Témoignages

Les 5 derniers témoignages
Les témoignages les plus marquants
Déposer votre propre témoignage

Ex-Fumeurs
Ex-Fumeurs (289)
Motivations/Bénéfices de l'arrêt (39)

Fumeurs
Fumeurs (49)
Tentative d'arrêt (60)
Fumeurs Malade (20)

Entourage
Famille/Ami (17)
Non fumeurs (2)
Fumée passive (2)

Age
20 ans ou moins (3)
20 à 40 ans (122)
40 à 60 ans (202)
Plus de 60 ans (66)

Dépendance / manque
Dépendance/Manque (20)
Rechute/Echec (12)
Symptômes de sevrage (13)
Dépression/Anxiété (3)
Insomnies (2)

Méthodes d’arrêt
Méthodes diverses (83)
Substituts nicotiniques (32)
Livre Allen Carr (18)
Aide psychologique/soutien/solidarité (10)
appli Stop-Tabac (4)
E-cigarette / vapotage (24)

Maladies
Risques et maladie diverses (12)
Cancers (9)
Maladies cardio-vasculaires/infarctus (8)
Problèmes respiratoires (11)
Impuissance sexuelle (2)

Santé / bien-être
Problème de poids (3)
Pillule contraceptive
Beauté/Grossesse/Enfants (9)
Sport (14)

Industrie du tabac / société
Tabac chauffé
Politique et industrie du tabac (4)
Additifs
Joint et Tabac (1)
Autres drogues (1)
site Stop-Tabac (44)

Accéder par mots clés

Risques et maladie diverses

Anonyme (29 ans)
Nationalité France
27 août 2020

Je me suis levée un samedi matin en retard pour le travail (panne de reveil) en stress. Je cours à la salle de bain pour me préparer, je ressens une fatigue intense, une pression au niveau de la cage thoracique, les bras lourds jai des difficultés à m'habiller, à respirer. Je m'assois sur un tabouret pour reprendre mes esprits (cest sûrement la fatigue ou une petite crise d'angoisse). Les sensations persistent, je me remet au lit a moitié habillé et ferme les yeux, je vois des étoiles. Mon compagnons très prévenant m'emmène aux urgences. J'ai 27 ans et on m'annonce que je suis en train de faire un infarctus du myocarde. Résultat: légère nécrose du cœur et un arrêt de 3 mois obligatoire afin d'éviter une mort subite me disent les médecins... Aujourd'hui j'ai 29 ans j'ai arrêté de travailler 1 ans et demi et ressens régulièrement des sensations étranges au cœur sans savoir s'il s'agit d'une urgence et dune crise d'angoisse. Je suis également sous traitement depuis mes 27 ans.
Partager sur:     

Romane (24 ans)
Nationalité Française
14 décembre 2018

J'ai rencontré la cigarette à mes 15 ans et on est devenu proche lors de mes 16 ans. Précédemment, j'avais rencontré quelqu'un d'autre. Une maladie, l'épilepsie. Souvent les médecins m'avaient parlé du tabac et du faite qu'il accentuait les crises d'épilepsie. Je ne voulais pas y croire et puis les crises se sont accentués (j'en faisait 2 à 5 par semaines) mais je restais proche de mon amie, la cigarette. Je tenais le discours que mon amie la cigarette me permettait de mieux vivre ma relation avec l'épilepsie et ne l'accentuais pas. Et puis j'ai rencontré la dépression. En janvier, je me suis fait opéré de mon épilepsie et refais des crises, signe de défaite pour moi. Alors j'ai décidé d'arrêter ma relation avec la cigarette pour couper mes liens avec l'épilepsie. J'ai arrêté depuis juin 2018 et je n'ai jamais retouché une cigarette. Je suis heureuse d'avoir repris de bon nombre de signe de bonnes santés. Ah oui, et puis, ça fait 6 mois que je n'ai pas fais de crise d'épilepsie. J'ai coupé les ponts avec tout le monde.
Partager sur:     

Anonyme (29 ans)
Nationalité Française
06 juin 2020

Bonjour à tous, après avoir lu divers témoignages ici je poste le mien. Parce que j'ai besoin de parler, de me libérer de ce poids bien trop lourd depuis quelques années. Je fume depuis l'âge de 17 ans, environ 30 cigarettes par jour, parfois cela peu même monter jusqu'à 40,en soirée. Ma mère a été emporté à 49 ans par un cancer du poumon à petites cellules, celui qui ne s'opère pas et qui ne laisse qu'une infime petite chance. Chance que ma mère n'a pas eu. Elle nous l'a annoncé peu avant Noël, alors que la famille était réunie. Chimiothérapie et rayons n'y ont rien fait. Nous avons voulu la garder près de nous et l'hospitalisation s'est donc faite à domicile. Ça a été difficile, tout le long. J'ai aidé à installer le lit médicalisé avec mon père, je n'ai jamais rien porté d'aussi lourd... J'ai vu les effets de la chimio, et ceux des rayons aussi. Et je ne souhaite à personne cela. Ma mère s'est éteinte en novembre 2015, un peu moins de deux ans après cette terrible annonce. Et depuis j'ai la rage au corps, une rage qui ne vous quitte jamais, je suis en colère contre tout et tout le monde mais en réalité c'est surtout contre moi même que je suis en colère. Parce que je n'ai pas arrêté depuis, parce que je n'ai même pas réellement essayé. Je me sens coupable plus que tout. Je crois aussi que je cherche à m'autodetruire. Au moment où j'écris ces lignes, je suis en larme. J'ai écrasé tout les paquets que j'avais d'avance parce que je veux essayer d'arrêter, parce que je DOIS arrêté, avant que le crabe resserre ses pinces sur moi aussi, parce que j'ai honte, profondément honte. La cigarette est une drogue, une vraie drogue, et elle est tout sauf douce. A l'approche des 30 ans je commence à avoir peur pour moi, peur de laisser ma petite sœur et mon petit frère, peur de leur faire subir à nouveau une telle épreuve. Mais surtout j'ai peur de ne pas arriver à arrêter.
Partager sur:     

Georges (60 ans)
Nationalité Française
06 octobre 2006

J'ai 60 ans. J'ai fumé... Hélas, mais jamais je ne me suis considéré comme un grand fumeur. De la première "Gauloise" sur les bords du Léman où je me suis à moitié étouffé par suffocation, jusqu'aux 2 paquets par jours durant le service militaire, ponctuées par des arrets et des reprises. je reprenais à fumer car je croyais que la cigarette ne me manquait pas et que je pouvais cesser quand je voulais. archi faux. La cigarette me minait lentement, souffle court, plus de sport, ce gout de tabac qui transpire de la peau, qui colle aux vetements, ces bouts de doigts jaunis... conscient, j'ai décidé d'arreter en février 1991 tout net, sans rien d'autre que ma volonté. Et cela a suffit, lentement la vie a repris, après que les toux grasses du matin se furent estompées (2 ans), que petit à petit j'ai pu recommencer à sentir le parfum des fleurs et le gout des aliments, une nouvelle vie s'est insuflée à l'intérieur de mon corps. Je n'ai jamais plus touché à une cigarette. Un jour de mai 2004, ressentant une légère douleur à la mixion, j'ai subi une cytoscopie et là le verdict est tombé tragique, tumeur de grade 3 à la vessie, du au tabac, pronostic de vie 3 mois. J'ai été mis devant un choix drastique ou une ablation de la vessie ou une chimiothérapie sans garantie du résultat. J'ai opté pour une opération immédiate (chirurgie lourde, plus de 7 heures d'intervention, 3 jours de réanimation). Le miracle s'est produit grace à un chirurgien hors pair qui m'a sauvé. Parfaitement opéré il m'a aidé à me battre et à reprendre à vivre avec ce handicap très lourd. Deux ans après l'intervention, mutilante tant sur le plan physique que moral, je vous laisse imaginer les sequelles, j'ai un pronostic de survie de 85%, je me bat toujours, j'ai repris le sport et l'entrainement physique intensif, j'essaye de vivre normalement. Au fond de moi tout de même je ne peux m'empécher de me reprocher d'avoir touché à ces cigarettes, le cancer de la vessie est actuellement en rès nette augmentation, et le corps médical affirme qu'il est en étroite liaison avec la consommation de tabac. Imaginez mes jeunes amis mâles, ce que peut ressentir un homme, privé en pleine force de l'age, d'avoir des rapports spontanés avec une personne chère, de s'interdire toute rencontre, tout cela pour quelques cigarettes. Mais enfin il me reste la vie et je l'apprécie à chaque seconde.
Partager sur:     

NINA (46 ans)
Nationalité Francaise
09 juin 2007

Hier soir, j'ai du affronter mon deuxième ennemi lorsque l'on arrete de fumer : L'ALCOOL. En effet, depuis 12 jours, je ne fume plus. J'ai tout essayé, les patchs, les gommes, l'acupuncture, rien n'y a fait, ... Et, moi qui redoutait tant ce grand moment de séparation avec ma grande COPINE, cela a presque été un jeu d'enfant. C'est pas évident, car beaucoup redoute ce moment, l'impression d'abandonner une personne qu'on aimait tant,une confidente puisque nos doigts venaient la chercher dès que l'on se sentait contrarié, qui nous accompagnait toujours, soit dans les bons et les mauvais moment. Une trahison en quelques sorte, presque face à face à une réaction que l'on pourrait avoir envers une personne humaine. Je n'ai pas d'effets secondaires, aucun, si ce n'est que de faire des rêves longs, bizarres, avec des histoires à dormir debout ! Bref, ce n'est pas le plus gênant, mais je n'ai plus vraiment d'envie, j'ai presque l'impression de n'avoir jamais fumé. On oublie ce geste, ces manies, ce rituel, surtout celle du matin et après mes repas. En sorte, je n'ai aucun regret de l'avoir quitté. Mais hier, l'incontournable est arrivé, j'avais des invités pour manger à la maison. Et la peur de boire un apéritif, de papoter, et de machinalement oublier que j'ai arreter de fumer m'a hanté tout au long de la journée. Quelle va être ma réaction ? Si je bois même un peu d'alcool, je perds mes facultés, surtout celle de ne plus fumer .... Une espèce d'envie vous dirai-je, m'a pris, un désir peut etre de se laisser aller et de se dire, allez demain çela sera ne se verra pas. Tu peux meme aller dans la cuisine te cacher, personne ne te verra, puisque la honte pourrait t'emporter car tu l'a dis à tout le monde que tu avais arreter. Tout le monde t'admire, meme ton docteur ta félicité, mais fume personne ne le saura c'est une histoire entre toi et moi. Moi et ma conscience. Et bien, je suis fière de moi, j'ai réussi à la combattre cette punaise, elle ne m'a pas eu commes les autres fois ou j'ai replongé, j'ai tenu bon, j'ai repensé au scanner que je dois faire dans 2 semaines, à mon pneumolgue qui m'a dit, vous avez fumé le quotat qu'il vous était alloué, et la stop ou je ne répond de rien pour la suite, des bronchites qui n'en finissent plus, même sous antibio, perdurent. Enfin, j'ai compris si je veux encore vivre. Faites attention à ces réunions de groupe. Un conseil, restez et conversez avec des non fumeurs, ils vous aideront meme indirectement. Changez d'attitude, parlez des gens qui vous entourent, oubliez que vous êtes un ou une ex- fumeuse, car ne penser qu'à soit, nous fait trop aussi s'apitoyer sur son sort, et cela devient une grosse corvée. Courage à tous qui êtes dans le même cas que moi.
Partager sur:     

Anonyme
Nationalité Française
23 mai 2013

Bonjour, Je voudrais d'abord vous remercier pour votre site grâce auquel j'ai enfin pu me libérer du tabac ! Ayant pu constater chez moi le lien extrêmement fort entre dépendance au tabac et problème thyroïdien ( non diagnostiqué) ainsi que la "réticence" et / ou méconnaissance des médecins à dépister des maladies thyroïdiennes ( prise en compte de la TSH et des T3 et T4 pour établir un diagnostic fiable), je trouverais très utile une enquête ou un lien visible encourageant les personnes dépendantes au tabac à se poser la question du lien entre dépendance au tabac et problème thyroïdien. Je précise que c'est l'arrêt du tabac qui a "déclenché" la découverte de mes problèmes de thyroïde et de maladie auto- immune qui étaient masqué par le tabac. J'ai découvert depuis des études très intéressantes sur le lien avéré entre dépendance à la cigarette et problème de thyroïde et les éventuels signes qui peuvent mettre les médecins sur la piste de ces maladies. Dans mon cas la découverte de ces maladies a été bien trop tardive. Jamais un médecin n'a fait le lien entre mes symptômes ( fatigue anormale et déprime que la cigarette m'aidait à affronter ) et n'a voulu demander une mesure de mes T3 et T4 qui auraient pu (?) dépister ma maladie car la TSH seule était dans les normes. Je me dis qu'éventuellement d'autres personnes peuvent souffrir de la même maladie que moi et que, mis sous Lévothyrox ( au lieu d'un inutile antidépresseur), ils pourraient avoir plus de faciliter à rompre leur dépendance avec le tabac. Je précise que mon sevrage s'est apparenté à une longue descente aux enfers ... sans la cigarette pour me stimuler et ma thyroïde battant de l'aile, l'arrêt a été proprement infernal. En outre, il semblerait que si mon problème avait été diagnostiqué avant le sevrage, celui-ci aurait été mieux conduit, me préservant éventuellement d'une aggravation subite de la maladie. Si mon expérience pouvait aider d'autres personnes avant qu'il ne soit "trop tard" ( dans mon cas nodule de 4 cm, goitre plongeant, maladie de Hashimoto etc etc.....)
Partager sur:     

Eric (66 ans)
Nationalité suisse
10 juillet 2012

Bonjour ! J'ai fumé depuis l'âge de 14 ans. Pour atteindre à 64 ans un pic de consommation de 3 paquets ! J'ai arrêté cet enfer le 10 avril 2010. J'ai donc 2 ans et 3 mois de sevrage. C'est encore assez dur mais je m'aide avec des gommes à mâcher ( 4 à 6 par jour de 4 mg). Mais je suis persuadé que l'effort que je fais m'est amplement bénéfique. Je respire beaucoup mieux, ne tousse pratiquement plus, sauf pour me nettoyer les bronches. Ce qui est important est le fait d'imaginer que toute cette cochonnerie ne m'envahit plus le corps et que petit à petit je me nettoie intérieurement. J'aimerais aussi préciser que lorsque j'ai décidé d'arrêter de fumer, j'étais en pleine santé ! Aux jeunes gens ( filles et garçons ) je voudrais leur dire : Faites cette démarche avant qu'il ne soit trop tard, n'atendez pas que surviennent les ennuis décris sur ce site !
Partager sur:     

Anonyme (23 ans)
Nationalité Portugaise
14 juin 2007

J'ai 23 ans et je fume depuis l'âge des mes 15 ans. Quel idée stupide que de commencer à fumer... surtout que les premières cigarettes sont tellement mauvaises (tête qui tourne, etc). L'envie de vouloir faire comme les autres, se sentir adulte!!! J'aurai du plutôt penser qu'en commençant à fumer, je serai encore plus gamine!!! Il y a 4 jours, je ne me sentais pas très bien, de la peine à respirer, douleur à la poitrine. J'ai été à l'hôpital. En attendant les résultats des radios, j'ai eu trop trop peur... peur du diagnostic!!! Il s'avére que j'avais "juste" les bronches inflammer. Rien à voir avec la cigarette... mais elle y contribue évidemment. J'ai une petite fille de 10 mois... je vous explique pas ma peur de ne plus être la pour la voir grandir!!!! J'ai décidé d'arrêter de fumer. Pour elle... et pour moi!C'est dure! J'avoue que je fume deux-trois cigarettes par jour... je suis tombé sur ce site par hasard et je suis bien contente. ça va m'aider à arrêter... surtout ne commencer pas à fumer!! Le soit-disant plaisir que cela nous procure n'est qu'illusion!!! et ça nous fait tellement de mal!!!
Partager sur:     

Christine (67 ans)
Nationalité Belgique
29 janvier 2021

Il y a 4 ans j'ai été dépistée bpco. J'avais a l’époque 63 ans et je fumais depuis l'age de 18 ans. Je fumais 25 cigarettes tous les jours. J'ai tout de suite consulté 1 tabacologue. J'ai fait quelques arrêts mais rien de convaincant. J’étais a l’époque très mal dans ma peau, angoissée et stressée car je n'arrivais pas a me séparer de la cigarette qui me tuait a petit feu. Je me suis retrouvée dans la situation ou je ne savais plus respirer ni bouger, être comme 1 poisson hors de l'eau. J' ai baissé les bras bien décidée a me laisser mourir car je ne trouvais plus l’énergie de me battre. Soutenue par la tabacologue j'ai été vue par un psy qui est parvenu a me libérer et me redonner confiance. Le 1er décembre j'ai arrêté. Je n'ai pas mis de patch, pas de cigarette électronique, juste des pastilles a la nicorette. Tout se passe bien mais avec des hauts et des bas, des envies qui passent vite mais qui sont ennuyantes. Le tout c'est dans le vouloir et non le devoir. Ca change la donne et ta vie Quand tu es dans l'acceptation, la défume te parait plus douce' 60 jours sans clopes, sans rechute et je suis fière de mon parcours. Je revis, je respire un peu mieux mais je sais que tout se fera a mon rythme car ce qui est perdu n'est pas récupérable mais ta qualité de vie s’améliore et tu voles vers 1 liberté tellement désirée. Il faut tenir le coup, refouler les envies, se féliciter, c'est tellement bien de pouvoir reprendre sa vie en mains. Ne vous laissez pas berner par cette petite voix qui vous incite a faire un pas de travers, chassez la de toute vos forces, et elle va finir par lâcher prise.j'ai repris ma vie en main et j'espère que ce sera pour le restant de mes jours. Je suis tellement mieux je peux profiter de choses que je m’étais interdite car tu finis par croire que tu ne sais plus rien faire mais c'est un mensonge. Battez vous pour cette liberté qui ne vous apportera que du bonheur, de l'argent du souffle, qui vous libérer des chaines. C'est dur de traîner 1 boulet😱 Si je l' ai fait tout le monde peut y arriver, il faut juste une bonne détermination et ne plus se laisser tenter. Courage a vous tous Merci Stop-tabac.ch!
Partager sur:     

yoyo (27 ans)
Nationalité france
12 avril 2019

J'ai aujourd'hui 27 ans, 10 ans de tabac, entre 1 et 3 paquets, mon triste "record" étant de 74 cigarettes en une journée Je pouvais m'envoyer entre 1 et 4 cigarettes d'affilée, Gitanes blanches, roulées sans filtre etc.. bref je me suis bien fait "plaisir" au début... Puis au bout de 5 ans hernie hiatale, gastrites à répétition, recherche de mégots dans le parking, problèmes de sommeil et d'haleine, souffle très court, sentiment de culpabilité grandissant... alertes du médecin... J'ai donc arrêté en 6 mois : d'abord j'ai réduit pdnt 2 mois : 7 cigarettes par jour (sueurs froides, troubles dépressifs..) Puis je me suis patché.... et c'est terminé !!! Et je REVIS.... Pourquoi continuer à faire quelque chose quand le BESOIN remplace le PLAISIR. PENSEZ Y ;)
Partager sur:     

jacques (54 ans)
Nationalité canadien
29 octobre 2008

Ca fait 42 jours que je ne fume plus! 42 ans de bouquane qui s'envolent et je me suis jamais senti aussi bien. Pourquoi a- t-il fallu que j'attende 2 infarctus avant d'abandonner? On passe le temps a penser que ça n'arrive qu'aux autres et un bon matin ca arrive comme un accident. A ceux qui me lisent, comprenez que l'on est tous sujet lorsque l'on fume a avoir ce genre de nouvelles une journée, ce n'est pas seulement aux autres que ca arrive. On pense que la vie va etre plate sans cigarette alors que c'est tout le contraire. La vie sans fumée c'est une vie de liberté! Pensez y, la prochaine sera peut etre celle qui declenchera tout, et il n'y a pas d'age pour ca. Mon meilleur ami est mort a 46 ans. Infarctus a cause de miss nico. Pensez y avant qu'il ne soit trop tard!
Partager sur:     

Sidonie (64 ans)
Nationalité Suisse
17 août 2021

Je fumais beaucoup et je me suis mise à tousser jusqu'à épuisement. J ai alors tout jeté et fait le tour de tous les recoins de la maison. Je voulais rien garder. Et maintenant après 5 mois d arret j ai retrouvé une nouvelle santé et un nouveau bien être. Et la LIBERTÉ si chère à mes valeurs. La tribu est un bon support une grande aide. Ainsi que toutes les stratégies de STOP tabac. Très efficace. Merci à la tribu . 😁👍👍👍🤣
Partager sur: