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Christine (67 ans)
Nationalité Belgique
29 janvier 2021

Il y a 4 ans j'ai été dépistée bpco. J'avais a l’époque 63 ans et je fumais depuis l'age de 18 ans. Je fumais 25 cigarettes tous les jours. J'ai tout de suite consulté 1 tabacologue. J'ai fait quelques arrêts mais rien de convaincant. J’étais a l’époque très mal dans ma peau, angoissée et stressée car je n'arrivais pas a me séparer de la cigarette qui me tuait a petit feu. Je me suis retrouvée dans la situation ou je ne savais plus respirer ni bouger, être comme 1 poisson hors de l'eau. J' ai baissé les bras bien décidée a me laisser mourir car je ne trouvais plus l’énergie de me battre. Soutenue par la tabacologue j'ai été vue par un psy qui est parvenu a me libérer et me redonner confiance. Le 1er décembre j'ai arrêté. Je n'ai pas mis de patch, pas de cigarette électronique, juste des pastilles a la nicorette. Tout se passe bien mais avec des hauts et des bas, des envies qui passent vite mais qui sont ennuyantes. Le tout c'est dans le vouloir et non le devoir. Ca change la donne et ta vie Quand tu es dans l'acceptation, la défume te parait plus douce' 60 jours sans clopes, sans rechute et je suis fière de mon parcours. Je revis, je respire un peu mieux mais je sais que tout se fera a mon rythme car ce qui est perdu n'est pas récupérable mais ta qualité de vie s’améliore et tu voles vers 1 liberté tellement désirée. Il faut tenir le coup, refouler les envies, se féliciter, c'est tellement bien de pouvoir reprendre sa vie en mains. Ne vous laissez pas berner par cette petite voix qui vous incite a faire un pas de travers, chassez la de toute vos forces, et elle va finir par lâcher prise.j'ai repris ma vie en main et j'espère que ce sera pour le restant de mes jours. Je suis tellement mieux je peux profiter de choses que je m’étais interdite car tu finis par croire que tu ne sais plus rien faire mais c'est un mensonge. Battez vous pour cette liberté qui ne vous apportera que du bonheur, de l'argent du souffle, qui vous libérer des chaines. C'est dur de traîner 1 boulet😱 Si je l' ai fait tout le monde peut y arriver, il faut juste une bonne détermination et ne plus se laisser tenter. Courage a vous tous Merci Stop-tabac.ch!
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Anonyme (43 ans)
Nationalité Française
25 novembre 2020

Bonjour, Je viens de lire quelques témoignages et cela m’a donnée envie de partager aussi mon expérience. J’ai arrêté la cigarette depuis presque 5 semaines. J’avais précédemment arrêté plusieurs fois mais en définitive sans que ce soit moi qui l’avait réellement décidée, les causes étaient mes maternités, une intervention chirurgicale, du coup reprise derrière de la même façon que lorsqu’on commence à fumer. D’abord une cigarette lors d’une soirée puis deux puis juste une par jour, puis deux ... et le rythme, sans que je m’en rendes compte est revenu. J’avais tellement honte de moi que je me cachais souvent de mon mari ou de mes enfants. Quelle vie ! Alors il y a environ deux mois j’ai appelé un Tabacologue, j’ai pris rendez vous et là, en fait je me rends compte aujourd’hui que j’avais fait le plus dur car j’avais pris LA décision. J’ai mis des patch qui j’en suis sûr m’ont bien aidée mais j’ai commencé à en oublier certains jours et cela fait maintenant 4 jours que je n’en mets plus, je ne le fais pas exprès mais je n’en ressens plus le besoin la journée, je suis bien tout simplement. Par contre je dors très mal, mon Tabacologue me dit de ne surtout pas les arrêter mais moi j’ai envie de me sentir complètement libre de cette emprise nicotinique. Je sais que je ne reprendrais pas et j’ose le dire, chose que je n’aurais pas fais les autres fois car aujourd’hui c’est moi qui l’ai décidé. Je suis moins patiente qu’avant mais d’après mes proches pas désagréable du tout, mes enfants sont ravis . Je bois beaucoup de tisane, je mange également beaucoup de pommes et je fais plus de sport, en bref que des bonnes choses pour ma santé et mon bien être. Je suis heureuse de vous avoir lu et heureuse d’avoir pu écrire, cela doit être effectivement une bonne thérapie, merci de pouvoir nous le permettre.
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Pascal (43 ans)
Nationalité suisse
18 mai 2005

Salut les ex-fumeurs et fumeurs, j'ai simplement envie de vider mon sac.... J'ai commencé à fumer à l'âge de 15 ans, soit env. 28 ans que je m'empoisonne et surtout empoisonne ma femme, ma fille et mon entourage. Je dois subir une greffe au bas de la colonne vertébrale et le médecin m'a simplement avisé que le tabagisme empêche la régénération des os lors d'une greffe, qui probablement mènera à l'echec si je continue à fumer.... Le lendemain de ces paroles effrayantes, j'ai appelé immédiatement le centre de pneumologie de ma région, qui m'a de suite guidé chez une tabacologue reconnue. Si la volonté représente le 50 à 60 % de la réussite, il faut prendre tout ce qui est possible pour combler les 40 à 50% qui restent. Il n'y a que 3 jours que j'ai totalement stoppé ce maudit fléau et j'avoue que tout n'est pas gagné, mais je veux et je dois réussir à tout prix, sans quoi je souffirai à vie de mon dos et de toutes les maladies qu'entraînent la cigarette. Après trois semaines de suivi avec ma tabacologue ( que je trouve absolument géniale, motivante et performante )j'ai réussi petit à petit à diminuer ma consommation de 50 à 15 cigarettes jusqu'au 15 mai et le même soir il m'en restait deux, une que j'ai fumé en lui disant Adieu et une autre que j'ai détruite devant mon épouse.La volonté.... j'en ai , car cette fois je n'ai pas le choix. Mais il y a le reste, je me fais aider tout d'abord moralement par mon entourage qui me supporte et avec qui je fais de gros efforts pour ne pas exploser dans mes humeurs. je suis aidé par le ziban, accompagné de calmants pour le sommeil, de patchs et d'inhalateur. Tous les moyens sont bons et je les ai tous très bien acceptés. Le 1er jour, j'ai vécu l'enfer, le 2ème jour, la température s'est un peu rafraichie et en ce 3ème jour, je sens que les envies se distancent à 15 ou 30 minutes au lieu de 2 à 3 min le 1er jour.. je suis confiant et je veux à tout prix réussir. Si j'y arrive ( et j'y arriverai) je ferai tout ce que je peux pour convaincre ma fille de 19 ans, mes amis et tous les c... comme moi qui sont devenus au fil des années , tributaires d'une telle cochonnerie. En passant , un tout grand MERCI aux fabriquants de cigarettes, qui , grâce à nos lois, gardent secret leur fabrication pour faire de nous des accros, non à la nicotine, mais à toutes les substances rajoutées. En y réfléchissant, j'ai même gagné un concours avec 700 .- ( 450 euros env.)de bons pour acheter des skis, wowwww, fumer beaucoup et vous skierez à bas prix ... A tous, si vous désirez me répondre, me donner des conseils, je serai très heureux de vous lire. Un débutant sans tabac....
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Bezsc (76 ans)
Nationalité CH
19 novembre 2023

Hello bonjour toutes et tous, Je tiens le coup 😉 depuis 100 jours sans trop de difficultés. Grâce à mes patchs et ma tabacologue. Je vis mon sevrage confortablement. Novembre et décembre sont des moments festifs et je dois faire encore attention à la prise d'alcool ? Portez-vous bien, bon vent et bonne route à vous. Bezac
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Mino (67 ans)
Nationalité France
07 novembre 2022

10 jours sans cigarette et beaucoup plus facile que ce je pensais ... Merci à Joëlle, la tabacologue qui m'appelle. Elle a su trouvé les mots rassurants sans me culpabiliser notamment lors d'une petite rechute il y a 3 semaines ! Encore bien sûr quelques envies fulgurantes ... le petit monstre n'est pas encore mort ! Alors je pense à mon souffle qui revient, à cette mauvaise haleine qui a disparu, et à la fierté que je ressens. Tout compte fait, il est plus facile d'avoir arrêté que de continuer à fumer en pensant tout le temps à diminuer ! Les emails que je reçois du coach ont aussi leur importance pour m'aider à tenir bon A bientôt pour continuer à donner des nouvelles
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Sarah (45 ans)
Nationalité Suisse
01 avril 2022

Bonjour, Comme je vois qu'il est possible de laisser un témoignage sur ce site, alors c'est très volontiers que je vais relater mon histoire (en aucune façon je suis à même de pouvoir garantir être brève !). Pour commencer, avant toute chose, je tiens à signaler que je suis un cas complètement particulier. Un cas à part. Pour ne pas dire même un cas très, voire extrêmement rare. Alors, pour bien comprendre mon expérience avec la cigarette, il est nécessaire de remonter au mois de janvier 12 (donc année 12). Et de préciser que j'avais cru bon d'inviter un ex-copain (qui a d'ailleurs manqué de devenir mon "mec", il s'en est vraiment pas fallu de grand chose !). En effet, au cours de son séjour, et sur MA demande - je ne puis donc QUE m'empresser de réfuter toute allusion où "j'ai une influence absolument désastreuse sur toi", pour reprendre ses propres propos - il m'apprit à fumer. J'avais alors 35 ans : j'étais majeure, et donc adulte. Dans mon cas, le problème quasi habituel de la minorité ne s'est donc bien sûr pas posé. Alors que l'âge moyen normal habituel se situe entre 10 et 15 ans, j'ai fait mes expériences d'adolescente - tabac et alcool - avec 20 ans de retard. Je me dois de préciser que, cette nuit où j'ai tiré mes premières bouffées de cigarette, j'étais déterminée et décidée de commencer à un point tel qu'il aurait été nécessaire non seulement de me menotter, ou de me ligoter les mains dans le dos, mais aussi de me bâillonner. D'ailleurs mon ex-ami ne s'y est pas trompé : "wow, tu y mets vraiment de la volonté", m'a-t-il alors dit... Comme je l'ai dit, sauf à me menotter les mains dans le dos, ou à me les ligoter, et à me bâillonner, rien ni personne n'aurait jamais pu faire quoi que ce soit pour m'en empêcher. J'étais bien trop déterminée à "briser un interdit". Je me dois aussi d'ajouter, pour dire la vérité d'une part, et pour que mon récit soit complet d'autre part, qu'il arriva une nuit, au cours du séjour de cet ex-copain, ou j'avais décidé de faire l'expérience en connaissant l'ivresse. Ce qui fut chose faite, puisque j'atteignis un taux d'alcoolémie approximatif de l'ordre de deux grammes, selon son estimation (ceci rendu possible parce que nous savions que nous n'aurions pas besoin de nous déplacer avec mon véhicule). Bien sûr, mes premières bouffées de cigarette m'ont fait avoir les quintes habituelles qu'ont tous les novices. Oui mais voilà - et c'est là l'information clef pour la suite de mon histoire : je me suis rendue compte à temps, car c'était moins une avant l'addiction, qu'il est beaucoup plus simple de fumer en n'ingérant pas la fumée plutôt qu'en l'ingérant. Pourtant, ces quelques cigarettes ne furent pas suivies de beaucoup d'autres car, dès le printemps 12, c'est sans aucune peine, ni manque, que je ne fumai plus une seule cigarette, et ce pendant des années. Jusqu'à ce 14 mars 20 (= année 20), ou, dans le cadre d'une récente actualité (je m'exprime ainsi car je suis sûre que vous avez compris à quoi je veux me référer, à quoi je veux faire faire allusion), le gouvernement espagnol décréta un enfermement général des 50 millions d'espagnols. Et donc une paralysie quasi générale de l'économie espagnole. Initialement, cela ne devait durer que deux semaines, du 14 au 28 mars. Oui mais voilà : après moults prolongations, ces 50 millions d'espagnols, dont je fais partie, pour y être résidente depuis 10 ans, se virent enfermés 24/24 et 7/7 pendant un trimestre complet.. C'est l'ennui engendré par cet enfermement qui m'a poussée à aller m'acheter un paquet de Pueblo (une marque espagnole de cigarettes). Aujourd'hui, cela va bientôt faire deux ans que j'ai repris le tabac. Contrairement à nombre de fumeurs, et pour me référer au "détail clef" que j'ai souligné tout à l'heure, c'est parce que je n'ingère pas la fumée, mais bien parce que je l'exhale sitôt la bouffée prise - la fumée de la cigarette ne reste donc même pas une seconde dans ma cavité buccale -, que je parviens, sans peine ni manque, à limiter strictement ma consommation annuelle de cigarettes à 20. Oui : je fume un paquet par année, ce qui me permet de ne fumer qu'une cigarette de temps à autres, juste pour le plaisir. D'ailleurs, j'ai reçu, voilà peu de temps, la réponse d'un médecin tabacologue, me disant que "vous ne compromettez en aucune façon votre santé avec la consommation de tabac que vous m'avez évoquée. Vous faites partie des 5% enviés". Désormais, je sais parfaitement que, pour continuer de pouvoir m'accorder ce petit plaisir occasionnel, je me dois de toujours non seulement maîtriser, mais contrôler ma consommation de tabac de façon stricte. C'est à moi de contrôler la cigarette, et non l'inverse. Oui, il m'arrive d'avoir des envies de fumer. Pour y faire face, il me suffit de prendre ma cigarette électronique, et de tirer quelques lattes, et mon envie passe aussi vite qu'elle est venue ! Voilà, j'espère que mon histoire vous aura plu. Amicalement Sarah
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momo (69 ans)
Nationalité belge
04 mars 2021

Le tabac fut une addiction horrible,le sevrage fut pénible, j'étais déterminée arrêter sans médicaments, le tabacologue était impuissant face à ma décision! Trois semaines plus tard, j'ai dit OUI, patch nicotine et nicorette....Le lendemain matin, plus du tout envie de fumée et je vous dis avec honnêteté , mentir, c'est refumer! Cela fait 100 jours que je ne fume plus et je ne m'enfuis pas quand les autres fument, aucun manque. Que s'est-il passé!!! J'ai entamé une résilience, aidée par tous ces services magnifiques qui nous sont offerts en Belgique, j'ai basculé à 180°, seule moi, je sais ce qui est bon ou mauvais pour moi. La vie est belle, L'addiction sera toujours présente, c'est une maladie qui ne demande aucuns médicaments pour se soigner (après le sevrage évidemment) seulement ne plus y toucher, car, une seule me serait fatale (ce n'est que mon avis perso). Le pouvoir qui m'est offert sans ce poison, n'est que bonheur, bienveillance, l'amour d'autrui, le cœur n'est plus sec etc. L'unique problème c'est pour ma famille, devant eux se trouve une autre personne, (c’était quand même mieux quand tu fumais, incroyable l'égoïsme des autres). Que vous dire encore, une boite à outils nous est offerte, chacun prend les outils qui lui convient, je vous dis avec humilité, si, j'avais la solution pour tous, je vous l'offrirais, aujourd'hui, je sais que c'est combat personnel, avec l'aide des personnes comme moi, les ressentis, les douleurs, les incompréhensions, j'ai écouté, lu, téléphoné, et abuser. En un mot j'étais une emmerdeuse. Sans eux, rien n'aurait été possible, l'orgueil et tous le reste....J'ai baissé les armes, face aux moulins à vent, je me suis inclinée, peut importe qui est premier ou second, cela n'a aucune importance, tout est dans la tête, et, non, je n'ai pas de volonté, simplement écouter les personnes et prendre ce qui me convient. Je vous souhaites à tous un courage et une détermination de vouloir connaitre la joie et le bonheur.Cordialement. Momo.
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Anonyme (61 ans)
Nationalité belge
21 décembre 2020

Je ne compte plus les années de tabagisme. J’ai failli arrêter plusieurs fois – mais chaque fois avec une rechute à la clef. Il y 2 ans, je me décide à aller voir un tabacologue pour m’aider dans cette démarche. Il me prescrit du Champix et ne parle jamais du Zyban. Champix avec, soit disant, des effets secondaires négligeables. Confiante, je me lance. Et cela marche effectivement très bien. Des rêves incroyables la nuit, pratiquement pas d’envie de fumer de jour. Pas de manque et donc soit disant pas de prise de poids non plus. Après quelques semaines, ou cela marche vraiment très bien, mon moral commence à décliner au point d’avoir des envies suicidaires. J’en parle au toubib qui me dit « on arrête tout » - sans expliquer pourquoi. Il me donne des patchs, des chewing gum etc…. peine perdue. En moins de 6 mois, j’ai rencontré 3 personnes qui ont vécu exactement la même chose que moi avec le Champix – y compris la dame qui m’a recommandé le Zyban. Champix ou pas, c’est 10 kgs dans la vue, dans le mois qui suit – un peu décourageant, car du coup, je me sens comme une tour, mais pas pour les mêmes raisons. Eh oui, dilemme…. Je vais essayer avec le Zyban
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Anonyme (35 ans)
Nationalité Suisse
08 avril 2020

Bonjour tout le monde, Après 3 ans, cette merde de clope est derrière moi ! Mon sentiment de fierté est tellement grand que j'en ai la larme à l’œil 😊 Il faut dire que cela n'a pas été facile : J’ai arrêté d’un coup sans substitut alors que je fumais depuis 12 ans un paquet par jour. J’ai surtout donné un rôle beaucoup trop important à la clope dans ma vie. J’ai donc du tout réapprendre (socialement et psychologiquement) pour vivre bien et heureuse sans cette saleté ! Voici quelques conseils qui pourront peut-être en aider certains : > LIRE « La méthode simple pour en finir avec la cigarette » d’Allen Carr. Cela aide à prendre le problème rationnellement et intelligemment. > Décider d’arrêter POUR TOUJOURS (jeter ses clopes dans la poubelle) et s’imaginer qu’on avance. Chaque pas, chaque jour nous éloigne de la cigarette. Cette merde est derrière nous. > Quelques soient les obstacles, apprendre à les GÉRER SANS LA CLOPE. Depuis quand une drogue est-elle une bonne solution ? On apprend, on s’arme autrement pour la vie et on en ressort plus fort ! > Pas de « juste une clope »! On ne se pose plus la question, ON EST NON- FUMEUR. > Quand on a un coup de mou ou de bad on se dit : « Tu peux le faire, t’es un warrior » et « Ce qui ne tue pas rend plus fort ». Ça marche, c’est le POUVOIR DE LA PENSÉE POSITIVE. > STOP LE FANTASME DU PETIT FUMEUR : les gens qui ne fument qu'une clope de temps en temps n'arrêtent jamais pour de bon! Ne plus avoir besoin de clope du tout, c’est encore mieux ! > Certains EFFETS SECONDAIRES peuvent perturber mais soyons forts. Ce n’est pas la fin du monde et je dirais même que cela aide à réaliser que c’est une drogue (et que notre corps réagit au sevrage). > SE FAIRE AIDER : hotline stop tabac, thérapie TCC, entretien avec tabacologue, etc. Il y a plus d’une carte à jouer pour s’en sortir ! > On peut devenir + SOCIABLE et à l’aise sans clope. C’est magique ! > Le SPORT et les grandes INSPIRATIONS d’air pur ça aide vraiment. > Perso, j’ai décidé de NE PAS ÉVITER LES FUMEURS. J’ai juste adapté un peu les choses (par exemple avec une boisson à la main plutôt qu’une clope pour les pauses avec les collègues). Mais à chacun de trouver son équilibre à ce niveau-là. Voilà, bonne chance à tous et bravo !!! Gaby
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Joëlle (64a ans)
Nationalité France
02 juillet 2018

Bonjour, Le 11 octobre 2016, après une grosse infection aux poumons, le radiologue m'a bien "secouée" et a réussi à me motiver afin que j'arrête de fumer. Je suis allée chez un tabacologue car je fumais 50 cigarettes par jour. Il me fallait absolument une aide car je n'étais pas à ma première tentative d'arrêt . Donc, j'ai eu droit à la totale, patch, cigarette électronique, nicorettes. Depuis bientôt deux ans, je n'ai pas ressenti l'envie de reprendre une cigarette, j'ai arrêté les patch et les nicorettes au bout de 4 mois et la cigarette électronique (sans nicotine) il y a un mois. J'ai pris 5 petits kilos qui sont les bienvenus car j'étais très maigre !!!!!!! Depuis le 11 octobre 2016, JE REVIS je refais du sport et j'ai une résistance hallucinante plus d'essoufflement .Et je vous garantis que vous pouvez TOUS arrêter de fumer, si moi j'ai arrêté tout le monde peut, j'ai aidé deux amies à arrêter .... Bon courage pour votre sevrage ....
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