, débile et sournois !! Je pense que mon erreur est d'avoir cru que je pouvais m'en sortir seul sans aucune aide comme c'est le cas pour les autres aspects de ma vie. Faites vous aider si vous accumulez les échecs... Il suffit de peu pour s'en sortir définitivement. Ne jamais succomber à la plus petite TAFFE !!!!!
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Jérôme (24 ans)
Nationalité Français
13 décembre 2014

Je témoigne aujourd'hui car cela fait 5 mois et 1 semaine que j'ai arrêté la cigarette, après approximativement 8 ans de consommation soutenue. J'ai choisi ce site, car ma copine me l'a envoyé 1 semaine avant que je fume ma dernière cigarette. Les témoignages que j'y ai lu m'ont marqué à vie, et m'ont fait énormément relativiser quant à ma relation avec le tabac, et le bilan était assez horrible : j'avais tout fait pour réduire ma consommation mais je n'arrivais pas à franchir le cap de la séparation totale. J'avais des difficultés respiratoires (je suis de plus légèrement asthmatique), je pouvais difficilement courir ou faire du sport sans être essoufflé très rapidement. J'avais essayé les patchs, la cigarette electronique, les chewing gums, rien n'y faisait, parce que je n'avais pas la détermination, et une réelle envie d'arrêter ! Ces témoignages et les encouragements de ma copine m'ont donné ce déclic, et tout est allé très rapidement. Avant d'expliquer comment mon arrêt s'est déroulé, il faut comprendre mon parcours de fumeur. J'ai fumé des Lucky Strikes industrielles pendant 6 ans, puis j'ai décidé que j'allais réduire ma consommation. Je suis passé aux Lucky Light, je suis remonté à un paquet par jour, puis je me suis restabilisé à 10 cigarettes. Puis je suis passé aux roulées pendant la dernière année de tabagisme, je suis descendu à 6-8 cigarettes. Autant dire que j'ai préparé mon arrêt de manière progressive pour qu'il soit le plus doux possible. Je me suis fixé la date du 6 Juillet (2014), et j'ai fumé ma dernière cigarette le 5 à minuit avant d'aller me coucher. Le lendemain, tout s'est plutôt bien passé jusqu'à mon départ pour la gare de lyon (je retournais en province pour un stage débuté plus tôt dans l'année, et ma copine m'accompagnait pour l'été) ou j'ai commencé à ressentir très fortement les effets du manque : la boule dans la gorge, les vertiges, les sueurs froides, même des sensations de quitter mon propre corps tellement c'était fort. A la gare, j'étais comme un fou, la moindre odeur de cigarette excitait mes narines et mes récepteurs nicotiniques jusqu'à ce que je monte dans le train, et que je me plonge dans un film. La suite s'est déroulé assez calmement, j'ai mis du temps avant d'être capable de me tenir près d'un fumeur, la première étape est l'envie de prendre une taf, la suivante est l'envie de vomir quand on sent l'odeur. Quelques semaines je dirais, puis petit à petit j'ai perdu mes habitudes, je n'y ai plus pensé, et puis au bout de 2 mois j'avais complètement oublié ma vie de fumeur. Une seule chose a eu tendance à revenir (très souvent au début puis moins) : les rêves ou je fume, extrêmement précis sur les sensations, provoquant une sorte de plaisir coupable, généralement accompagnés d'un énorme sentiment de culpabilité. Aujourd'hui donc, ça fait 5 mois et 1 semaine. J'ai complètement oublié ma vie de fumeur, je regarde les fumeurs comme des aliens, en me disant "mais comment j'ai pu gâcher ma vie comme ça". Evidemment, la façon dont j'ai arrêté est rêvée, parce qu'elle était préparée : d'abord par la réduction progressive de l'accoutumance, puis par l'arrêt total et l'accompagnement d'un proche (en l'occurence ma chérie) pour m'encourager. Quelqu'un qui fume 2 paquets par jour n'arrivera jamais a arrêter dans les mêmes conditions que moi. Mais sachez juste que je déconseille tous les produits de substituts. Pour moi c'est un subterfuge de plus des lobbies pharmaceutiques pour vous subtiliser de l'argent car ils savent pertinemment que les gens utilisent ces substituts sans jamais réellement arrêter. Faites ça par étapes, prenez votre temps, entourez vous de personnes que vous aimez et qui vous aiment, faites ça dans un environnement calme et sein si vous le pouvez (en vacances par exemple), vous pouvez y arriver, donnez vous en juste les moyens !
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CHRISTINE (56 ans)
Nationalité SUISSE
13 mai 2005

J'ai réussi ! Cela fera bientôt trois ans et je sais que plus jamais je ne toucherais à la cigarette ! Comment et surtout pourquoi je n'avais pas compris quel engrenage malsain est la cigarette. Oui, on y arrive mais pas toujours du premier coup et il ne faut pas se culpabiliser : notre subconscient travaille jusqu'au déclic final. Il faut fixer des dates pour arrêter et si ce n'est pas la bonne, recommencer et acheter plein de choses (homéopathie, chewing-gum, bâtons de réglisse) tout pour nous aider à franchir le cap (acupuncture) et même quelques charlatans ! Il faut le dire autour de soi, la fierté est parfois une grande aide.... Lire les témoignages; sur ce site et sur d'autres; aide à se prendre en main. Courage à tous ceux qui sont sur le point d'arrêter et sachez que la vie est bien ++++ belle sans nicotine ! Christine
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Fabrice (70 ans)
Nationalité Française
07 mars 2019

Voilà, je fais parti des gens qui sans champix n'aurai jamais pu s'arrêter de fumer . Plus de 40 ans de cigarettes, vrai fumeur accro 30 clopes par jour. J'ai tout essayé, patch et compagnie, aucun résultat. Entre la cigarette et champix (j'ai un problème cardiaque et un problème pulmonaire) mon médecin n'a pas hésité. Il m'a dit qu'il y avait parfois des effets secondaire, mais que cela valait la peine d'essayer. J'ai fait une cure courte (1 mois) et j'ai arrêté de fumer au bout de 15 jours sans aucune difficulté. J'ai re-craqué après 10 ans d'arrêt. Une nouvelle cure de champix et je ne re-fume plus depuis 5 ans. Alors pour les accords cela vaux la peine de souffrir les quelques désagréments que j'ai lu dans divers témoignage. Moi je n'ai eu aucun effet secondaire. Je propose champix à tout mes copains et un bon nombre se sont arrêtés grâce à ce médoc.
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didir (33 ans)
Nationalité Française
12 octobre 2017

Bonjour, Je voulais simplement remercier l'équipe de ce site, et les gens qui témoignent. Après 17 ans de cigarette j'ai réussi à me lancer dans l'arrêt. C'est encore très récent et pour l'instant je comble le manque par une eCigarette à 12mg. Mais étant un ex gros fumeur (25 à 50 clopes rouges par jour) je n'avais jamais réussi à me passer de cigarette plus de 24 heures. Elle était omniprésente, le matin, au boulot, a l'apéro, devant le pc... Bref, elle était cette satanée béquille qui trompe le quotidien et vole les années.. J'ai passé plusieurs heures ici à lire des témoignages par moments bouleversants, souvent très instructifs tout comme les articles rédigés. Je suis désormais persuadé que je suis sur le bon chemin et que plus jamais ne retoucherai à ce poison. J'ai déjà le sentiment que c'est une erreur immense qui a volé une bonne partie de ma vie. Mais peu importe, qu'on arrête à 20, 35, 50 ou 60 ans le plus important c'est de réaliser qu'il reste une autre vie qui démarre après l'arrêt! Mon point de vue sur la cigarette et la difficulté à arrêter a changé radicalement ces derniers temps, et c'est principalement grâce à stoptabac.ch. Les illusions s'effacent les unes après les autres! Dès que j'ai un tout petit coup de mou et qu'une envie de fumer se pointe, je reviens ici inlassablement. En 5 min elle est partie et ma conviction est raffermie. Merci, amis suisses, je suis Français installé en Nouvelle Calédonie, et je vous remercie tous depuis l'autre côté du globe. Simple lecteur, si vous êtes ici, c'est que vous vous posez les bonnes questions et qu'un petit air révolutionnaire commence à sonner en vous. Foncez, il n'est jamais trop tard. Lisez les témoignages, documentez-vous sur ces pages, laissez ces anonymes vous ouvrir les yeux. A un moment, c'est comme si quelqu'un allumait la lumière: il n'y a plus de doutes et vous aurez la force de vous lancer. Bon courage à tous, bon rétablissement aux malades aussi. Cordialement,
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Antonio (55 ans)
Nationalité Espagnol
14 octobre 2017

Je fume depuis que j'ai eu 14 ans ensuite toute drogue et alcool une cure de désintoxication pour l'héroïne à mes 22 ans réussie avec une épathite c que j'ai toujours mais relativement tranquille il y à 5 mois je décide d'arrêter le canabis el les bière qui m'accompagne tout les jours j'y suis arrivé cette fois-ci avec l'aide d'un livre qui me fais prendre conscience que je peut y arriver et améliorer ma courte existence c'est le tao de la santé du sexe et la longue vie de Daniel Reid il y a un 2 ième volume qui s'intitule le tao de la détox du même auteur . ces livre mon aidé à prendre conscience que je manquais de vitamine du à ces dépendance . Voilà que je fait un contrat dans stop tabac et que parallèlement je suis dans un groupe de désintoxication avec un tabacologue et chacun fais un choix par rapport à un produit pour accompagner notre sevrage j'avais choisi le Champix mais vu les effets secondaire et mon passé avec un acide que j'avais pris je ne l'ai pas pris et j'ai fait comme si je le prenais mais parallèlement ce que j'ai pris ce sont des complément de vitamine C et en même temps vitamine B6,B9,B12 de huile de germe de blés (vitamine E) et pour finir du Kudzu que j'ai trouvé via le web et bien cela fonctionne à merveilles je me sent Heureux j'ai arrêter un jour avant la date que j'avais décider sur ce site Stoptabac.ch don je ne manque pas de vous remercier a tous pour le travail que vous faite pour l'humanités après 41ans de tabagisme je pense qu'il faut se sentir heureux d'arrêter et les vitamine aide assez bien et prendre soin de son corps fais déjà oublier pas mal la cigarette bien se nourrir comme Daniel Reid l'explique il ne faut pas être riche pour y arriver c'est l'équilibre de la nature qui aide à s'auto guérir si nous consommons des excitant c'est consommer du relax qui rééquilibre le café par les tisane et vis versa un bon sel de Guérande bien consommé apporte aussi les riche minéraux et magnésium don le corps à besoin pour se sentir bien cela fait 5 jours que j'ai arrêter et je me sent super bien et heureux et j'espère continuer il est vrais que j'ai des petite envie d'une cigarette mais elles sont facilement oubliées je remercie toutes les personnes qui me soutiennes dans ce projet particulièrement ma compagne et mes enfants .
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Claudia (41 ans)
Nationalité France
09 août 2021

Voilà 6 mois que j'ai cessé de fumer, grâce aux patches durant les 2 premiers mois, le temps de m'offrir de nouvelles habitudes sans souffrir du manque. Et puis j'ai arrêté les patches également et, mise à part un peu de nervosité à gérer, tout s'est formidablement bien passé. En fait, mes dernières années de fumée furent complètement dépourvues de plaisir et pleines de culpabilité ET JE ME RENDS COMPTE AUJOURD'HUI QU'IL M'ETAIT PLUS DIFFICILE DE FUMER QU'IL M'A ETE D'ARRETER !!! Arrêtons de dire qu'il est si difficile de cesser de fumer... ça ne sert qu'à effrayer les fumeurs et à les décourager définitivement... J'ai arrêté de fumer sans volonté exceptionnelle, sans prendre plus de 2 kg, et sans souffrir le martyr.Le désir de fumer est comme une bête au fond de notre ventre qui réclame sa substance... Elle ne fait pas partie de nous, elle y a été introduite et peut sans aller. Plus vite on lui coupe les vivres et plus vite elle disparaîtra. Diminuer la cigarette ne fait que maintenir la bête en vie. J'aimerais que mon témoignage rassure les futurs ex- fumeurs quant à la difficulté d'arrêter. Moi, je vis beaucoup mieux depuis que je ne fume plus. Je n'ai plus à gérer cette culpabilité, à ma santé et à mon porte- monnaie. Je suis enfin en accord avec moi-même. Ca vaut vraiment le coup de s'y mettre sérieusement. Oubliez tout ce qu'on a pu vous dire à ce sujet, faites-vous votre propre expérience. Vous verrez, c'est beaucoup plus simple que prévu!
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Seb (50 ans)
Nationalité suisse
08 mars 2023

Bonjour, 1 jour, puis 2 jours, puis une semaine, un mois . Tout est encore fragile et après 35 ans à m'empiffrer joyeusement de clopes à gogo je voulais témoigner. Pour commencer j'ai arrêté une multitude de fois pendant 10 minutes sans y croire moi même juste pour dire stop tabac. Puis cette fois c'est venu du fond de moi même, je me suis levé un matin en me sentant esclave de la clope, gros électrochoc, alors pendant un mois je me suis préparé moralement et un jour à 12h14 j'ai pris mes 2 derniers paquets. Je les ai trempé dans de l'eau et jeté pour enlever l'envie de les récupérer. Je ne dirais pas que j'ai souffert le martyr, ce serait mentir. Oui ça manque, oui ça prend d'un coup et j'ai eu envie de ma dose. Mais j'ai tenu, de 60 clopes à 0. Le premier matin déception, c’était pire qu'avant sauf que discrètement une idée est née wouha je peux tenir sans, je peux le faire moi qui ai tant aimé cela. Et est né un autre sentiment, la fièreté! Alors courage à toutes et à tous on peut le faire. Je dois être différent des autres, je n'en veux pas au cigarettier qui se sont enrichis sur mes bronches, j'ai fait un choix idiot mais je l'ai fait seul, il y a fort longtemps. la clope m'a aidée à certains moments, mais là le moment était venu de juste se séparer à l'amiable si je puis dire. Puis bon 30 jours à 3 paquets cela fait près de 800 CHF dans la poche, ce weekend repas gastro et nuit romantique a l’hôtel avec ma moitié, il n'y a pas de petit profit de ce côté là aussi cela va nettement mieux.
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Cédric (46 ans)
Nationalité Suisse
09 août 2021

Bonjour à tout le monde. J'ai 46 ans, j'ai commencé à fumer à 17 ans (par pur plaisir) et j'ai arrêté à minuit pile, le jour de la dernière journée mondiale sans tabac . 29 ans de tabagie, quatrième jour d'arrêt. 4 jours par rapport à 29 ans, c'est à peu près 300m par rapport à la distance Bordeaux-Paris. Autant dire que je voyage à dos de limace et que je ne suis pas arrivé. 4 jours, c'est effectivement insignifiant. Mais d'une part ça atomise tous mes records précédents et d'autre part je commence déjà un tout petit peu à entrevoir pourquoi j'ai pu passer 29 ans à fumer, et à me croire heureux de fumer. La cigarette est une sorcière mystificatrice redoutablement experte en illusions. L'illusion qu'elle est indispensable aux bons moments et qu'ils seraient moins bons sans elle. La parfaite illusion qu'elle apaise. Celle que c'est une amie qui accompagne et qui aide. Ou encore celle, parmi les plus terribles, que fumer est un remède à l'ennui. C'est au début des Fleurs du Mal : il ferait volontiers de la terre un débris, et dans un bâillement avalerait le monde : c'est l'ennui . J'ai probablement fumé des dizaines de milliers de cigarettes pour tromper mon ennui ou pour le fuir. La cigarette est diabolique au sens où bien que ma raison me permette d'avoir la pleine conscience qu'elle n'est qu'une somme d'illusions inéluctablement destructrices, et bien elle me manque quand même terriblement. Déjà. Je n'ai jamais réussi à arrêter plus d'une journée, parce que j'ai toujours essayé mollement, avant tout pour faire plaisir à quelqu'un d'autre qu'à moi. Alors j'arrivais pendant quelques jours voire quelques semaines à passer de 20 ou 25 par jour à moins de 5 en me disant que j'arrêterai ensuite plus facilement, et surtout plus tard, évidemment plus tard Mais cette stratégie, en tous cas pour moi, était vouée à l'échec : elle ne s'attaquait pas aux mystifications essentielles de ma cigarette. Au contraire elle les entretenait puisque je réservais le tabac aux bons moments. La sorcière avait le dessus et j'étais bel et bien convaincu que la cigarette décuplait les plaisirs, ce qui me condamnait à en abuser de nouveau à plus ou moins court terme. Mais cette fois ci j'en fais une affaire personnelle. Ce qui m'aide considérablement, c'est bien sûr le patch, mais aussi tous les soutiens que je trouve (famille et internet). C'est également le souvenir que j'entretiens de quelques terribles photos de cancers de la bouche ou de la gorge. C'est aussi le fait qu'il est désormais interdit de fumer dans les lieux publics : cette suppression d'une infinité de sources de tentation est une aide particulièrement précieuse. Et puis il y a l'argent. Dépenser plus de 150 par mois pour ça , n'est-ce pas un gaspillage aujourd'hui indécent ? En réalité, le vrai boulot pour moi, c'est d'arriver à remettre en question ma conception du plaisir, des plaisirs, pour redéfinir et adopter un nouveau système de valeurs et par suite, d'actions, au sein duquel la cigarette n'aura plus sa place. Très dur pour moi, déjà, à seulement J+4, et bien que m'y étant préparé depuis plusieurs semaines avant l'arrêt en m'inscrivant dans un club de Karaté, en reprenant une activité régulière, et en faisant un petit régime pour déjà modifier mon rapport à l'excès (et retrouver cette silhouette mystérieusement fascinante qui avait envoûté ma future épouse, vers la fin du siècle dernier) Pour l'instant, c'est l'idée de me taper l'humiliation de perdre encore contre la sorcière qui me préserve de la rechute. Mais je dois presque tout réapprendre, revivre des quantités de premières fois : première fois que je prends l'apéro sans fumer. Première fois que je reçois des amis sans fumer. Première fois que je vais au boulot sans fumer, et que je pars du boulot sans fumer. Premier stress, premier soir sur la terrasse, première promenade, etc C'est presque une autre vie, que je sais plus intelligente, plus épicurienne, plus saine, et au final plus agréable. Mais je crains bien de n'avoir encore vu qu'une infime partie de tous les pièges que la sorcière est capable de déployer pour me reconquérir. Et si elle ne renonçait jamais ?
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Brigitte (41 ans)
Nationalité Liechtenstein
12 août 2021

Nous arrivons au mois de mai... Joli mois de mai... L'an dernier, je me disais " je vais m'arrêter"... "je m'arrête quand je veux, de toute façon, alors je vais m'arrêter"... 2 paquets par jour, l'odeur, la fumée, le smog, je l'appelais..., la toux du matin, la voix qui déraille, et souvent la peur ...d'en claquer, d'une quinte de toux qui mettrait mon poumon à la porte !Image répétée d'un humour internaute... et puis le mois de mai et son 31 sans fumée de l'OMS... Et que je me suis dit, pourquoi pas...Des "Chiche t'oses pas" et "de toute façon tu tiendras pas 3 jours" ont fusé autour de moi... J'ai des collègues adorables, heureusement d'ailleurs, car je partage plus de temps avec eux qu'avec ma famille dans une journée...mais ils sont un peu "blonds" comme on dit... Ce manque de confiance m'a vexée.. Oui je peux avouer: je me suis arrêtée de fumer pour leur clouer le bec et les laisser radoter sans fondement sur mon dos ! C'était le 16 mai 2019... Douze mois plus tard, on a cessé de m'en offrir le matin, avec un sourire sorcier, le petit clan parieur m'en félicite aujourd'hui, un membre du clan m'a même rejointe.... de ce bon côté de la barrière... Et on en rit encore... C'est la première fois que j'essayais de stopper la clope....Au début, je faisais la forte, l'odeur ne me dérangeait pas, je n'avais pas d'envie en sentant une taf me passer sous le nez... Et puis j'ai décider d'arrêter de me mentir ! Ca pue, je supporte plus ceux qui toraillent sous mon nez, et brisent la saveur de mes instants... Donc je suis devenue un peu intolérante... Chez moi c'est dehors... A part ce petit côté maniaque, l'arrêt du tabac m'a apporté un merveilleux voyage à Londres: j'avais honnêtement mis le prix de 2 paquets de clopes dans un cochon rose... soit 11,60 francs chaque jour... Lecochon est mort en février, le voyage a eu lieu et je n'ai pas dépensé la totalité de l'épargne !!! Et en meilleure close, ne plus fumer m'a rendu le goût de mes repas, l'odeur des fleurs, le souffle de mes longues ballades à pieds... mes chiens me remercient chaque jour... Je n'ai pas pris un gramme, parce que je n'ai pas remplacé ma clope par de la bouffe.... *Je suis déjà ronde, alors là-dessus j'avais du être très sévère avec moi-même :o)* Je ne peux qu'encourager ceux ou celles qui me liront de se lancer, sans entendre les railleries des amis qui diront "t'es pas cap"... Il disent ça parce que EUX ne sont pas cap.... Personne y croyait, le 16 mai dernier, personne ! (même pas moi, tellement ça me paraissait insurmontable !!!) Je suis fière aujourd'hui... et je remercie tous les gens de Stop-Tabac, où j'ai pris tout ce qui pouvait me servir pour garder le tracé de la victoire.... Je ne serai jamais plus une non fumeuse, je resterai une ex fumeuse, un peu comme les alcoolique abstinents. Sortir d'une drogue est continuer à vivre, et c'est merveilleux !
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Anonyme (53 ans)
Nationalité Suisse
16 octobre 2020

Voilà, il y a 3 mois, j'ai cessé de fumer.🥇🏆 Après 40 ans de tabagisme à raison d'environ 1 paquet par jour... Cela m'a pris en pleine nuit, je dormais mal et mes poumons sifflaient un peu... j'ai dit stop, j'arrête ! Je me suis levée et j'ai cherché des solutions sur internet et ai trouvé l'application stop-tabac.ch. Cela m'a beaucoup aidée. Au début, j'ai essayé des produits de substitution, chewing-gum (pas bon du tout) 😩 et l'inhalateur et ça m'a mieux convenu. Après un mois je n'ai plus eu besoin de ça. Pour tenir le coup, je recommande la méditation ! Etant en surpoids, ma plus grosse angoisse était de prendre des kilos, alors j'ai intégré le jeûne intermittent dans la foulée et j'ai même perdu 2-3 kg et donc tout va bien maintenant 😉 Je souhaite bon courage à tous ceux qui font la tentative d'arrêter de fumer, ca en vaut la peine🤩🤩🤩👍👍👍
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Marsyas (64 ans)
Nationalité française
31 octobre 2022

Bonjour. J'ai écrit sur l'ancien site (et pour la première fois de ma vie sur internet), mon expérience de vie avec la cigarette. D'avoir écrit sur ce site m'a permis de faire un pas de plus dans la nécessité pour moi d'arrêter de fumer. J'ai fait la connaissance d'une cigarette vers mes 13 ans, quelques bouffées, puis elle m'a accompagnée avec sa mauvaise odeur. Un arrêt volontaire durant ma grossesse. Et j'ai repris et enfumé, dans la maison, mon entourage trois ans, puis j'ai pris conscience et j'ai fumé à l'extérieur qu'il fasse chaud ou froid. Ma santé, les médecins rencontrés, l'un me disant : "votre corps vous parle, arrêtez de fumer", l'autre de même. Mes problèmes de santé s'accumulent, le dernier spécialiste rencontré me dit après un examen : "il est indispensable pour vous d'arrêter de fumer", ce rendez-vous m'a beaucoup marqué, il est vrai que j'avais de plus en plus de mal à respirer. Bien sûr, j'avais essayé plusieurs fois quelques arrêts dans des temps très courts. J'étais addict. Les méthodes diverses, patch, champix, cigarette électronique... je ne les supportais pas. , j'ai essayé l'homéopathie. J'ai beaucoup surfé pour trouver de l'aide, et, j'ai toujours gardé ESPOIR. J'avais auparavant fait la démarche dans un service d'addictologie, mais la méthode employée dans ce service n'était pas faite pour moi. J'ai beaucoup lu, et relu, presque tous les jours un certain nombre de vos témoignages qui m'ont aidé, tout du moins pour diminuer le nombre de cigarettes. C'est sur ce site que l'un de vous parlait d'un inhaleur. J'ai essayé, mais toujours pas réussi. J'ai arrêté 15 jours avec une séance d'hypnose. Le "hasard" a mis sur ma route un médecin généraliste addictologue. Je remercie la personne qui m'a indiqué ce médecin, elle ne m'avait pas précisé qu'il était addictologue. Beaucoup d'écoute, d'échange, de disponibilité, et, surtout surtout ce qui m'a le plus aidé il ne portait aucun jugement sur mon addiction. A la sortie de la première consultation, à la demande du médecin, j'ai mis à la poubelle les cigarettes qu'il me restait en les détruisant une par une. Il m'a prescrit des pastilles, je n'en supportais qu'une par jour. Un jour, suite à une grande montée de stress, j'ai repris l'inhaleur en plus de la pastille nicotine journalière. Puis, j'ai abandonné la prise de cette pastille pour ne plus utiliser que l'inhaleur. Aujourd'hui, j'ai 64 ans, je ne fume plus de tabac depuis plus d'un an, j'utilise toujours l'inhaleur (une à deux cartouches par jour). L'arrêt tabagique s'est fait dans la douceur, pas de stress, c'est tout ce que j'espérais. Je reviens de temps en temps sur ce site pour lire de nouveaux témoignages, mais surtout retrouver des témoignages de personnes ayant déjà témoignés et, donnant de leurs nouvelles sur leur arrêt et leur santé. Je vous remercie tous pour vos témoignages. Je confirme que mon arrêt tabagique n'a eu que des effets positifs, et, qu'il n'y a pas d'âge pour arrêter de fumer et en trouver bénéfice. Ma prochaine consultation sera pour remercier le médecin addictologue qui m'a accompagné, et, qui est toujours présent si j'en ressentais le besoin. Les félicitations données à chaque rendez-vous m'ont aussi donné le courage nécessaire pour ne plus reprendre de cigarette. Bien sûr me direz-vous, je consomme toujours de la nicotine avec l'inhaleur, mais pour moi vraiment c'est un moindre mal. Si mon deuxième témoignage sur ce site (et le deuxième écrit de ma vie sur Internet) peut être utile à une personne, j'en serai ravie. Mes remerciements à toutes les personnes de ce site.
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Fanny (46 ans)
Nationalité Français
10 juin 2023

Mille mercis pour les conseils et le suivi très regulier par mail, façon de rester toujours en lien avec "des personnes qui peuvent aider", étape par étape . Je trouve l'accompagnement bien meilleur qu'en France :conseil médicaux , produits, dosage, stress, santé, hygiène alimentaire, sport, et un forum hyper réactif pour les coups de mous et pour me remonter en cas de rechute..merci a toute la communauté.Je ne vais pas mentir cela m'arrive encore d'avoir envie de fumer , mais c'est si rare que ça me surprend et que je trouve cette idée bizarre...je quitte mon identité de fumeuse avec laquelle j'ai composé quasiment 2/3 de ma vie. Tenez bon, accueillez chaque rechute comme une occasion d'apprendre sur vous et votre rapport au produit, faites vous aider ici il y a de bon conseils, et tout se passera bien!!
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Anonyme (54 ans)
Nationalité Suisse
19 février 2023

Bonjour, je souhaite partager avec vous mon combat pour l'arrêt du tabac, j'ai 40 ans de fumée derrière moi, je suis épileptique grand mal, et j'ai décidé de prendre le Ziban, au risque de faire des crises, celà m'est égal, celà fait 3 semaines que je prends le médicament, je suis devenue hyper agressive et tant mieux, celà m'a permis de remettre l'église au milieu du village avec mon entourage, j'ai dû resté à un comprimé par jour car j'ai le poids d'un enfant, Je suis impressionnée par l'effet immédiat, je n'ai plus envie de fumer du tout, je suis tellement contente car ça marche, je fumais 2 paquets de cigarettes par jour, actuellement j'ai plus envie du tout, j'ai pris des risques et ce n'est pas fini mais je tenais à préciser que même en étant épileptique, je préfère prendre le médicament qui me permet d'être enfin libre, je respire enfin, et aucune crises est parvenue, rien, le Ziban m'a rendu ma personnalité, mon vrai moi, j'étais beaucoup trop gentille et je me faisais toujours marcher sur les pieds, et bien mon entourage me respecte enfin, car ce traitement m'a permis de me reconstruire mentalement et de ne pas avoir peur de dire non, mon quotidien est le même sauf que je ne suis plus la serpillière de tout le monde, j'ai donc deux effets avec ce traitement qui me permettent enfin de vivre normalement, j'ai bien lu les effets secondaires, mais c'est quoi à côté des effets de la clope ?? Franchement, je m'occupe de ma belle soeur qui a une BPCO stade 4, sous oxygène jours et nuit, elle continue à fumer, moi qui m'occupe d'elle à plein temps, ça m'a fait un déclic, moi j'ai arrêté presque de suite, car plus envie de fumer, et elle...je la regarde se suicider avec le tabac même avec sa BPCO !!! Je n arrive pas à comprendre son état d'esprit mais moi c'est fini cette merde et je me sens revivre, tant pis pour l'agressivité pour les autres, c'est bon pour moi, même mes chiens obéissent enfin, la cigarette avait fait de moi un zombie, le Ziban m'a rendu la vie, voilà mon témoignage, je vais rester à un cpr par jour et je pense arrêter assez vite car pour moi l'effet à été immédiat contrairement à ce qu'il se dit, je suis enfin libre.
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Anonyme (56 ans)
Nationalité Francaise
13 novembre 2019

Bonjour J ai 56 ans j ai fumé pendant 28 ans il y a 52 jours aujourd’hui hui que j ai arrêté de fumer, sans aide juste une grande volonté de ne plus me pourrir la santé et de dépensé mes sous pour ça , je ne peu même pas dire que j ai un grand manque et si il m arrive d avoir envie de fumer je fait autre chose je m occupe l esprit , par contre je me suis mise à faire du sport régulièrement se qui m aide énormément et qui me fait un bien fou , course à pied, marche rapide , danse , cardio et pilate un truc de fou mais j adore , je me sens si bien après tout ces effort qu' en faite vous n avez même plus envie de cigarette , je sais que je ne reprendrais plus jamais cette drogue , et je suis fiere pour la maman que je suis et surtout la mamie , voilà je vous souhaite à toutes et à tous bonne continuation et volonté, mais ça en vaut la peine , croqué la vie à pleine dent , PS je n ai pris aucun poids depuis donc motivation Bonne chance à vous tous
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Xavier (25 ans)
Nationalité france
06 décembre 2005

chacun sa méthode pour arrêter. moi ça fait aujourd'hui 200 jours, un peu plus de 6 mois. des patchs pendant les 3 premières semaines puis plus rien (à part une consultation quasi hebdomandaire de ce site). 6 mois que je sens mon corps se régénérer, mon souffle s'améliorer, mon sommeil devenir plus régulier. celà faisait 6 ans que je fumais, j'en étais arrivé à un paquet et demi par jours, et c'est le dégout de ma dépendance, le refus de ma lacheté et le soutien de mes proches non-fumerus qui m'ont fait sauté le pas. " arrêter de fumer ? pour quoi faire?", " oh ben il faut bien mourrir de quelque chose", " je peux pas passer une soirée sans fumer" : toutes ses phrases que je répétais autour de moi, que je me répétais, j'ai fini par ne plus pouvoir y croire. je me suis retrouvé nu face à ma dépendance, patante, insupportable. aujourd'hui je me sens littéralement libéré. fini l'angoisse du paquet vide, l'obsession de la cigarette en réunion, dans le train ou chez les autres. fini la peur secrète de se détruire à petit feu. oh bien sur ça ne fait que 6 mois, et je me dis que rien n'est encore gagné. le tout est de ne jamais succomber à la "petite bouffée pour voir si ça me fait encore quelque chose" qui veut souvent dire en fait " bon je suis sur que je peux retrouver le plaisir de la première cigarette et ne pasd recommencer". j'espère que je ne commettrai pas cette erreur.
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Éric (48 ans)
Nationalité Française
17 février 2016

Bonsoir, Cela fait 12 années que je ne suis pas venu faire un tour sur stoptabac, mais je suis toujours resté abonné afin de rester en veille sur ce sujet ô combien important ! Au moment où j'écris ce courriel, cela fait 13 ans 1 mois 6 jours 20 heures 21 minutes et 40 secondes que j'ai arrêté de fumer. J'ai économisé (au prix de 2003) 23331 et 1 cent (lors de l'arrêt, j'ai écrit un petit bout de code sur ma page perso qui tourne et calcule le temps et l'économie...). Je n'ai pas pris de poids. Je nage 4km par semaine et fait un footing d'environ 10km par semaine. Je suis capable de marcher 40km ou de faire 90km de VTT en une journée. Je ne peux remonter dans le passé, mais je suis convaincu que si j'avais continué,..., je ne pourrais pas faire toutes ces activités (même si ce n'est pas exceptionnel :-) ). Comme je l'ai écrit en 2004, j'ai eu du mal. Au niveau physiologique c'est allé très très vite (quelques semaines). C'est au niveau psychologique que cela a duré longtemps. Des flashs de plus en plus espacés et puis un jour (un soir pour être très précis) j'ai senti (au figuré) que je n'aimais plus la cigarette et c'est toujours le cas. Une chose qui est aussi très importante est que nos enfants ont grandi dans un environnement sans tabac. Cela ne veut pas dire qu'ils ne vont pas fumer mais au moins ils n'auront pas subit le tabac dès leur plus jeune age ! Voilà, je tenais à faire une petite rétrospective sur ma "carrière" d'ancien fumeur et montrer (comme beaucoup d'autres) que c'est tout à fait possible. Courage à ceux qui tentent (et réussiront) l'aventure de retrouver une vie plus saine. Une dernière petite phrase avant de finir : J'ai fumé pendant plusieurs années 3 paquets par jour. Quand j'ai arrété, je fumais encore entre 30 et 40 cigarettes par jour...
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Christine
Nationalité France
02 février 2011

Depuis le 11 septembre 2009, je suis à la cigarette électronique et n'ai pas retouché de cigarette normale depuis. Je suis très satisfaite et fière de moi. J'étais grosse fumeuse, 1 paquet, un paquet et demi par jour. J'ai essuyé des échecs à chaque arrêt et tiens le coup avec la cigarette électronique. J'ai essayé plusieurs cigarettes avec des taux différents de nicotine et de saveurs. Avantages : Des résultats sur le souffle, la sinusite et autres se sont rapidement faits ressentir. Je n'ai pas grossi puisque je ne compense pas un manque, j'ai la gestuelle, ma sensation d'inhaler, une contenance. Je ne suis plus obligée de sortir dehors en soirée, je n'empeste plus le tabac et ai toujours une agréable haleine mentholée ou autre. Inconvénients : Pas de recule sur la composition et les effets sur l'organisme. Les saveurs sont excellents et du coup, je l'ai toujours à la bouche. Je n'ai pas envie d'arrêter, la cigarette électronique me suffit, je suis tout simplement passée à autre chose en me rassurant que ça ne pouvait pas être pire que le tabac, mais je souhaiterai en être certaine.
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Florent (25 ans)
Nationalité France
13 juin 2019

3EME ARRET CONCLUANT. QUELQUES ASTUCES QUI M'ONT SERVI: Petite présentation: J'ai commencé mes 1ères cigarettes vers 14ans, pour acheter mes 1ers paquets à 15 ans. A 17 ans, je pouvais fumer jusqu'à 10 cigarettes. A 20 ans, jusqu'à un paquet (parfois plus, suivant les pauses café/sorties/soirées). 1er arrêt (1 mois): A 24ans, je me lance dans mon 1er arrêt, avec comme motivation la santé au long terme. Je coupe net, j'utilise la cigarette électronique une dizaine de jours, j'évite certaines sorties (car groupe composé -que- de fumeurs). Constipation, sommeil altéré (réveils, cauchemar) et irritabilité, mais je suis motivé, si je ressens ça c'est que le corps se purifie. Puis voilà, au bout d'un mois, il a suffit d'une cigarette en fin de soirée, pour reprendre le lendemain. Et beaucoup plus fort. Comme pour rattraper les cigarettes non- fumées.. 1ère expérience. 2nd arrêt (3 mois): 8 mois plus tard. Je n'ai pas "arrêté" de fumer, mais j'ai arrêté d'acheter des clopes. Au cours des 3 mois, 0 argent dépensé, la cigarette électronique m'accompagne parfois, j'ai fumé au total environ 50 cigarettes en grattant dans le paquet des amis. Malgré l'effort, je n'ai pas "complètement" arrêté, et j'ai bel et bien repris. 3ème arrêt (mars 2019): Riche de deux expériences d'arrêt du tabac, j'ai collecté quelques techniques qui m'ont facilité la tâche. Je peux dire que depuis mars 2019, je n'ai pas fumé UNE seule cigarette, et ce, sans soutien de nicotine (e- cig, ou patch,..) et je souhaite vous les partager. N°1 > Fumer des cigarettes sans ADDITIFS Quelques lectures sur internet vous renseigneront sur ce point. Les cigarettes des grandes marques sont blindés d'additifs, y compris d'ammoniac pour que notre corps attrape mieux la nicotine -non cancérigène, mais responsable de la dépendance-, et aussi des produits qui "anesthésient" nos bronches pour avoir moins mal à la gorge, et donc plus fumer. Commencer à fumer des cigarettes sans ADDITIFS (type tabac à rouler BIO, ou indus NATURELLES) sera déjà un 1er sevrage. Elles paraissent plus fortes en gorge, et vous envoient moins de nicotine, mais vous êtes dans le vrai. Et croyez moi, cette étape facilitera (ou provoquera) l'arrêt du tabac. N°2 > Ne pas dire "j'arrête" Ici, c'est plus sur l'aspect anxiété que cela va jouer. Selon moi, dire à tous que l'on arrête de fumer est une source supplémentaire d'anxiété. Arrêter de fumer est déjà stressant. Si en plus, on a des projecteurs sur nous ("Alors t'as fumé? t'as craqué? t'as pas craqué?), c'est juste infernale. Et si il arrive que l'on craque, on peut se sentir "merdique" et abimer notre estime de nous. Simplement dire "non je n'ai pas ARRETÉ, je n'ai juste pas envie de fumer maintenant" ou dire "oui peut être plus tard" aux cigarettes proposées, a été une façon de me libérer de cette -quasi- pression sociale pour poursuivre mon arrêt en toute TRANQUILITÉ ! N°3 > Choisir son moment (OUI et NON) Dans l'idéal, on arrête à l'instant t. On ne reporte pas son arrêt à tel ou tel jour, ou à la fin du paquet. Bref sinon ça n'en finit jamais. Toutefois, c'est vrai que l'arrêt entraine certaines complications (pensées parasites, nuits difficiles). C'est surmontable. Mais si l'on est en plein rush (partiels, finalisation d'un dossier, approche d'un gros événement,..) et que notre quotidien implique un GROS effort de concentration dans les prochains 15 jours, ok pour reporter. N°4 > Post arrêt Chaque jour, je lisais et relisais les effets secondaires du tabac, ça me motivais à tenir le cap. J'ai aussi mis en place une fois par semaine un jeun de 24h. J'ai acheté une montre de sport qui analyse le rythme cardiaque, fréquence au repos, et qualité du sommeil. Aussi, j'ai fait plus de sport les premiers jours. Et j'ai cuisiné de bons plats et desserts. Tout ça pour penser à autre chose, détourner l'esprit de l'arrêt de la cigarette, et me récompenser à chaque jour. Et bizarrement, j'ai plutôt bien vécu cet arrêt. Je me suis même réconcilier avec d'anciennes passions/loisirs. Après 15 jours, le gros des symptômes est passé. Ensuite il faut accepter que le corps reprenne ses marques (toux, sommeil, etc). La gorge qui "gratte" pendant 1 mois, des difficultés de concentration au début, des rêves/cauchemars intenses pendant au moins 1 mois, parfois des boutons qui apparaissent (encore aujourd'hui). Sinon, un meilleur teint, beaucoup moins de stress accumulé chaque jour, plus de confiance, et un odorat qui reprend vie. Autre point, il faut "remplir" les moments qui étaient réservés à la cigarette. C'est ce qui est pour moi le plus déroutant. Que faire pendant les 5 minutes après le repas ? Que faire de mes mains pendant que je bois une bière fraîche en terrasse ? Le corps est complètement déboussolé par la perte de cette habitude. C'est un défi. Puis avec le temps, on finit par (re)vivre sans la clope. On est pas plus/pas moins intelligent. Mais au moins, on minimise à fond le risque qu'on nous disent, "désolé, vous avez une maladie lié au tabac". Et ça, c'est encore plus cool que de fumer !
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Anonyme (33 ans)
Nationalité Française
04 mai 2018

Bonjour, J'ai 33 ans et cela fera 8 ans en fin d'année que j'ai arrêté le tabac non sans difficulté. J'ai commencé la cigarette à 14ans et j'ai fumé jusqu'à mes 25 ans, environ 1 paquet par jour. Un jour et après plusieurs arrêt infructueux, j'ai senti que ma motivation été forte et j'ai décidé t'arrêter totalement du jour au lendemain. Pour ma part le fait de diminuer n'a jamais fonctionné. Cela a été trés difficile et la tentation trés forte et cela pendant une année. J'ai trouvé le cevrage trés dur et je n'en garde pas un bon souvenir, mais le principal c'est que j'ai tenu et que je n'ai pas repris. Je pense que la motivation compte pour 90% à la réussite de l'arrêt du tabac. Quand je repense à la difficulté d'arrêter je me dis que jamais je ne pourrais reprendre pas aprés avoir réussi à traverser cela. Si je tenais a témoigner c'est pour dire aux personnes que non ce n'est pas facil d'arrêter mais pas impossible. Que pour les personnes qui ont réussi cela a été difficil et qu'il n'y a pas de solution miracle. Il y aura des échecs et puis un jour le déclic et l'arrêt définitif du tabac. Vous serez fier de vous et retourverez des sensations perdues. Mon avis essayez d'arreter à deux, copines, couple,... Cela motive et souvent par fierté l'on ne veut pas reprendre avant l'autre et le temps passe sans fumer. Sans compter sur le soutiens et le fait d'avoir une personne à qui parler et qui comprend ce que l'on vit. Alors n'arrêtez par d'y croire, un jour vous y arriverer même si ce n'est pas demain. Clarisse.
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Barbara (37 ans)
Nationalité Suisse
12 août 2021

Bonjour ou bonsoir à tous! Je voudrais apporter mon témoignage plein d'espoir pour tous ceux qui ont encore du mal à stopper définitivement la cigarette. Cela fait 5 mois que je n'ai pas touché à une seule cigarette. Mon arrêt n'a pas été facile! Durant environ un mois, j'ai beaucoup lutté contre mes angoisses et envies obsessionnelles. Puis... au bout du deuxième mois tout s'est bien arrangé! Plus de besoin impérieux de fumer, juste une petite envie (plutôt une "pensée") de temps en temps. J'ai moi-même beaucoup de mal à y croire et pourtant... Depuis un mois, ma vie est en train de changer. Je sens bien que je ne suis plus tout à fait la même. Je craignais un changement dans ma personnalité: je pensais qu'arrêter de fumer allait me rendre moins "intéressante" et plus timide, que j'allais moins "déconner"... Eh bien... à ma grande surprise c'est l'inverse!! Je suis beaucoup plus ouverte aux autres, moins stressée, très confiante en l'avenir et en moi... En plus des classiques bénéfices physiques de l'arrêt, depuis quelques semaines j'éprouve un besoin impérieux de tout ranger dans ma vie!! J'ai compris et je sais maintenant que je suis une personne forte, motivée et pleine de vie. C'est comme si je devais apprécier chacune des secondes de ma nouvelles vie et je me mets à relativiser tous les soucis... Après avoir supporté ma mauvaise humeur, mon entourage apprécie mon enthousiasme et ma bonne humeur!!! Vive les non-fumeurs!!!!
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Anastasia (38 ans)
Nationalité française
07 décembre 2018

Bonjour à tous, de nature sportive et active depuis toujours, je me rappelle avoir trouver cool l'odeur de la cigarette sur les belles femmes (parfumées aussi) et décider à l'âge de 11 ans que plus tard je fumerai aussi. Pourtant, à l'âge de commencer vraiment, vers 16-17 ans, les premières étaient vraiment mauvaises et me rendaient malades comme un chien..mais je me suis accrochée, vu comment mes parents y étaient accros, je savais que j'allais le devenir aussi, question de temps.. donc ma première volonté ne fut pas de m'éloigner mais de faire mienne cette habitude qui allait bien prendre sa place par la suite. Au cours des années qui ont suivies j'ai alterné entre les périodes d'arrêt (6 mois, 5 ans, 1 an, 3 mois...) et les périodes de rechutes (rechute/vengeance de toutes celles que j'avais arrêté de fumer..gnarf!!). A 34 ans on m'a diagnostiqué un cancer de la glande salivaire et cela faisait 4 ans et demi que je n'avais pas touché une cigarette et là le mental mes amis...le mental avec cette drogue dure, voilà ce qu'il m'a susurré: "dis-donc tu te payes un cancer alors que tu ne fumes plus (en plus j'avais arrêté par peur du cancer!!!), refumons donc gaiement et la prochaine fois que tu en auras un cancer au moins tu sauras pourquoi!" C'est débile mais cela ne m'a pas empêché de refumer peinarde limite déculpabilisée, hum! Et voilà, depuis j'alterne entre période avec et sans. Aujourd'hui cela fait une semaine sans, je vais me battre pour pérenniser mais je tenais surtout à travers ce post vous donner les astuces qui m'ont aidées à lancer mes années sans et que je vivais très bien, comme si je n'avais jamais fumé, avec l'impression d'une complète indifférence vis-à-vis de la cigarette. Pour arrêter, généralement je ne prends rien sauf un truc infaillible: je trimballe avec moi des boites à chewing gum (les grosses) ou des tubes de vitamine C absolument pas pleins de leur contenus d'origine mais pleins de cendres et de mégots de quand je fumais! Le récipient doit être hermétique impérativement car vous ne voulez pas avoir le cendrier portatif qui se renverse dans votre sac à main genre!! Dès que vous avez envie de fumer vous respirez un grand coup votre cendrier et vous bloquez, histoire que l'odeur dégeu vous imprègne bien le nez et la bouche, juré craché après ça, vous êtes calmés! A recommencer autant de fois que nécessaire dans la journée quand l'envie est là. Car avec toutes ces batailles contre la cigarette j'ai remarqué une chose, pour moi, j'ai toujours commencé ou recommencé par ENNUI! pas à cause de drames, je n'avais pas envie de m'en rajouter à ce moment, il était clair que la cigarette ne m'aiderait pas (bizarre la lucidité à certains moments!) mais alors quand je sortais avec un mec qui fumais ou que je m'ennuyais à une soirée...etc et bien c'est toujours dans ces moments là que j'ai repris, en pensant pouvoir contrôler (vu que le première qu'on reprends est infect!) et pouf! c'est reparti, comme en quarante, passez par la case départ et laissez-y 20000 francs, votre santé, votre voiture et votre vie et toute cette mauvaise conscience qu'on endors, qu'on croie gérer. Je vous souhaite à tous de comprendre comment vous fonctionnez, qu'est ce qui vous fait fumer alors qu'à la base on en a aucun besoin, qu'est ce qui vous y a ammené et qu'est ce qui vous y maintient car il n'y a que comme cela que l'on peut en sortir. Quand on laisse partir l'addiction, qu'on la dégage au lieu de lutter et suer sang et eau face au manque, quand on la sent s'éloigner tranquillement avec quelques mouvement d'humeur et des nuits un peu agitées au début certes, mais c'est faisable. Mes dernières astuces qui marche pour moi et qui sont des piliers: - dès l'arrêt je m'entoure d'amis non fumeurs -Pas d'alcool ni soirées enfumées pendant au moins 1 mois Et j'ai toujours cette réflexion avec moi: je regarde les non-fumeurs vivre et je me dis qu'ils ne ressentent aucun manque eux, l'idée de la cigarette ne les effleure même pas et ils vivent très bien , fumer pour eux serait un calvaire sans fin! Alors je me dis que moi aussi j'ai envie de vivre sereine comme cela et cela m'aide. Bonne chance à tous!
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Raphaëlle (37 ans)
Nationalité Française
25 octobre 2016

Bonjour, J'ai arrêté de fumer depuis le 14/07/15. J'espère que cet arrêt sera le définitif. En tout cas, la fumée des autres fumeurs me dérange maintenant, et je ne pense pratiquement jamais à fumer. Je voulais témoigner sur plusieurs choses : - On ne prend pas forcément du poids lors d'un arrêt : j'ai perdu du poids en pratiquant la course à pied pour penser à autre chose (3 fois par semaine). - On a pas forcément besoin de substituts nicotiniques pour arrêter. J'ai lu le livre d'Allan Carr (deux fois) et c'est tout. J'avais essayé l'hypnose, l'homéopathie, les patchs, les gommes et la cigarette électronique mais sans résultats. Peut être la maturation de l'idée d'arrêter de fumer a joué, mais en tout cas, il ne faut pas avoir peur de se lancer dans l'arrêt. Si ce n'est pas la bonne, ce sera pour la prochaine fois. Bonne journée à vous Raphaëlle.
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Jeremy (32 ans)
Nationalité Belge
12 août 2021

Bonjour, J'ai commencé à fumer quand j'avais 12 ans, oui ça peut paraître jeune... Mais quand on commence si tôt, c'est surtout pour faire comme les autres, s'intégrer à une bande de potes, "paraître bien " et ne pas être rejeté par les autres. Mais à cet âge là on n'a pas non plus conscience des conséquences que la cigarette peut causer sur la santé. Je suis entrée dans le tourbillon, à 16 ans j'ai réussi à arrêter de fumer pendant un an, mais une petite dépression a suivi et j'ai replongé, entraîné par une amie qui n'allait pas mieux que moi. Je n'aurai jamais dû ! Quelques années plus tard, j'ai commencé à me rendre compte des méfaits de la clope sur ma santé, quand je courais je crachais du sang, je vomissais plus souvent, j'étais nerveux à cran, souvent fatigué, une haleine de chameau et j'ai commencé à vraiment m'inquiéter quand mes dents se sont tâchées. Puis j'ai rencontré une personne de 49 ans avec un "trou dans la gorge", elle avait subi une trachéotomie (ça fait jeune non ?) à cause de la cigarette. Je n'ai alors pas compris un moindre mot de ce qu'elle me disait. Et cela a été le déclic, en rentrant chez moi, j'ai tout jeté et voilà un an qu j'ai arrêté de fumer. J'y repense encore car il faut de la volonté pour arrêter mais tout a changé. Je n'ai plus mes tâches sur les dents et bien sûr j'ai diminué les risques d'avoir un cancer. Et que tous ceux qui veulent arrêter la clope le fassent car maintenant je me prive de certaines sorties sous peine d'être asphyxié par la clope des autres et puis j'en ai marre de faire des lessives de vêtements qui puent en moins d'une heure !!! Je rencontre maintenant le phénomène d'exclusion des non-fumeurs et je regrette vraiment d'avoir mis une cigarette dans ma bouche la première fois. Sincèrement, on vit mieux sans !
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FRANCINE (60 ans)
Nationalité F
08 août 2017

J'ai arrêté de fumer le 21/04/2016 et je n'ai pas re fumer depuis , même si j'ai parfois de légères envies que je surmonte facilement. J'ai pu arrêter en travaillant sur ma volonté d'arrêter de fumer . Je m'explique : comme je n'avais pas beaucoup de volonté , 10 jours avant le 21/04, j'ai démarré le 1er jour avec 10% de volonté et en définissant 1 aspect positif , le 2ème jour avec 20% de volonté et un nouvel aspect positif et ainsi de suite jusqu'au 10ème jour , 100% de volonté et un 10ème aspect positif.... et à 3h du matin , le 21/04 , j'ai fumé ma dernière cigarette . J'ai été étonnée de la facilité de ce moment , sans stress ni souffrance psychique. Je crois que cette progression sur le pourcentage de volonté m'a laissé le temps nécessaire pour vraiment arrêter de fumer. J'ai voulu témoigner pour partager mon expérience au cas où cette méthode conviendrait à d'autres personnes.
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Anonyme (67 ans)
Nationalité France
13 novembre 2020

Bonjour Mon sevrage remonte à 1999 mais il peut ( peut-être) en inspirer d'autres .A l'époque, il n'existait pas grand-chose comme aides, et si j'ajoute que je viens d'une famille de gros fumeurs ( mes parents et mon frère aîné en sont morts...), que chez moi, mon mari et mes deux filles fumaient, que dans mon travail ( aide- soignante en psychiatrie) c'était une tabagie permanente, que tous nos copains fumaient et que j'avais commencé à 16 ans, on peut voir que ce n'était pas gagné ...En plus, j'était très dépendante !Et pourtant , j'ai réussi du premier coup . Après avoir passé 5 ans à essayer toutes les méthodes , j'ai opté pour la plus radicale : suppression TOTALE du jour au lendemain . Et pour tordre le coup à un cliché ultra répandu : ce n'est pas une histoire de volonté ...mais de MOTIVATION ! et du bon moment pour le faire! Les premiers jours, c'était l'euphorie , et dès le départ, je n'ai pas cherché à éviter les fumeurs, j'ai simplement considéré que c'était LEUR problème et plus le mien, je m'en suis affranchie .Littéralement ! Les difficultés sont apparues progressivement au bout d'une quinzaine de jours , je ne ressentais aucune envie de fumer ( même en présence de fumeurs..)mais dès le réveil, les larmes ont commencé à couler ...et pour des bricoles, je ne pouvais pas les arrêter ....c'est ce qui m'a été le plus dur à gérer , ça a quand même duré 6 mois..!! J'ai aussi pris 10 Kgs ( je suis petite , en plus...) mais c'était secondaire , seule importait le fait de tenir et de durer ! Je n'ai jamais voulu essayer de " tirer une taffe pour voir ", je trouve ça infantile et dangereux! je révais souvent que je refumais( le cerveau n'oublie rien..), très vite on voit les réactions physiques : peau plus belle, cheveux brillants, voix plus claire, respiration/souffle plus profonde, meilleure estime de soi ..Oui, il y a une vie après le tabac ! Tous les ans, à la date anniversaire du sevrage , je me félicite personnellement , et je ne considère jamais que c'est acquit : comme un ancien alcoolique, on reste TOUJOURS vulnérable , même des années après ... Ne pas oublier :" Plus le corps est fort, plus il obéit, plus il est faible , plus il commande "( JJ Rousseau).Je souhaite à ceux qui " choisissent une autre vie" de réussir et de tenir . On vaut bien ça !!! Cordialement Calico
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PIERRE (49 ans)
Nationalité FRANCE
08 juin 2004

J'ai commencé à 11 ans j'ai 49 ans... avec l'age et un bon stress on atteint vite les 2 paquets jours... La cigarette cette douce et fidèle compagne que j'ai cotoyé pendant de si nombreuses années comment j'ai fais pour la plaquer du jour au lendemain ?? C'est simple j'ai enfin compris qu'elle avait décidé de me tuer par mort lente en me faisant souffrir le martyr . Notre séparation a été très dure mais j'ai tenu le choc et j'en suis fier ... J'ai pas pris de zyban xanax ou autres produits qui sont censés aider au sevrage mais coute aussi cher que le tabac ... A l'ancienne comme mon père (lui aussi gros fumeur)avec une DOSE XXXXXLLLLLL DE VOLONTE ... Se dire tout les jours je suis plus fort que la cigarette ,encore une journée sans clop ,je me sens de mieux en mieux , une forte envie de cigarette ? ce serait trop bète celà fait 10 jours que j'ai arreté tout ce boulot sur moi meme anéantit en une fraction de seconde... Jamais de la vie tiens bon... P'tite envie dans la voiture vite je me mets à chanter... Je prèche la bonne parole quand je vois un minot la clope au bec cela me motive un max je suis devenu un repenti... Une chose est sure, bien que certain dise qu'il est facile de replonger ,moi je sais trop ce qui m'en a couté pour arreter . JE NE FUMERAIS PLUS JAMAIS DE MA VIE ...
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Anne (38 ans)
Nationalité Suisse
01 août 2002

J'ai commencé à fumer à l'âge de 16 ans (5-15 cigarettes par jour). Heureusement(?) pour moi, je n'ai jamais été totalement accro, ce qui m'a permis d'arrêter (et de recommencer...) bien des fois. Aujourd'hui j'arrête et c'est les mots d'une personne que j'estime énormément qui me servent de soutien et que je souhaite partager avec vous. Elle m'a dit un jour que, pour mener à bien une résolution, quelle qu'elle soit, il fallait "les quatre D": le Désir, la Décision, la Détermination et la Discipline.
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SOPHIE (57 ans)
Nationalité FRANCAISE
09 janvier 2015

Bonjour, je me suis arrêtée le 5 janvier. Stop-tabac.ch m'a beaucoup aidée. La cigarette électronique aussi, car elle me permet de conserver ma "tétine". Je commence d'ailleurs à baisser le dosage de mes recharges car j'avais le sentiment d'être en surdosage... Depuis 2 mois environ, je cherchais une solution efficace pour me faire soutenir. J'ai contacté votre homologue français, leur demandant s'ils connaissaient des associations proposant des soutiens type "fumeurs anonymes". RIEN! La grande chance, c'est que cette fois, mon mari et mon fils aîné ont également décidé d'arrêter. En effet, mes précédentes tentatives avaient échoué car j'étais trop tentée par les cigarettes qu'ils laissaient traîner. Grâce à cette synergie, pour la 1 ère fois, je n'ai pas ressenti de manque, ni, surtout, de phénoménales crises d'angoisse. Jusqu'à présent en effet, je me sentais incroyablement frustrée lors de mes tentatives d'arrêt. Le manque était surtout psychologique! Une souffrance folle, comme si mon "enfant intérieur" protestait contre la disparition de sa tétine. J'ai rempli à ce sujet un questionnaire que vous m'avez adressé car je trouve en effet très utile ce travail de recherche d'une meilleure compréhension des mécanismes du tabagisme. Je retrouve mon souffle, des capacités de travail décuplées, une meilleure mine et une sorte d'envie de vivre, de faire plein de choses, c'est incroyable ce que je me sens boostée. Je me suis arrêtée avec mon mari il y a 1 an et demi pendant 1 mois, mais j'ai compensé avec du vin et des gâteaux, ce qui m'avait prendre quelques kilos (heureusement perdus aujourd'hui). Il ne faut absolument pas compenser! Je me suis arrêtée également de façon significative, avec mon mari, de 2000 à 2005. C'était une nécessité. Je lançais un journal, j'avais un travail de folie et je n'aurais jamais pu tenir. Je me suis également arrêtée de 17 à 18 ans et de 29 à 30 ans. Tous ces arrêts m'ont aidé à voir qu'on pouvait très bien vivre sans tabac, mais je me souviens aussi qu'il me manquait des stimulants. C'est ce qui me fait le plus peur encore. Heureusement, la cigarette électronique occupe le terrain de façon assez efficace. L'impression de conserver une "attitude". A suivre, donc. Sophie
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Philippe (43 ans)
Nationalité Belge
12 décembre 2006

Jamais trop tard ! Je fume depuis 20 ans ...j'en ai 43 aujourd'hui . Depuis le 1er novembre 2006 , j'ai mis mes cloppes au placard . Le 1er Novembre jour date du tour de Ste gertrude , promenade folklorique de 16 kilomètres , ce jour là j'ai décidé d'arrêter de fumer ! Doppé par l'activité physique je n'ai pas été dérangé le 1er jour . Les jours suivants là , le cauchemar a commencé , mauvaise humeur , fringale , insomnies ,etc ..bref il fallait trouver quelque chose a faire durant les heures de tabagisme intense ! Eh bien j'ai repris de la course a pied , de la musique (guitare). Malgré les années , je suis a 10 kms deux fois par semaine et même 3 si je sais que je vais sortir au resto ou entre copains . En effet après 10kms , il y a plus moyen de fumer . Pendant le 1er mois je me suis forcé a être occupé en permanence , pas une minute de répis . Au bureau les gars de mon team viennent courir avec moi tous les mardi . C'est vraiment important d'être soutenu par la famille et par les amis ! Aujourd'hui je revis et j'aime la vie . Ph .
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Joëlle (50 ans)
Nationalité Suisse
31 mai 2017

Bonjour je viens d'avoir 50 ans, il y a 865 jours que j'ai arrêter de fumer et ceci grâce à Champix et ma volonté, j'ai commencé à fumer je pense que je devais avoir 16 ans avec les copines, durant toutes ces années j'ai essayé à 3 reprises d'arrêter la fumée, la première fois sans rien prendre, j'ai recommencé, la deuxième avec le Zyban, ça n'a pas du tout été et la troisième était la bonne merci Champix. Alors toi qui me lis et qui fume toujours essaie vraiment d'arrêter de fumer car c'est vraiment pas top la fumée ça tue et quelques soit ton âge je suis sûr et certaine que tu peux y arriver.
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Anonyme (51 ans ans)
Nationalité Française
06 février 2020

Il y a 6 ans je décide d’arrêter de fumer en prenant du champix. Oui j'ai stoppé la cigarette au bout de trois Mois. Mais a quel prix !!!!. Perte d'équilibre, perte de mémoire immédiate, libido à zéro. depuis seul la mémoire immédiate n'est pas revenue et j'en souffre tout les jours. Ce médicament est un poison, un pure poison. Il devrait être interdit tout simplement.
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sandrine (47 ans)
Nationalité francaise
14 juillet 2018

Ma bequille, mon antistress, ma meilleure ennemie..., je l'ai pourtant quitté il y a 6 mois ce soir exactement à l'heure où j'écris...pour moi, pour mes amours, pour la vie. Plusieurs tentatives d'arrêt ont émaillé'mon parours de fumeuse fidèle, depuis l'âge de 15 ans...durant 30 ans. Mal au dos...et si c'était un cancer...mal au ventre et si...mal à la gorge... STOP! Zyban, cigarette électronique., hypnose..et patch pour finir, il suffit de trouver la bonne solution pour en finir... 6 mois après je prends encore de grandes inspirations pour faire passer une envie fugace et ainsi j'apprécie un peu plus le souffle retrouvé. Je ne me sens pas guérie, je suis vigilante et tellement heureuse de vivre sans... Mes amis disent souvent que si j'y suis arrivé, tout est possible, alors allez y!!!
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Dylan (22 ans)
Nationalité Suisse
21 octobre 2015

Bonjour, j'ai arrêté de fumer depuis 1 mois et je dois dire que je ne pensais pas pouvoir récupérer autant vite. J'ai l'impression de revivre!! Je voulais faire part de mon expérience pour pouvoir aider d'autre personnes. Points positifs: Les matins je me levais et fumais une cigarette au réveil et ensuite je déjeunais. C'est quand même grave de se dire que je dois d'abord fumer plutôt que de manger. Maintenant je me lève tranquille et non stressé. Le fait de ne plus être fatigué constamment les soirs après 20 cigarettes dans le corps. Le fait de ne plus tousser les matins des glaires, ne plus puer à longueur de journée. Je porte des lentilles et javais souvent les yeux secs à cause de ces cigarettes et maintenant c'est fini. Je suis bien mieux en général et j'ai retrouvé la pèche la journée. Je me marre bien quand je vois tous ces "suiveurs" se geler les pieds dehors le matin à la pause. J'ai retrouvé l'odorat. Je n'ai plus besoin de stresser pour acheter des cigarettes, ou retrouver le briquet pour pouvoir en fumer une et me sentir justement moins stressé. C'est cette cigarette qui vous fais stresser exprès pour que vous voulez fumer. C'est quand même grave d'être un esclave de cette daube en tube. J'ai un cardio et oui j'ai 22 ans et je cours de temps en temps, et depuis une mois j'ai triplé mon endurance et ce juste en arrêtant. Le teint du visage est aussi hallucinant, en 1 mois ma peau a retrouvé toute sa couleur et sa fraîcheur et à 22 ans se voir dans le miroir et se dire qu'on fait plus que son age c'est quand même le combe. Ne soyez pas un "suiveurs" et gardez votre argent pour vous et pour vous faire de jolies vacances.. Bon maintenant les points négatifs: Je précise qu'à l'instant je peux dire que ces symptômes ont totalement disparu. Ils ont duré 2 semaines et la 3ème semaines ils ont diminués. J'étais irritable et chiant au possible sans compter que je me sentais mal et à moitié dans les vapes. J'avais la tête qui tourne pendant les premiers jours. On a arrêté ensemble avec la copine et elle est aussi super contente du résultat malgré toutes les disputes dues à cet arrêt. J'ai pris un kg et je m'en fou complètement, c'est pas grave du tout et ça ne se voit pas mon plus. Comment j'ai fais pour arrêter, il n'y a pas de remède miracle néanmoins quelques conseils: Faire un pacte avec sa copine et ses proches du genre si je m'énerve ce n'est pas grave et c'est normal. Partir sur le principe qu'on le fait pour sois-même et que si je m'engueule avec qqun à cause du manque, on s'en fou, la personne comprendra et si elle ne comprend pas tant pis pour elle! Faire des bonnes nuits de sommeil, ça m'a aider! Ne pas boire d'alcool, j'adore sortir et je me suis dit que si je sortais et que je voulais fumais je rentrais directement à la maison et tant pis si je loupe 2-3 soirées. La première soirée j'ai tenu 1 heures et ça m'a gâché toute la soirée et je m'en fou. Ce n'est pas grave!! Un conseil de ma copine qui me le dit souvent: prendre la vie cool et profiter, mais profiter sans se démonter la santé c'est possible en arrêtant cette m.. Se sortir les pouces du cul une bonne fois pour toute et se donner les moyens d'arrêter facilement. Pour les gars qui sont stressé comme moi à cause de l'arrêt, faites 20 pompes à chaque fois que vous voulez fumer et vous verrez après 200 pompes pendant la journée, ça va vite diminuer. On dit souvent que les drogues c'est mal mais il faut ouvrir les yeux et se dire que la drogue la plus puissante reste les cigarettes mais la seule différence c'est que ça a été légaliser et du coup ils se font tellement de tune avec cette m.. que ça restera légal et les gens continueront à penser que ça n'est rien et pas grave mais c'est faux! La vérité c'est que ça tue alors posez vous la question: Vous voulez vivre ou vous voulez mourir à cause d'une m.. pareil!! Bref voilà mon expérience. J'espère que ça va aider des gens qui se demandent s'ils veulent arrêter ou non! N'hésitez pas une seule seconde et foncez!! ++
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Anonyme (58 ans)
Nationalité France
04 octobre 2020

Le tabac c'est un gros business de l'état. Votre dealer s'il était sincère obligerait les fabricants à réduire chaque année le taux de nicotine et ainsi sevrer TOUT le monde...Mais les taxes sont plus importantes que votre vie, la vérité de la bien pensante c'est rien d'autre que ça...! et puis se développe à vos dépends un autre business celui de l'arrêt du tabac, on vous vend toutes sortes de choses, du patch à l'hypnose au pack arrêt etc etc, et puis...on vous ment en vous disant qu'arrêter de fumer n'est pas si difficile...le but étant que vous soyez le moins armé possible, le moins prêt possible pour favoriser votre échec...imaginez un sportif a qui l'on ferait croire que c'est gagner d'avance et qui ne se préparerait donc pas mentalement en fonction de la réalité. Arrêter de fumer est difficile, long, vous souffrirez longtemps, moins durant certaines périodes, mais...rien n'est gagné ça reviendra... voilà vous savez vous allez pouvoir vous préparer à la hauteur du défi... un moins sans tabac... une goutte d'eau dans la mer, d'autant que le premier mois est le plus facile...Laisser tomber tous vos remèdes miracles...qui encore enrichissent les autres...allez vous encore longtemps vous laisser plumer par l'état et tout son réseaux... Prenez une calculatrice et chaque jour faite tourner le compteur sous vos yeux plusieurs fois par jour à chaque journée sans tabac comptez le nombre d'heure que cela fait, puis en jour, puis en mois puis en années faites ce calcul autant de fois par jour que votre esprit est torturé, faites aussi sur un calendrier une croix chaque jour celui de l'argent que vous économisez ainsi x fois 10 euros par jour...au départ fait le traitement des patchs mais là encore ne soyez pas aussi optimistes que votre pharmacien, ne vendez pas la peau de l'ours avant de l'avoir tué... ne faite pas 21 mg 3 mois mais 5 moins...puis 14 mg 4 moins puis 4 mois aussi en 7 mg...Faites aussi le ménage autour de vous, famille amis, et toutes les occasions qui amènent à fumer / fêtes/ sorties etc il faut décider faire un choix et si tenir sinon ne faites rien et continuez de vous consumer jusqu'au bout. La semaine dernière un type de 40 ans marié avec deux petites filles, et avec qui je travaillais m'a dit j'aurais du faire comme toi...il croyait que ça n'arrivait qu'aux autres......... le cancer de la gorge, on lui a fait un trou pour qu'il puisse encore un peu respirer, mais il ne peut plus parler et...pour combien de temps encore, et sa femme? et ses enfants dans tout ça ? bien sur il ne travaille plus et il ne voit plus personne...les amis, qui en signe de détente vous tendent une...bonne clope. J'ai comme vous tentez des dizaines de fois j'ai TOUT essayé, alors pourquoi j'ai réussi la dernière fois c'est quoi la différence ! et bien je vous l'ai dit la différence c'est que cette fois j'étais prêt mentalement je savais que ce serait dur très dur et long...qu'il y avait un cap..à passer pour être en fin LIBRE. / cela fait 782 jours, je continue de tenir mes comptes chaque jour mais aujourd'hui je le fais juste pour le plaisir, 18768 heures et 7820 euros mis de côté en plus...Mais il y a tout le reste aussi le confort de vie, la santé...et quand l'état annonce une énième augmentation du tabac à présent ça me fait RIRE, car l'état...Le premier mois c'est de la rigolade ça on le sait avec les autres mois...ne vous faites pas avoir les 8e 9e 10e ça va mieux, bonne période...ne relachez pas votre vigilence vous n'ête pas sortie d'affaire, je me souviens encore du 15e 16e et 19e mois... mais depuis 6 mois je ne souffre plus du tout, plus RIEN et je me dis que si c'était à refaire je le referais bien plus tôt ! quand je pense que certains ose vouloir la légalisation du cannabis...et son cortège funeste. Ne lâchez rien.
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audrey (39 ans)
Nationalité France
21 décembre 2017

Bonjour à tous; j'ai arrêté de fumer ça fait un mois;et vos témoignages m'aide chaque jours. Ils me motivent encore plus à ne plus jamais fumer. J' ai commencé vraiment à fumer tous les jours à 16 ans jusqu' à il y à un mois ou j'ai été chez mon docteur pour une prescription de patchs et nicorette. A préciser que c'est rembourser par la caisse. Je fumais 1 paquet par jour des années dès le matin jusqu'au soir avant d'allé me coucher. Et pendant mes 3 grossesses. Je savais que j' avais un bébé dans le ventre et pourtant il me fallait ma drogue. Heureusement mes enfants n'ont rien. A peine j'allais au lit ce voile qui me faisait tousser et toussait pendant 30 minutes; jamais de confort en allant me coucher ;toujours cette toux. Aujourd'hui ça fait un mois passé et je ne tousse plus le soir en allant me couché; je respire à fond; je me sens tellement bien ce que je n'éprouvais pas avant. Après chaque repas je me lave tout de suite les dents. Je me suis acheté aussi des bonbons à la menthe; c'est agréable d'avoir une bonne haleine. Plus de café; tout ce que je faisais en fumant café cigarette.... je l' ai supprimé. Plus de café; je ne regarde plus de film je lis un livre dans mon lit à la place. Voilà je vous raconte mon début de vie sans cigarette et je vous encourage tous à arrêter car c'est vrai qu'on peut vivre sans cette drogue il faut vraiment le vouloir. Et ne pas attendre d'avoir une maladie pour arrêter. Je sais aujourd'hui que plus jamais je ne fumerais. Pour moi ce qui ma vraiment aider c'est de changer toutes les habitudes que j'avais avant et les substitut patch m'ont aidé aussi. Mon mari a arrêté aussi; en me voyant tellement bien je l' ai motivé. Et on n'a jamais fumer dans la maison avant j'en avait marre à ne de sortir dehors quand il faisait froid pour fumer.
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Maud (33 ans)
Nationalité Canadienne
09 août 2021

Bonjour ! Je m'appelle Maud et j'ai témoigné il y a un peu moins d'un an sur ce site, lorsque j'ai arrêté de fumer. Ca fera un an dans quelques jours et je suis fière, extrêmement fière. Je témoigne aujourd'hui pour vous dire que oui, c'est possible. Je fumais un paquet par jour il y a un an. Je ne touche plus une cigarette et ce n'est pas un supplice, c'est un bonheur. Croyez y, tentez le, retentez le. Et dites "merde" aux gens qui ne croient pas en vous. Trouvez vos motivations, écrivez vos motivations, partout, chez vous, au bureau, en voiture (vive les post it !) Je dit souvent que je viens de passer une année en "é" : j'ai pleuré, insomnié, enflé (+ 10 kg !), boutonné tout l'été... mais j'ai réussi. Je me suis donné un an pour "évacuer" la cigarette ! Voilà le constat : * j'ai pleuré des heures entières, sans raison apparente : mes meilleures amies ont cherché des heures entières à savoir pourquoi je pleurais "pour rien". On a finit par en rire... moi, toujours en pleurant ! Et ça passe. J'ai retrouvé ma pêche légendaire ! * j'ai insomnié... ben oui, ça m'arrive encore. Je prends le bon côté des choses... lait chaud avant d'aller me coucher, tisanes relaxantes, musique douce, bain avec bougies et huiles essentielles. Ma fille adore. Moi aussi... Pas si désagréable que ça de soigner les insomnies ! * j'ai enflé... Ah ça... c'est vraiment désagréable ! Mais j'avais accepté l'idée que ça pouvait arriver et je pense que ça a contribué largement à ma réussite. Une année bouboule contre une vie plus saine. Je prends. Et là ça y est... En m'attaquant aux haricot verts plutôt qu'à la plaque de chocolat, la balance recommence à sourire. Mes fringues aussi. Et moi, je n'en parle même pas ! * boutonné tout l'été... là, les filles (et les garçons), c'est l'occasion ou jamais de vous ruer chez l'esthéticienne pour des soins du visage. Du temps pour vous, on s'occupe de vous... Si c'est pas le bonheur tout ça !!! Je commence ma nouvelle vie saine d'ex fumeuse. Entre nous, si j'ai eu suffisamment de volonté pour réussir à arrêter de fumer, c'est donc que je peux avoir suffisamment de volonté pour beaucoup, beaucoup, beaucoup d'autres choses, non ??? Waouh !!!
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Bezsc (76 ans)
Nationalité CH
19 novembre 2023

Hello bonjour toutes et tous, Je tiens le coup 😉 depuis 100 jours sans trop de difficultés. Grâce à mes patchs et ma tabacologue. Je vis mon sevrage confortablement. Novembre et décembre sont des moments festifs et je dois faire encore attention à la prise d'alcool ? Portez-vous bien, bon vent et bonne route à vous. Bezac
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Oliver (51 ans)
Nationalité Suisse
15 novembre 2023

101 jours aujourd'hui. Quelques envies depuis 3 ou 4 jours mais rien de grave. Tellement satisfait. Un conseil, entreprendre une activité sportive. Difficile au début et tellement rapidement le niveau revient. Beaucoup plus rapidement que quand je fumait. Que du bonheur. Courage et plaisir à tous.
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Patty (59 àns ans)
Nationalité Française
05 août 2023

Le plus beau cadeau que je puisse me faire est celui d’arrêter de fumer, je crois que cela fait 2 semaines, je ne sais déjà plus que je fumais car j’ai commencé une nouvelle vie et aucun manque à constater, j’ai l’impression de n’avoir jamais fumé et c’est un sentiment merveilleux, celui d’être enfin libre et ne plus devoir sortir fumer et de s’isoler aussi en même temps. Il est vrai que je dors mal mais c’est une phase du sevrage et oui je somnole un peu mais c’est pas grave et je sens que mon corps peu à peu n’est plus sous l’emprise de la nicotine. J’étais malade quand je fumais et désormais je sais que comme l’alcool il ne faut jamais accepter cette cigarette et s’en convaincre tous les jours. Voilà je continue mon combat car cela en est un, mais j’avance pas à pas et seul l’instant présent importe. Rien n’est impossible, au contraire, notre force est notre persévérance et notre humilité car rien n’est acquis dans la vie. Merci
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Anonyme (50 ans)
Nationalité Tunisienne
16 juillet 2023

13 jours déjà passés , et j'ai encore peur de l'échec Après presque 35 ans de tabac et plusieurs essais d'arrêter de fumer ces dernières années,j'ai prix la décision de profiter de stage que je dois passer loin de chez moi pendant 21 jours pour me libérer de la Cigarette. Aujourd'hui c mon 13 ème jour sans tabac mais ce diable est encore présent dans ma tête c un vrai combat il faut tenir bon a chaque envie je bois une tisane romarin menthe .. Je marche je courset je lis les témoignages j'ai des cigarettes a la maison quand je retourne à la maison les week end mais â ne pas toucher J'arrête ou je reste esclave avant de mourir
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Patoche31 (63 ans)
Nationalité Francaise
11 juin 2023

Bonjour Cela fait presque 40 ans que je fumé ma volonté est d arrêter or je mets actuellement 2 patchs de 21mg ce qui ne m empêche pas de fumer de temps en temps bien sur j ai beaucoup réduit ma consommation de cigarettes je vapote aussi mais je ressens toujours le manque de cigarettes je me demande si je vais parvenir à arrêter tout
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Marie (48 ans)

17 mai 2023

Le plus compliqué pour moi a été de prendre la décision de m´arrêter. Après, m´entourer des bonnes personnes, des bons outils m´aide énormément. Personnellement j´ai opté pour l´addictologue, l´acupuncture et l´appli stop tabac. Très utile et tres aidant. J´en suis à plus de 3 mois d´arrêt et très fière de ça.
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Tabac59 (50 ans)
Nationalité Francaise
24 février 2023

J ai arrêté de fumer définivement il y a 24 ans, apres une consommation de tabac d une quinzaine d années et à raison de 1 paquet par jour les 2 dermières années. Je fumais dés le lever et avant de manger, très intoxiquée. J ai stoppé net, sans aide, ni traitement. Ca été très dur. Il faut compter 1 an sans fumer pour crier "victoire ". Pas avant. Attention, une fois le sevrage passé des 2 premières semaines, on rentre dans des périodes où tout va bien, où on a oublié la clope entrecoupées d'envie. Puis 6 ,7 mois après, on se réveille un matin avec une envie épouvantable de fumer comme si on avait arrêté la veille. C est démoralisant. C'est ça le plus dur. On m'avait prévenue. Ça a duré 1 semaine complète où j ai eu envie de fumer. J ai tenu bon. On m'a expliqué que çà peut revenir 1 an après l'arret. Apres cet épisode, ce n est jamais revenu. Je n ai jamais repris depuis 24 ans. J en ai gardé un mauvais souvenir et ne veut plus revivre cela. Je vis normalement, je cotoie des gens et des endroits où on fume et cela ne me fait ni chaud , ni froid. Mais en passant dans la fumee, je la hume et je me surpends à me souvenir du plaisir que j avais à fumer. Mais j ai tellement gagné plys en arrêtant...je n ai jamais regrette.... Voila mon expérience. Donc conclusion : 1 an pour arrêt. Ensuite, c est un travail intérieur. Moi, j étais décidé d arrêter , j etais convaincue et plus rien ne pouvait m arrêter. A partir de là , le mécanisme s enclenche. Ne pas attendre que tout aille bien dans la vie pour arrêter. Ce ne sera jamais le bon moment. On a tjrs des merdes dans la vie. J ai arrêté dans la période la plus noire de ma vie. Et j ai reussi. Ensuite pour pallier les grosses envies, je buvais un grand verre d eau et j allais respirer au jardin, puis je me disais :" voila je viens de fumer, je refumerai tout à l heure" . Et en fait le cerveau faisait comme ci il avait eu sa cigarette. Et ça passait. Voila quelques trucs . J aurai peut être du mettre patch, etc ...mais trop cher. J ai préféré garder les sous et m acheter un truc avec. Mais je ne vous cache pas, que ça n a pas été facile. Les gens qui vous promettent monde et merveilles, attention. .... il faut être convaincue dans sa tète, que c'est de la merde, que je peux vivre sans elle ...bon courage...
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Anonyme (51 ans)
Nationalité française
22 février 2023

Bonjour, J'ai commencé à fumer à 14 ans. J'ai arrêté en 2008 et repris en 2015 en pensant que je pouvais fumer une cigarette pendant une soirée, ben non, votre cerveau reste connecté à vie, si bien que j'ai repris comme avant même plus. J'ai arrêté le 7 février. Je me sens bien, revivre... Les gens toxiques je m'en éloigne alors pourquoi pas supprimer ma meilleure ennemie la cigarette ! le premier jour a été difficile, l'impression d'avoir des litres de salive et toujours soif. Aujourd'hui je vais bien. J'ai arrêté du jour au lendemain sans patch, gomme.... J'ai simplement supprimé le café/clope et je bois du thé vert à la menthe, je n'ai plus mauvaise haleine, je ne suis plus fatiguée le matin au réveil, j'apprécie la vie tout simplement. Adieu cigarette !
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Eilora (58 ans)
Nationalité Française
24 janvier 2023

J'ai arrêté la cigarette depuis le 17 octobre 2017, en grande partie grâce à ce site, pendant six mois avant l'arrêt j'ai lu tous les témoignages, et un beau jour je me suis dit, si les autres y arrivent alors moi aussi, je fumais depuis 30 ans, à la fin 40 cigarettes par jour ,fumées, à la chaîne sans réel plaisir, enchaînée à ce tube nauséabond... Je n'avais jamais essayé de stopper. J'ai compris que c'était une addiction que pour en sortir c'est contre moi même ,que j'allais devoir me battre, pas facile tous le jours, mais au bout de 8 mois, un matin j'ai réalisé que c'était terminé, je n'avais plus envie et quel bonheur, quelle fierté aussi pourquoi ne pas avoir essayé avant??? Je n'ai rien pris, aucun substitut, il y a 3 mois j'ai accepté une taffe et j'ai vomi automatiquement, mon corps ne veut plus de ce poison, alors croyez en vous, le jour ou vous saurez que c'est fini, ce jour sera un jour de pur bonheur...
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Anonyme (53 ans)
Nationalité Suisse
03 janvier 2023

Bonjour, Je pense qu'arrêter de fumer c'est dépenser plus : - Dépenser de l'énergie à "devenir stratège", sans compter qu'on ne pense qu'à ca (c'est l'impression que j'en ai) - Dépenser en substituts nicotiniques Il est importante que la motivation ne soit pas uniquement financière car, dans les premiers jours d'arrêt (les plus difficiles), on dépense un max ! Pourquoi n'y a-t-il pas de programme d'aide financière à l'arrêt? Quand est-ce que l'Etat comprendra que la fumée est une vraie dépendance au même titre que l'alcool et la drogue (même si c'est une dépendance moins dure.... enfin, ca, je n'en suis pas si sûre). Pourquoi les cures de désintox' (drogue ou alcool) sont prises en charge et pas celle pour arrêter de fumer ? Mes motivations ? une promesse faite à mon père sur son lit de mort (après une longue maladie due à la cigarette) et une autre faite précédemment à mon fils. Début décembre, j'ai décidé de fixer la date au 31 décembre ! à minuit, j'ai éteint ma dernière cigarette. Même si ca ne fait que 3 jours, avec substitut, je suis quand même fière de moi ! Je sais que la route va être longue, mais ma tête dure et moi, on va y arriver ! Un jour à la fois..... Avec la prière de la Sérénité et beaucoup de verres d'eau :o)
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wombatine (42 ans)
Nationalité suisse
17 décembre 2022

J’ai arrêté de fumer grâce à Stop-tabac le 21 avril 2011. Le forum m’a énormément aidée, ainsi que les patchs et les bonbons à la nicotine qui m’ont soutenu jusqu'à 2 ans après mon arrêt lors de gros coups de stress. Je fumais un paquet et demi par jour depuis 15 ans, je toussais beaucoup et je ne pensais pas pouvoir tenir 24h sans cigarette. Tout est bon à prendre pour lutter contre la clope, tenez bon et acceptez toutes les aides, momentanément, pour sortir de cette dépendance absurde et pourtant si violente !
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Mino (67 ans)
Nationalité France
07 novembre 2022

10 jours sans cigarette et beaucoup plus facile que ce je pensais ... Merci à Joëlle, la tabacologue qui m'appelle. Elle a su trouvé les mots rassurants sans me culpabiliser notamment lors d'une petite rechute il y a 3 semaines ! Encore bien sûr quelques envies fulgurantes ... le petit monstre n'est pas encore mort ! Alors je pense à mon souffle qui revient, à cette mauvaise haleine qui a disparu, et à la fierté que je ressens. Tout compte fait, il est plus facile d'avoir arrêté que de continuer à fumer en pensant tout le temps à diminuer ! Les emails que je reçois du coach ont aussi leur importance pour m'aider à tenir bon A bientôt pour continuer à donner des nouvelles
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Sybille (26 ans)
Nationalité Suisse
09 août 2021

Bonjour, 2 ans dans 1 mois que j'ai arrêté de fumer !!!!! vous vous rendez-compte du chemin parcouru !! je n'en crois pas mes yeux, et pourtant, c'est possible. Cela parait difficile au début et puis finalement, les jours passent , les semaines aussi, puis les mois, et enfin 1 année, 2 années ... De mon côté, avec du recul, je me dis que j'aurai du arrêter plus tôt car finalement, ce n'est pas insurmontable d'arrêter la cigarette, juste un mental d'acier et le tour est joué. Je ne dis pas que l'envie ne reviens pas, c'est faux, de temps en temps, mon corps me dis : allez, vas y, juste une petite clope, lors d'un coup dur de la vie ou lors d'une soirée... mais ma motivation reste et pourquoi recommencer au bout de 2 ans ? il n'y a plus d'intérêt !! je revis depuis que j'ai arrêté. Plus de stress (car la clope fait stresser contrairement à ce que l'on peut penser), beaucoup plus d'odorat, plus de soirée passer sur le trottoir dehors, en plein froid .... si vous me lisez et que vous êtes en train d'arrêter ou bien que vous y songé, allez-y, jetez vous à l'eau, et tenez bon, ce ne sont que quelques mois à passer, quelques colères de plus, quelques kilos en plus (pour ma part : 4,5 kg), quelques doutes, pour finalement être fière de soi. N'est ce pas cela le plus important ? être fière de soi-même ? Pour ma part, je suis fière de moi-même . Sur ce, j'espère que vous serait à ma place bientôt en écrivant et en racontant vos 2 ans d'arrêt alors je vous dis, à bientôt et croyez-y, vous verrez, le monstre pour arrêter cette cigarette, ce n'est que vous-même !!!!
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Anonyme (54 ans)

04 août 2021

Bonjour, Je reviens ici au bout de presque 6 ans d'arrêt du tabac (arrêt le 29 août 2015). Je suis si heureuse d'avoir gagné cette bataille ! J'ai un seul regret, c'est de ne pas avoir arrêté avant. J'ai fumé pendant près de 30 ans et j'ai beaucoup de chance car, je viens de faire une radio des poumons et tout va bien !! Ce qui m'a aidé à arrêter la cigarette, c'est la lecture du livre d'Alan Carr. J'ai eu un veritable déclic ! Avant ce dernier arrêt, j'avais essayé d'arrêter de fumer à plusieurs reprises, sans succès. Ce qui a tout changé, c'est que j'ai arrêté de me dire que ce serait dur de ne plus fumer. J'étais une très grosse fumeuse (de 1 paquet à 2 parfois lors de soirée), si j'ai pu arrêter sans difficulté, tout le monde peut arrêter ! Bon courage ! Vous pouvez le faire !
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Anonyme (61 ans)
Nationalité belge
21 décembre 2020

Je ne compte plus les années de tabagisme. J’ai failli arrêter plusieurs fois – mais chaque fois avec une rechute à la clef. Il y 2 ans, je me décide à aller voir un tabacologue pour m’aider dans cette démarche. Il me prescrit du Champix et ne parle jamais du Zyban. Champix avec, soit disant, des effets secondaires négligeables. Confiante, je me lance. Et cela marche effectivement très bien. Des rêves incroyables la nuit, pratiquement pas d’envie de fumer de jour. Pas de manque et donc soit disant pas de prise de poids non plus. Après quelques semaines, ou cela marche vraiment très bien, mon moral commence à décliner au point d’avoir des envies suicidaires. J’en parle au toubib qui me dit « on arrête tout » - sans expliquer pourquoi. Il me donne des patchs, des chewing gum etc…. peine perdue. En moins de 6 mois, j’ai rencontré 3 personnes qui ont vécu exactement la même chose que moi avec le Champix – y compris la dame qui m’a recommandé le Zyban. Champix ou pas, c’est 10 kgs dans la vue, dans le mois qui suit – un peu décourageant, car du coup, je me sens comme une tour, mais pas pour les mêmes raisons. Eh oui, dilemme…. Je vais essayer avec le Zyban
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Anonyme (52 ans)
Nationalité française
26 mars 2020

Bonjour Cela fait bien longtemps que je ne suis pas venue sur ce site! Mon dernier témoignage remonte au 6 mars 2007. Ma dernière cigarette remonte au dimanche 5 mars 2006! Eh oui, 14 ans d'arrêt! 20 000 euros d'économie! Une bonne santé! Que du bonheur! A l’époque, après plusieurs tentatives c’est le livre d’Allen Carr qui m’avait aidée et ce site bien sûr avec tous ces témoignages. Pour en finir avec le tabac, il faut agir sur 2 points : l'aspect physique (le « petit monstre d’Allen Carr » dans votre corps réclame sa dose de nicotine) et l'aspect psychologique. En travaillant ce 2ème point souvent négligé, vous augmenterez vos chances de réussite. Comprendre que la cigarette n'est pas un plaisir permet de s'en débarrasser très facilement (Allen Carr). Il faut déprogrammer votre cerveau et lui apporter des pensées positives : la vie sans tabac est belle !,... Pour cela, aujourd’hui, croyez moi, si vous êtes motivé, l'hypnose peut vous aider.
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Anonyme (39 ans)
Nationalité Belgique
14 janvier 2020

Bonjour, Il n'est pas dans mes habitudes de témoigner sur internet mais si celui-ci peut encourager les fumeurs à arrêter: J'ai testé l'hypnose il y a peu et il faut avouer que cette méthode change complètement la perception de la cigarette. Ce paquet qui s'est baladé dans mon sac à main pendant 10 ans est aujourd'hui un inconnu. Je suis heureuse d'être libérée de ce poison qui n'apporte rien!! Je vous encourage vraiment à essayer cette méthode
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