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"nicotine" (71)

Marianne (29 ans)
Nationalité Francaise
19 avril 2022

Plus d'un an maintenant que j'ai arrêté. Je me suis juré de laisser mon (long) témoignage sur ce site si j'arrivais au 1 an d'arrêt, car ce sont ces témoignages qui m'ont énormément aidé dans les moments de doute et de fébrilité. Si cela peut aider qqn comme les autres ont pu m'aider. Je fumais depuis mes 17ans. J'ai démarré bêtement au lycée en prenant des paquets à mon père avant d'acheter les miens. Pendant 11ans, j'ai été fumeuse "modérée" à savoir entre 8 et 12 cigarettes roulées par jour. Sauf en soirée où je ne comptais pas. J'ai aussi eu une période cigarette électronique pendant 2-3ans sans pourtant vouloir arrêter . C'était "moins" dangereux et surtout moins de problème d'odeur, de pause clope en extérieur.. mais je l'avais tout le temps au bec et un jour d'entraînement de basket, ma respiration s'est emballée, impossible de reprendre mon souffle, trop d'eau dans les poumons j'ai cru que j'y restais. Ca m'ait passé au bout de quelques secondes mais ca m'a bien fait peur. Je suis revenue à ma bonne vielle roulée et à tous ses mégots. Logique🙄 Car oui, être fumeuse ne m'empêchait pas d'être sportive, c'est le grand paradoxe du cliché sportif. Et pourtant nombreux sont les sportifs amateurs fumeurs. Malgré un rythme d'entraînement assez modéré (7h semaine, c'est pas non plus du haut niveau), la clope n'a pas spécialement nuit à mes performances sportives du moins pas les premières années. Ajoutez à cela le fait que c'était aussi mon métier (responsable management sportif). Je n'ai pourtant jamais assumé auprès de certaines personnes d'être fumeuse sachant que cette image pouvait être degradante ou décevante à leurs yeux et du jugement qu'ils pourraient porter. Que ce soit envers mes parents, notamment ma mère pour qui les sermons sur la clope étaient permanents, mais aussi les membres de ma famille comme oncle tante grand mère...même si avec le temps ça se savait, je n'assumais toujours pas le geste de fumer devant eux. Mais également auprès de mes collègues de travail actuels, les petits basketteurs et enfin surtout ma copine à qui je n'ai rien dit pendant les 6 premiers mois de notre relation. Une honte pour moi de montrer cette image dégradante en contradiction avec les valeurs et la fierté du sport que je portais. J'avais à l'esprit la réalité du problème mais l'insouciance de m'y intéresser. En revanche, pour tous les amis, les coéquipieres, mon frère, mes cousins...les personnes qui m'entouraient directement, aucun problème avec eux pour en allumer une. La plupart l'étaient aussi. Mais surtout le problème était que j'adorais fumer. Il y a encore peu de temps je me demandais "mais comment les non fumeurs font ils pour ne pas fumer ou n'avoir jamais envie de le faire". Comme tout le monde, un soir de nouvel an, on prend la résolution d'essayer d'arrêter de fumer car on sait tous qu'en soit cela n'est pas une bonne chose. Mais quand on est pas convaincu et qu'on a pas spécialement l'envie ni la contrainte de le faire, et bien on ne fait rien c'est bien logique. Pourquoi se priver de ce qui nous donne du plaisir. Et c'est finalement quand on se rend compte à 27ans qu'on ne sait plus gérer l'effort, à l'entraînement ou dans la vie de tous les jours, qu'on commence à réaliser les effets sur le physique et cette vieillisse accélérée. Manque de souffle, d'oxygénation, de récupération, de force, d'endurance...pour courir après un ballon ou monter les courses au 2eme étage.. On se dit qu'on va réduire pour s'aider un peu. Et c'est là que le déclick survient : finalement on se rend compte qu'on ne peut pas réduire, qu'on ne peut plus arrêter même l'espace de 5h, qu'on a une réelle dépendance, que la cigarette n'est plus une option comme au début. Dès qu'on se prive, on multiplie l'envie d'en fumer une voir 2 d'affilé. Et c'est dans ce constat de dépendance, en fumant clope sur clope, le problème à l'esprit que je décidais d'arrêter. Mon arrêt ne fut pas simple, il s'est fait en 2 fois à cause d'une rechute mais qui était nécessaire pour mieux réaliser le second essai. A tous ceux qui ont rechuté : ce n'est pas grave, c'est une preuve que vous avez pris conscience du problème et que vous tenter de le résoudre. Essai 1 jour 1 : arrêt total sans aucun substitut. Je suis dans un état de nerf en fin de journée qui me pousse à aller au tabac pour prendre une de ces nouvelles mini cigarette électronique à cartouche. Pour ne pas gâcher ma tentative, je prends du zéro % de nicotine, j'ai lu que c'est juste un manque comportemental qui me pousse à fumer et que finalement la ecigarette était une bonne aide à l'arrêt. Le soir même je pleurais comme une enfant de cette privation.. Essai 1 jour 2 à 30 : je conserve cette mini cigarette avec des cartouches de nicotine supérieure : 12%. Je savais que cette dose était trop importante pour moi, j'étais un profil 6% avant, mais il n'y avait pas de dose intermédiaire pour ce genre d'appareil et je ne voulais pas réinvestir dans une "vraie" ecig plus chère. Avec le temps je me rends finalement compte que cette méthode me coûte bien plus chère que prévue et surtout que je suis plus dépendante à la nicotine qu'avant...bravo comme une débutante 👏 Essai 1 jour 30 à 45 : Je me mets comme objectif de ne plus fumer à Noël et passe par 10 jours de chewgum nicotine et 5 jours sans rien. Je suis à la suite de ça psychiquement fatiguée mais contente de cette avancée dans ma routine. Cependant, je me retrouve confrontée pour les fêtes à des anciennes situations de fumeurs auxquelles je ne m'étais pas préparées : le train et l'attente entre les correspondances puis cette privation certaine qui m'attendait d'être entourée de ma famille. A peine arrivée pour les fêtes, je rachetais des cartouches 12%. Essai 1 jour 45 à 100 : consciente cette dépendance aux substituts qui me coûtent cher, je me resouds à réinvestir dans un vrai "calumet" comme je l'appel avec ses options, son dosage et ses arômes pour finalement pas si cher que ça. Mais ce truc n'a finalement pas l'effet escompté sur moi, physiquement cela me donne la nausée, m'étouffe (encore) dans l'effort. Je me surprends même à une soirée à fumer une clope plutôt que ce truc me disant que c'est "juste"pour la soirée. Les jours suivants, une méga rage de dents, dont la ecig n'y est pas pour rien (beaucoup d'agents dans les vapeurs et vasoconstriction des gencives), me fait littéralement plier. 4 mois après ma décision, j'abandonne toutes ces pseudos solutions qui auront finalement monopolisé mes pensées, altéré fortement mon humeur et mes coups de deprime au point de déstabiliser mon couple, ruiné tout autant que lorsque j'étais fumeuse. Je me suis retrouvée pendant un bon mois à fumer, fumer, enchaîner les paquets comme pour me rattraper de cette privation. Et bien sûr à cacher cet échec à ma copine. Et un jour, jai finalement fini par m'en dégouter, et me dégouter moi même de la machine à fumer que j'étais devenue. Je fumais à presque vomir parfois. Mais il fallait faire les choses plus intelligemment que la dernière fois. J'ai profité d'un énième confinement de 15 jours chez mon père, dans l'air pur des Alpes, devant qui je ne fumais pas et où les activités sportives étaient quotidiennes. C'était la quinzaine parfaite pour passer les premiers jours de dépendance physique. La dépendance comportementale suivrait ensuite. Le 8 avril 2021 à 19h j'eteignais la dernière clope en arrivant chez lui . Les premiers jours furent les plus compliqués psychiquement. Essai 2 jour 1 : 20h après l'arrêt, dans une forte fatigue mentale, une occasion se présente à moi pour m'échapper de la maison prétextant un achat à la pharmacie. Je suis bien allé à la pharmacie faire mon achat initial mais j'y ai egalement acheté une boîte de pastilles nicotine faiblement doséed. Ça serait pour les moments certains où le besoin physique du corps serait trop fort : après un café ou un verre d'alcool même s'ils sont depuis limités. Dans la voiture sur le retour, je me suis retrouvée avec la cigarette dans une main et le briquet dans l'autre. J'ai hésité pendant bien 10mn. Et c'est à ce moment là où ma volonté s'est affirmée de vouloir réussir. "Je ne la fume pas maintenant, je la fumerai plus tard". Et c'est depuis ce jour que j'ai systématiquement repoussé l'occasion de fumer, en ayant pourtant tout à disposition. "J'ai bien tenu hier, ça fait 24h, je peux tenir plus, je fumerai demain" Essai 2 jour 2 à 15 : très fatiguée les 3 premiers jours, j'occupe tout mon temps libre par le sport de plein air. J'ai besoin d'être occupée de me défouler ! Et quand ce n'est pas le sport, c'est ce site et tous les autres qui dénoncent les méfaits du tabac qui m'aident à me convaincre du bon choix que j'ai fait. Je prends les pastilles une fois de temps en temps quand cela m'est vraiment nécessaire la première semaine, et puis finalement j'aborde le même système : essayer de ne plus en prendre car tant que j'étais sous nicotine, j'étais fumeuse. Et cela devient assez simple pendant ces 15 jours. Je me retrouve même au 15eme jour à boire des bières chez une amie qui fume devant moi. Mon cerveau est en alerte et je décide finalement de partir quand cela est devenu trop frustrant d'autant plus après 3 bières, on est plus vulnérable. Jour 15 à aujourd'hui : le travail ne s'est pas arrêté après ces 15 premiers jours bien au contraire, c'est là qu'il a démarré. Après cette cure physique il fallait maintenant surpasser tous les moments du quotidien, aussi appelés "dépendance comportementale", en ayant à l'esprit "qu'une seule et c'est foutu tu repars de zéro". Dites vous bien qu'il ne faut plus jamais refumer quand vous êtes arrivé à vous en passer physiquement, quand vos récepteurs ne vous envoient plus de signaux de manque. J'ai lu le livre de Allen Carr "en finir avec la cigarette" comme soutien de mes premières nuits de retour à la vie normale et j'avoue qu'il m'a confirmé mon choix et mes pensées. J'ai mis mes restes de feuilles, tabac, calumet et arômes dans un sac dans un coin afin de le donner à un ami fumeur. Ensuite c'est un combat au quotidien où chaque situation fumeur doit se transformer en non fumeur au moins une fois : La journée boulot classique, le WE actif ou cocooning, l'apéro du vendredi, le voyage en train pour voir sa famille, les vacances, la 3eme mi temps... Et c'est gagné. Perso au bout de 2 mois vraiment je ne me sentais plus dans cette lutte constante. Mais il faut rester vigilant car il m'arrive encore lors d'une soirée trop arrosée avec des fumeurs qui vous parlent à 50cm du visage d'être tentée, d'être vulnérable. Et même dernièrement j'ai repris l'avion, chose que je n'avais plus faite depuis des années et pour laquelle j'étais fumeuse la dernière fois. Mon cerveau m'a mentionné la cigarette avant d'aller en salle d'embarquement alors qu'elle était sortie de mon esprit pendant des mois. Aujourd'hui je me sens vraiment libre. Je n'ai plus jamais cette idée de fumer qui me vient à l'esprit même après le café ou l'alcool. C'est dur à croire quand on est dans les premiers jours d'arrêt, on pense que cette facilité n'arrivera jamais. Et finalement un beau jour on y pense plus et on ne s'en rend pas compte. Quand je vois tous ces jeunes qui sortent fumer à la récré (je bosse désormais dans un lycée) je me dis que comme moi ils le regretteront un jour mais qu'ils sont actuellement dans un engrenage dont ils n'ont pas conscience. Nous sommes manipulés. En revanche lorsqu'on est fumeur, le corps est anesthésié de nombreux maux, tellement il lutte contre la clope, il lutte aussi contre tout le reste. Et lorsque qu'on arrête, ces maux qui nous sont propres reviennent : pour ma part ce fut les dents, retour du bruxisme de ma jeunesse et de nombreux traitements pour caries et couronnes. Légère allergie au pollen aussi au printemps que je n'ai jamais vécue avant. Mais retour à des poumons sains, à une oxygénation optimale, à une vivacité et une énergie permanente, un temps incroyable gagné tout comme l'argent économisé. Maintenant je me dis "mais comment font les fumeurs pour fumer". Je me sens convaincue dans mon choix mais je garde à l'esprit que le risque zéro n'existe pas quand je vois que certains profils replongent après des années d'arrêt. Il faut penser autrement et être convaincu de ce qu'on pense. Courage à tous ceux qui tentent! Rien que le fait d'essayer prouvent que vous y arriverez même si tout ne se fait pas pas facilement ni en un jour. Je vous souhaite de retrouver votre liberté
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Hélène (47 ans)
Nationalité Belge
01 août 2018

Addict aux Nicorettes 2mg pendant 13 ans... Bonjour à toutes et tous, J'ai 47 ans. J'ai commencé à fumer à 15 ans et ai fait un premier arrêt à 25 ans (arrêt brutal sans aucune aide) - j'ai repris une cigarette à 31 ans et du jour au lendemain j'étais redevenue fumeuse complète. A 35 ans, le pneumologue m'a signalé que j'étais une parfaite candidate à l'emphysème si je n'arrêtais pas rapidement. J'ai donc arrêté la cigarette (1 paquet/jour) avec des patchs il y a presque 13 ans. Puis, pour cesser les patchs, la pharmacienne m'a conseillé les chewing gums. 13 ans plus tard, je les mâchais toujours... A raison de 15 ou 20 chewing gums 2mg par jour, je prenais l'équivalent de 2 paquets/jour ! Le matin, c'était mon premier geste et la nuit il m'arrivait de me relever pour en mâcher. Il m'arrivait aussi régulièrement de courir à la pharmacie de garde pour en acheter et jamais personne (médecins, pharmaciens) ne m'a proposé d'arrêter, ils tenaient tous le même discours: au moins c'est mieux que la cigarette et ce n'est pas dangereux... Pourtant, j'ai développé un problème de glandes salivaires, probablement lié à ce pesticide que je mâchais à longueur de journée depuis tant d'années et ai décidé de tout mettre à la poubelle, sans m'inquiéter puisque selon les fabricants IL N'Y A PAS DE DÉPENDANCE A LA NICOTINE SEULE... et mon il avec ! Jour 1 - le jeudi 6 juillet 2018 - tout roule et je me dis que c'est super facile et que j'aurais pu arrêter plus tôt, il suffit de mâcher des chewing gums sans nicotine, je ne ressens aucun manque et me dis que c'est normal puisque les Nicorettes ne sont pas addictives selon le fabriquant. Jour 2: réveil en sueur le matin, chocs électriques dans le corps, crises de panique, système digestif en pagaille, palpitations, crises de larmes ... la totale; je me dis que j'ai attrapé un virus et je reste au lit Jour 3, 4 : je les ai passés au fond de mon lit à boire des litres d'eau, à suer, à pleurer, à dormir, à aller aux toilettes. Je n'avais toujours pas compris que c'étaient les symptômes de sevrage, je croyais au virus... normal puisque aucune littérature n'est disponible sur le sevrage des substituts nicotiniques. Du jour 5 au jour 28: - des crises de larmes sans savoir pourquoi, - l'impression d'avoir un nuage gris sur la tête, - humeur dépressive, - estomac noué, - anxiété surtout matinale avec sueurs intense au réveil - fatigue intense - cauchemars - réveils nocturnes fréquents - l'impression de "manquer" violemment de quelque chose, de tourner comme un lion en cage en moi-même - irritabilité, agacement sans savoir pourquoi, comme le petit caillou dans la chaussure qui un moment devient insupportable - mal-être avec l'impression d'être complètement à côté de mes pompes ... le package complet quoi. Le souvenir de mon arrêt de cigarette à 25 ans me revient en mémoire avec ce mal-être, cette anxiété etc. Malgré que je ne suis pas supposée subir de sevrage avec les substituts, je me dis que c'est quand même très semblable... 28è jour d'arrêt: depuis ce matin, je vois l'éclaircie dans le nuage gris. Suite à une discussion avec le stomatologue hier qui m'a dit que selon lui, j'étais en plein sevrage de nicotine, j'ai appelé aujourd'hui Stop tabac Belgique qui me confirme que ce que je vis est un sevrage sec - c'est comme si j'avais arrêté de fumer 2 paquets/jour du jour au lendemain. Les symptômes sont les mêmes que ceux du sevrage de la cigarette car la drogue est la même quoiqu'en disent les firmes pharmaceutiques... la nicotine est la nicotine. Ce qui m'a bien aidée: - beaucoup boire (2 à 3 litres d'eau/jour) - faire de la méditation de pleine conscience (youtube Christophe André) - de la respiration cohérence cardiaque (petite application gratuite Iphone) - me promener (quand je n'étais pas explosée de fatigue) - beaucoup me reposer - prendre des suppléments de magnésium, de vitamine C - attendre avec patience, en essayant de ne pas focaliser sur le mal-être violent que je ressentais Stop Tabac Belgique m'a conseillé de prendre des Oméga3, ce que je vais m'empresser de faire. Le plus dur est passé même si je sais que les prochaines semaines, les symptômes seront encore présents mais vont aller en diminuant. Cela dit, au bout de 13 ans, j'ai perdu la dépendance comportementale et n'envisage même plus de prendre une cigarette donc c'est plutôt positif :) Voilà mon parcours, si j'avais su que la dépendance à la nicotine des substituts était identique à celle présente dans la cigarette, j'aurais appelé Tabac Stop pour effectuer un sevrage un peu moins violent ou tout au moins, pour avoir un interlocuteur averti qui puisse m'informer au fur et à mesure des étapes. Le fait de savoir que ce que nous vivons est "normal", permet déjà de prendre du recul et d'éviter que l'anxiété tourne à la panique. Merci à l'équipe de Tabac Stop !
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Foutricket (27 ans)
Nationalité France
23 avril 2023

Boujour a tous :) J'ai commencer la cigarette vers 18/19 ans, ayant au debut une consommation de 5 a 10 cigarette par jour, elle est passée par la suite de 15 à 25 cigarettes par jour. Je suis parti par la suite en Nouvelle Zelande et en Australie, la bas le prix des cigarettes est astronomique !!! J'ai cependant continué a fumer pendant quelque mois, ayant plus un dollars en poche du a des imprévus, j'ai du arreter la cigarette, les debuts etaient tres difficiles, symptomes de depression, fatigue, insomnie et nerf a vif. J'ai repris apres 20 jours d'arret. Quelque temps plus tard je me suis mis a vapoter la cigarette electronique avec du liquide qui contenait de la nicotine, le prix etait beaucoup plus aventageux car j'etait encore en Australie, la transision s'est fait assez vite, cependant il m'arrivait souvent d'utiliser du tabac pour fumer du cannabis. Apres quelques annees de vapotage, ma cigarette electronique a rendu l'âme ce qui ma donner l'idee d'arreter definitivement la nicotine. Cela fait maintenant 1 mois que j'ai arrêté la nicotine, et j'ai remarqué que le sevrage à la cigarette electronique est beaucoup plus simple ! Et les effets du sevrage etaient moindre puisque je n'avais que l'appetit et l'insomnie seulement ( qui dura que 10 jours avant de disparaitre) etonnamment je n'ai eu que très peu l'envie de fumer ou de vapoter. Pour conclure je dirais que la cigarette electronique ma permis d'arreter assez facilement l'addiction à la nicotine et je le recommande à n'importe quel fumeur !
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katia (40 ans)
Nationalité Québécoise
06 septembre 2010

WOW!!! Un peu plus d'un an que je n'ai pas fumé. Toute une libération, je me sens plus libre et effectivement plus besoin de vérifier si j'ai assez de cigarettes, de planifier la prochaine dans un lieu publique, de chercher mon briquet etc..etc... C'est la liberté comme je vous le disais et de plus je respire mieux. J'ai commencé à fumer à 16 ans donc 23 ans de tabagiste avec une moyenne de 12 cigarettes par jour. Les derniers années, je réfléchissais à mon futur arrêt mais j'avais toutes sortes de raisons pour reporter l'échéance. Finalement l'année dernière, j'ai débuté mes vacances avec une bonne bouteille de vin rouge entre amis donc j'ai fumé plus de cigarettes et le lendemain pas vraiment le goût de fumer car mon corps était saturé de nicotine, pour réaliser 48 heures plus tard que je n'avais pas fumé. Vous comprenez donc que j'ai arrêté le tabac par hasard mais qu'ensuite j'ai pris la décision de poursuivre.Dans un premier temps, je me suis dis O.K. une journée de plus à la fois sans cigarettes pour finalement me dire au bout de 5 jours O.K. Ma Belle tu prends la décision d'arrêter. WOW! la peur je vous dis pas. Surtout la peur de ne pas y arriver, d'échouer et là je me suis dis trouvons des photos de fumeur malade sur internet pour me faire peur et je suis tombée sur ce magnifique site. J'ai lu pendant plusieurs heures et plusieur jours des témoignages qui m'ont beaucoup aidé et rassuré car s'était la première fois que je cessais de fumer et je me demandais quel est la meilleure méthode. La réponse est votre méthode car c'est différent pour chacun. Personnellement, le livre d'Allen Carr (Arrêter de fumer c'est facile) a été un outil extraordinaire pour moi et je l'ai découvert grâce aux témoignages de ce site. M. Carr m'a permis de normaliser mon sentiment de facilité face à l'arrêt du tabac. ET OUI!!! j'ai trouvé facile de cesser la cigarette et je me demandais pourquoi je n'avais pas cessé avant. Naturellement, j'ai eu et j'ai toujours des "rushs", des envis de fumer mais je l'accepte et ça passe. Je me dis que j'aurais toujours ces envis mais elles diminues, elles sont généralement moins fortes et ça me rappèle à quel point je suis heureuse de ma décision. Je crois que c'est plus facile pour moi car c'est ma décision, c'est pour moi que je le fais et cela me procure une grande fierté. J'accepte que je n'aurai plus ce sentiment illusoire de bien-être en fumant, je dis illusoire car j'ai compris que fumer une cigarette calmait mon manque de nicotine dans mon corps. La preuve pour moi est que lorsque je voulais fumer une deuxième cigarette de suite je n'y arrivais pas, elle n'étais pas bonne. De plus, je me suis rappelée mes premières cigarettes enfant, elles goûtaient vraiment mauvaises car je n'avais pas un besoin de nicotine à calmer dans mon corps. J'ai cessé aussi d'avoir continuellement des sécrétions dans la gorge surtout le matin. De plus, j'ai constaté que la cigarettes en plus d'avoir des effets sur ma santé elle avait des effets sur mes humeurs. Lorsque je fumais moins ou pas j'étais plus "Down". Elle a du pouvoir la petite c'est incroyable!!!! Mon odorat est meilleur, je respire mieux et mon poids est le même. Avant de cesser de fumer, je nageais et marchais déjà régulièrement, je crois que l'activité physique aide à éliminer plus vite la nicotine et à régénérer le corps. De toute façon, d'aller marcher dans la forêt en me félicitant, en réfléchissant m'a fait beaucoup de bien et m'a permis de comprendre à quoi servait la cigarette pour moi et pourquoi je ne voulais plus quelle soit dans ma vie. Depuis longtemps je voulais témoigner sur ce site avec l'espoir que mon expérience pourrait aider, redonner un peu l'aide que j'ai puisé ici. Depuis 6 mois, j'ai une collègue de travaille qui a cessé de fumer et elle dit que je l'ai inspiré et ma petite maman a diminué drastiquement sa consommation de cigarettes après mon arrêt. Merci à vous tous et à ce site.
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m-ange (54 ans)
Nationalité française
11 juin 2021

le 14 avril 2013 je vous parlais de ma prise de la vapoteuse. je peux vous dire qu'il ne m'aura pas fallut 1 an pour l'arrêter. mais bravo car je n'ai pas repris la cigarette. décembre 2013 j'arrêtais la vapoteuse. j'avais descendu le taux de nicotine régulièrement. quels (troubles) après l'arret du tabac et de la vapoteuse ?? la perte du comment respirer. je ne savais plus remplir mes poumons d'air. je ne savais plus respirer par le nez. une kiné respiratoire m'a été d'un grand secours . mais je l'ai eu parce que j'ai la bpco. si je n'avait pas eu cette maladie et que je n'arrivais plus a respirer correctement j'aurais surement repris la cigarette. car ne pas arriver a reprendre correctement son souffle peut être très stressant. et malheureusement le stress favorise la prise de nicotine. si vous avez envi d'essayer la cigarette en prenant la vapoteuse (attention, celle qui se recharge avec des e liquide fait en france) faites le. cette vapoteuse sera toujours moins nocive que la cigarette. mais pensez a ajuster le taux de nicotine . car la diffusion dans le corps est différente et si vous prenez un taux trop faible vous ne serez pas satisfait. au début j'ai intercalé cigarette et vapoteuse. puis au bout de quelques jours je n'avais plus que la vapoteuse. changer vos habitudes. ex fumez dehors et non dans vos habitations. ne fumez plus dans la voiture. rien que ces petites choses pourraient vous aider. une autre chose et pas la moindre, votre pouvoir d'achat passerait du simple au triple. et votre santé serait préservée. alors non votre moral ne restera pas au top niveau tous les jours, mais chaque matin sera plus facile. a cause de la cigarette je ne pouvais plus faire de sport. en 2019 nous sommes partis 15 jours a vélo avec mon mari et ma fille. on a suivit le canal rhone au rhin, nous avions la toile de tente et le réchaud. c'était fantastique. nous avons fait 180km a vélo. c'etait la liberté. ne plus fumer c'est être libre. bon courage a tous et toutes
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Anonyme (46 ans)
Nationalité Francaise
03 janvier 2020

Bonjour, Je vous livre la méthode qui m'a permis d'arrêter totalement depuis 8 ans la nicotine après 20 ans de tabac intensif (>20 cigarettes/j). Lors de mes précédents essais, j'avais toujours repris, car je suis fumeur de cannabis occasionnel. Je ne souhaitais pas stopper cette substance que je gère très bien de façon très occasionnelle. La nicotine contenue dans les "pétards" me raccrochait au tabac... je multipliais les prises... au risque de trop prendre de THC... bref à chaque fois je recommençais finalement à fumer du tabac. Fort de ce constat, j'ai acheté du substitut de tabac. J'ai essayé différents mélanges, aujourd'hui j'utilise la Damania. Ma règle était (et est toujours) : "fume autant que tu veux de substitut, mais jamais de nicotine". Ce n’est pas simple, car il faut refuser les pétards qui tournent... mais cela rend possible de s'en rouler et de le partager. ET SURTOUT cela empêche de retoucher à la nicotine. Je m'autorise à fumer autant que je veux de substitut pur... L'envie passe très très vite, car on n'a que les inconvénients : goudron, gorge sèche, mauvaise odeur, prix... sans l'effet addictif. C'est génial, car cela aide à passer le cap de mettre fin au "geste". J'avais aussi lu le best-seller "comment j'ai arrêté de fumer" pour avoir une vision positive de cette libération. Aujourd'hui je ne fume plus du tout de tabac, et plus non plus de Damania seul, je n'en éprouve absolument pas l'envie. Si la tentation de fumer me prend, je m'imagine rouler ce "clope", l'odeur, etc., et l'envie est partie avant que j'aille chercher la pochette. Seules de très rares fois je continue de faire mon adolescent et je fume un pet... pour l'effet amusant... et surtout: sans reprendre le tabac. Si cela peut inspirer et aider d'autres...
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Florent (25 ans)
Nationalité France
13 juin 2019

3EME ARRET CONCLUANT. QUELQUES ASTUCES QUI M'ONT SERVI: Petite présentation: J'ai commencé mes 1ères cigarettes vers 14ans, pour acheter mes 1ers paquets à 15 ans. A 17 ans, je pouvais fumer jusqu'à 10 cigarettes. A 20 ans, jusqu'à un paquet (parfois plus, suivant les pauses café/sorties/soirées). 1er arrêt (1 mois): A 24ans, je me lance dans mon 1er arrêt, avec comme motivation la santé au long terme. Je coupe net, j'utilise la cigarette électronique une dizaine de jours, j'évite certaines sorties (car groupe composé -que- de fumeurs). Constipation, sommeil altéré (réveils, cauchemar) et irritabilité, mais je suis motivé, si je ressens ça c'est que le corps se purifie. Puis voilà, au bout d'un mois, il a suffit d'une cigarette en fin de soirée, pour reprendre le lendemain. Et beaucoup plus fort. Comme pour rattraper les cigarettes non- fumées.. 1ère expérience. 2nd arrêt (3 mois): 8 mois plus tard. Je n'ai pas "arrêté" de fumer, mais j'ai arrêté d'acheter des clopes. Au cours des 3 mois, 0 argent dépensé, la cigarette électronique m'accompagne parfois, j'ai fumé au total environ 50 cigarettes en grattant dans le paquet des amis. Malgré l'effort, je n'ai pas "complètement" arrêté, et j'ai bel et bien repris. 3ème arrêt (mars 2019): Riche de deux expériences d'arrêt du tabac, j'ai collecté quelques techniques qui m'ont facilité la tâche. Je peux dire que depuis mars 2019, je n'ai pas fumé UNE seule cigarette, et ce, sans soutien de nicotine (e- cig, ou patch,..) et je souhaite vous les partager. N°1 > Fumer des cigarettes sans ADDITIFS Quelques lectures sur internet vous renseigneront sur ce point. Les cigarettes des grandes marques sont blindés d'additifs, y compris d'ammoniac pour que notre corps attrape mieux la nicotine -non cancérigène, mais responsable de la dépendance-, et aussi des produits qui "anesthésient" nos bronches pour avoir moins mal à la gorge, et donc plus fumer. Commencer à fumer des cigarettes sans ADDITIFS (type tabac à rouler BIO, ou indus NATURELLES) sera déjà un 1er sevrage. Elles paraissent plus fortes en gorge, et vous envoient moins de nicotine, mais vous êtes dans le vrai. Et croyez moi, cette étape facilitera (ou provoquera) l'arrêt du tabac. N°2 > Ne pas dire "j'arrête" Ici, c'est plus sur l'aspect anxiété que cela va jouer. Selon moi, dire à tous que l'on arrête de fumer est une source supplémentaire d'anxiété. Arrêter de fumer est déjà stressant. Si en plus, on a des projecteurs sur nous ("Alors t'as fumé? t'as craqué? t'as pas craqué?), c'est juste infernale. Et si il arrive que l'on craque, on peut se sentir "merdique" et abimer notre estime de nous. Simplement dire "non je n'ai pas ARRETÉ, je n'ai juste pas envie de fumer maintenant" ou dire "oui peut être plus tard" aux cigarettes proposées, a été une façon de me libérer de cette -quasi- pression sociale pour poursuivre mon arrêt en toute TRANQUILITÉ ! N°3 > Choisir son moment (OUI et NON) Dans l'idéal, on arrête à l'instant t. On ne reporte pas son arrêt à tel ou tel jour, ou à la fin du paquet. Bref sinon ça n'en finit jamais. Toutefois, c'est vrai que l'arrêt entraine certaines complications (pensées parasites, nuits difficiles). C'est surmontable. Mais si l'on est en plein rush (partiels, finalisation d'un dossier, approche d'un gros événement,..) et que notre quotidien implique un GROS effort de concentration dans les prochains 15 jours, ok pour reporter. N°4 > Post arrêt Chaque jour, je lisais et relisais les effets secondaires du tabac, ça me motivais à tenir le cap. J'ai aussi mis en place une fois par semaine un jeun de 24h. J'ai acheté une montre de sport qui analyse le rythme cardiaque, fréquence au repos, et qualité du sommeil. Aussi, j'ai fait plus de sport les premiers jours. Et j'ai cuisiné de bons plats et desserts. Tout ça pour penser à autre chose, détourner l'esprit de l'arrêt de la cigarette, et me récompenser à chaque jour. Et bizarrement, j'ai plutôt bien vécu cet arrêt. Je me suis même réconcilier avec d'anciennes passions/loisirs. Après 15 jours, le gros des symptômes est passé. Ensuite il faut accepter que le corps reprenne ses marques (toux, sommeil, etc). La gorge qui "gratte" pendant 1 mois, des difficultés de concentration au début, des rêves/cauchemars intenses pendant au moins 1 mois, parfois des boutons qui apparaissent (encore aujourd'hui). Sinon, un meilleur teint, beaucoup moins de stress accumulé chaque jour, plus de confiance, et un odorat qui reprend vie. Autre point, il faut "remplir" les moments qui étaient réservés à la cigarette. C'est ce qui est pour moi le plus déroutant. Que faire pendant les 5 minutes après le repas ? Que faire de mes mains pendant que je bois une bière fraîche en terrasse ? Le corps est complètement déboussolé par la perte de cette habitude. C'est un défi. Puis avec le temps, on finit par (re)vivre sans la clope. On est pas plus/pas moins intelligent. Mais au moins, on minimise à fond le risque qu'on nous disent, "désolé, vous avez une maladie lié au tabac". Et ça, c'est encore plus cool que de fumer !
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Philippe (58 ans)
Nationalité français
20 août 2018

Bonjour Il y a 3 ans, j'éteignais ma dernière cigarette après 40 ans de tabagisme et aussi après avoir tout testé (ou presque). Je me suis muni d'une cigarette électronique et j'ai utilisé régulièrement cette dernière pendant 1 an. Puis j'ai cessé de vapoter de la nicotine et maintenant (depuis plusieurs mois), j'ai cessé le vapotage. Quel bonheur d'être enfin libéré de cet esclavage. Au niveau souffle, je suis déçu car je m'attendais à récupérer un peu plus (mais les 10 kg pris lors du sevrage tabagique n'aident pas non plus). Les tentations existent encore et on ne se libère pas d'une telle addiction facilement. Néanmoins, j'ai envie de vous dire que si j'y suis arrivé c'est que tout le monde peut le faire Deux grands principes: - Vapotez avec de la nicotine et descendez progressivement le taux de cette dernière sans bruler les étapes (quitte à faire marche arrière). - Conservez votre vapoteuse dans un coin, en état, car on peut toujours être tenté et dans ce cas, un petit coup de vapote sans nicotine, ça aide. rendez vous dans 2 ans pour le témoignage des 5 ans !
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Juliet (62 ans)
Nationalité Française
11 novembre 2016

Étant atteinte de BPCO,emphysème pulmonaire,maladie coronarienne et artérielle depuis des années,j'etais incapable d'arrêter la cigarette. Et je ne voulais pas arrêter. J'ai fait récemment une grosse extinction de voix,soignée aux corticoïdes en inhalation. Cela m'a décidé à m'arrêter. Pour ce faire,je suis passée à la vape,après avoir diminué drastiquement ma consommation de cigarettes,ce qui est beaucoup plus facile en en fumant que la moitié. Il y a une semaine,le 4 Novembre,j'ai commencé à vaper en arrêtant complètement la cigarette. Je me suis acheté un vapoteur avec un boîtier électronique réglable,et un e-liquide à 12 de nicotine. Je n'ai plus du tout envie de fumer,le vapotage me calmé très vite dès que j'ai une envie de fumer. Aucun effet secondaire n'est à déplorer. Je me sens déjà beaucoup mieux. J'avais essayé autrefois avec des timbres et des chewing-gums à la nicotine,mais cela me donnait des malaises désagréables,des nausées fréquentes et des crises d'angoisse et de dépression. Avec la vape,j'ai eu un malaise d'angoisse qui est passé très vite. Vu mon état de santé,il est hors de question que je refume du tabac,et je suis certaine que je vais tenir grâce à la vape. Je diminuerai le dosage de nicotine de l'e-liquide très progressivement dans l'espoir de pouvoir arrêter aussi de vapoter,mais ce n'est pas encore à l'ordre du jour. Surtout ne pas aller trop vite ! J'encourage vraiment les gros fumeurs à passer à la vape : bien dosé,ce produit donne autant - voire plus - de plaisir que les cigarettes. J'ai obtenu un goût proche de la cigarette,la vapeur est abondante,avec un bon réglage et un bon e-produit à votre goût,c'est le succès assuré. En cas d'envie de cigarette,avec la vape,ça passe tout de suite. Bon courage à ceux qui désirent arrêter,il y a moyen de réussir à tout âge,en se faisant plaisir grâce au vapotage. Merci.
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isabelle (47 ans)
Nationalité La Réunion
10 janvier 2024

Bonjour, Je suis au travail et impossible de me concentrer. Je ne fais que lire des articles sur le sevrage de nicotine, ça en devient une obsession. Je vais sur mes 48 ans en mai, j'ai commencé la cigarette à l'âge de 14 ans et je suis devenue tout se suite une accro et vraie fumeuse. En 2013, je me suis mise à la cigarette électronique afin d'arrêter la cigarette et ça a très bien fonctionné puisque j'ai arrêté. SAUF QUE, je suis devenue encore plus accro à la cigarette électronique avec nicotine, depuis plus de 10 ans! Du coup j'ai décidé d'arrêter le vapotage, j'ai eu une séance au laser jeudi dernier et depuis c'est l'enfer. enfin, la déprime plutôt. depuis près d'une semaine. J'ai l'impression de ne pas être entière, d'avoir perdu mon plus fidèle pote. Je l'avais toujours avec moi cette cigarette électronique, même aux toilettes, comme je vous le disais c'est encore pire que la vraie cigarette qui a un début et une fin. La cigarette électronique devient un membre de votre corps, de votre famille, je suis en deuil. et pourtant je n'ai surtout pas envie de recommencer. Donc je pleure souvent, j'ai des bouffées d'angoisse, de tristesse, c'est incroyable. Je suis allée m'acheter des pilules anti stress en attendant de voir un médecin. et plus que tout, je suis en colère, contre moi, comment j'en suis arrivée là! Je me suis séparée du père de ma fille il y a 3 ans, je l'aimais, mais je vous promets que cette rupture là est encore plus douloureuse !! je ne recommanderai jamais à personne de passer par la cigarette électronique pour un sevrage tabagique, c'est remplacer la peste par le choléra!!! :-( courage à ceux qui traversent cette épreuve
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