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"tabagisme" (41)

Benoit (41 ans)
Nationalité Française
25 novembre 2021

Après plusieurs tentatives infructueuses, cela fait desormais 66 jours que j'ai arrêté de fumer en utilisant des patchs (d'abord 14mg et maintenant 7mg). Grâce à la volonté et aux patchs, le premier mois s'est passé sans encombre majeur. Mais les choses se sont ensuite compliqué. Je me suis senti glisser dans l'anxiété jusqu'à sombrer dans une dépression dont je ne suis pas encore sorti aujourd'hui. J'ai repris un traitement antidepresseur et des anxiolytiques pour tenir. J'ai un terrain dépressif et des raisons d'être un peu désemparé en ce moment. Mais j'ai vraiment senti que le sevrage m'avait fait plonger. Tout ceci pour inciter à la prudence ceux qui arrêtent alors qu'ils ont déjà traversé des phases de dépression majeure. Le lien entre tabagisme et depression se fait dans les deux sens. Mais il faut vraiment aller bien quand on décide de quitter la clope. Finalement, aujourd'hui je vais mal. C'est dur. Je suis suivi et je prends des medocs. Mais jusque là, je n'ai pas retouché au tabac. Je veux d'abord me sortir du tabagisme. Que c'est dur ! Mais je ne veux pas lâcher. Bon courage à vous tous qui vous battez pour en sortir.
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Georges (67 ans)
Nationalité Allemagne
09 août 2021

Je fus un fumeur invétéré, et au moment de ma prise de décision d'en finir avec le tabagisme je consommais deux paquets de cigarettes par jour...Et de ces cigarettes de tabac brun qui empestent, sans filtre, celles-là qui étaient distribuées dans l'armée dans les années"60". Conscient des désagréments que générait mon comportement auprès de mon entourage, du mauvais exemple que je donnais à mes enfants, des effets néfastes sur ma santé (et nous n'évoquions pas à l'époque la notion de tabagisme "passif"!) et surtout la stupidité de mon geste, j'ai pris la décision de mettre fin " à la cigarette"; Il a fallu franchir la pas. En complément de mon analyse j'ai estimé que je n'appréciais en fait que quatre à cinq cigarettes par jour sur la quarantaine consommées, et que dans la mesure où j'arriverais à résister à celles-ci le combat serait gagné. Par ailleurs j'acceptais de moins en moins l'ineptie de ce geste dans lequel par amour propre je refusais de me reconnaître en lui... Fort de ces arguments, et étant conscient que le principe du "tout ou rien" était le seule valable, profitant d'une période de congé, j'ai mis fin, du jour au lendemain, à ma pratique. Clés de la réussite après la prise de décision: * savoir résister aux quatre ou cinq cigarettes qui nous semblent impératives ( le matin, après les repas..). Il faut savoir alors endurer l'envie durant une à deux minutes par cigarette, et se divertir pendant ce moment là. Au bout de quatre à cinq semaines l'intensité du besoin s'estompe pour disparaître complètement au bout de deux à trois mois. * avoir une volonté sans faille, ne plus accepter de porter une cigarette aux lèvres * faire de l'exercise physique * refuser de penser que nous sommes des victimes de la société et que le tabac (pour ne parler que de lui) nous permet de combattre le spleen. Après mon expérience, j'ai la conviction que seule la volonté et le bon sens permettent de mettre un terme à l'habitude de fumer. Je ne peux que laisser aux lecteurs de mon témoignage, le soin d'imaginer quels peuvent être mes sentiments envers les "patchs" et autres méthodes d'hypnose proposés par ci par là, et qui couvert d'apporter une solution aux inconditionnels du tabac recèlent une action commerciale très lucrative. Cependant, si l'une d'elles peut permettre d'aboutir, pourquoi pas! mais je reste convaincu que seuls la volonté et le bon sens constituent la clef de la réussite. Et que dire des belles sensations que le tabac nous a occulté durant toute la période où nous en sommes les victimes et que nous découvrons à nouveau dés qu'il a fini de sévir!
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Anonyme (56 ans)
Nationalité Française
15 janvier 2021

Je viens de passer le cap des cent jours sans une cigarette et je suis fier de moi tout en étant encore surpris voire incrédule d’y être arrivé! Je sais que la route est encore longue (il m’arrive régulièrement de rêver que je fume par exemple) mais ma détermination reste totale. Alors comment ce miracle s’est-il accompli après 40 années de tabagisme et en moyenne 40 cigarettes par jour? Tout d’abord prise de conscience d’un état de santé en dégradation exponentielle avec en particulier une toux grasse incessante. Consultations médicales pour une hypertension faible mais bien présente et nouvelle, réalisation que l’effort physique devient de plus en plus pénible et autres signes désagréables: je me persuade que l’origine de ces désagréments vient du tabagisme. Je me forge une stratégie pour essayer ce que je crois être le plus adapté dans mon cas (et attesté par une ancienne collègue comme étant efficace): le CHAMPIX Comme prescrit, prise des premières pilules 2 semaines avant la date choisie. À cette date je pars de bon matin en voyage chez un vieil ami non fumeur avec qui je passe les trois premières semaines de sevrage avec un régime alimentaire sain, une activité physique quotidienne (marche) et nombre d’activités touristiques et sociales. De retour à mon environnement habituel j’ai réussi à maintenir le rythme et à graduellement abandonner sans presque m’en apercevoir la prise quotidienne des 2 pilules avant le terme de la prescription normale. Le médicament n’a pas provoqué d’effets secondaires indésirables dans mon cas. Bref, pour l’instant ça marche et je croise les doigts pour ne jamais succomber de nouveau à la tentation nicotinique... Ce qui est primordial c’est la démarche intellectuelle, tout se joue dans la tête. Conviction, auto persuasion, se défier soi-même...l’encouragement et l’appui de l’entourage qu’on peut solliciter en dévoilant ouvertement le défi d’arrêter sont évidemment un bonus. Bon courage et bonne chance à tou.te.s! PS: merci à stop-tabac.ch 😉
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Anonyme (24 ans)
Nationalité Suisse
02 octobre 2020

Je pourrais vous détailler pleins de choses sur ce que j'ai eu durant mes derniers mois de tabagisme, mais ca serait un roman.. Depuis 2017 fumeur occasionnel de THC, de plus en plus en 2018 et j'ai commencé la clope en novembre 2019, fumant d'abord 10 par jour puis 15 dès début 2020, avec une 20aine de joints par semaine à côté. En avril pendant le confinement grosse crise de panique ou d'angoisse, avec sensations de gêne dans la gorge et pression peu douloureuse sur le thorax et sensation de sentir le pouls battre dans la zone du thorax, enfin bref, des sensations qui se sont estompées très lentement.. Juin 2020, fin conso courante de THC et très rare ensuite, jusqu'à arrêter la clope... totalement... ce 15 septembre 2020, avec une Vype depuis. Les dernières semaines, mon envie d'arrêter n'était pas manifeste mais ma conscience me le répétait. je fumais 10 cigarettes roulées et 2-3 industrielles par jour, et tellement je tirais fort que je fumais 1 clope sur 2 sans filtre avec toncar simplement, tout en était conscient que j'étais entrain de me tuer à petit feu. Puis un matin en allant rattraper le bus, j'ai du arrêter de courir, je n'avais pas l'endurance pour. Cela m'a fait tilt... En résumé, dix mois de tabagisme, j'ai compté presque 3500 cigarettes au total, je prie maintenant pour que ma santé s'en remette et qu'on ne me diagnostique pas une saloperie de maladie dans les prochaines années. Je ne dirai jamais que je ne fumerai plus, mais là, c'est décidé, j'arrête la clope, je vapote pour compenser, et un jour j'arrêterai tout, et je reprendrai le sport. Je tiens trop à ma vie pour la bousiller à 24 ans avec une addiction complètement inutile. Fumeurs rassurez vous, je n'ai pas changé d'avis sur la clope, j'ai adoré fumé et je ne renie pas du tout mon passé de fumeur.. juste envie de passer à autre chose et de ravoir un souffle et une qualité de vie de non fumeur, celle que je n'ai plus depuis l'automne dernier. Arrêter ce n'est pas facile quand on adore fumer, mais n'attendez pas qu'une maladie vous en persuade.. Si il y a quelque chose que l'on peut fumer sans risque, qu'on me dise quoi... je crois que j'ai toute la vie pour trouver une réponse qui n'arrivera jamais.
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Patrick (53 ans)
Nationalité Française
31 octobre 2012

A l'époque nous étions très jeunes, pleins de vie et rien ne nous disposait à fumer si ce ne sont peut-être le contexte, la pub, la TV et les films. A cette époque, nous étions déjà soldats ou presque, des enfants de troupe. Univers exclusivement masculin, l'armée était sensée faire de nous des "hommes" mais beaucoup y ont découvert le tabagisme, l'alcoolisme et tous les excès liés à la vie cloitrée en collectivité. A cette époque, nos héros s'appelaient Joss, John, Garry and Co et tous, sans exception se déclinaient à l'écran cigarettes aux lèvres. Aujourd'hui, lorsqu'il m'arrive de regarder de vieux films comme "garde à vue", "les tontons fligueurs" ou des séries comme "le commissaire bourel", le nombre de cigarettes consommées à la minute par acteur est effarant ! A cette époque, la télévision n'avait pas encore envahit tous les foyers, le cinéma étant pour beaucoup l'occasion de voir des films, mais la publicité s'en donnait déjà à coeur joie. La cigarette était un mode de vie, un moyen de s'intégrer dans la société et même, un statut. Les non-fumeurs étaient quasi montrés du doigt, raillés par les potes et parfois même, par les proches. N'avoir pas fumé à l'adolescence, c'était comme être puceau à 15 ans, une aberration, un sacrilège, un outrage ! A cette époque, il nous arrivait de croiser les pensionnaires du lycée, les péquins comme on disait alors, et force était de constater que l'uniforme n'était pour rien dans l'usage du tabac. A cette époque, nous étions tous sportifs ou presque, ou bien on ne nous laissait pas le choix, et nul ne trouvait incohérent de pratiquer conjointement l'activité physique et le tabagisme, parfois juste avant une épreuve, parfois juste après, rarement pendant, quoique! De cette époque lointaine, je n'ai gardé outre de bons et mauvais souvenirs, que la pratique du sport et de la cigarette. 40 ans se sont ainsi déroulés et personne pour vous dire qu'il faut choisir. "Boire ou conduire" était juste le slogan qu'il fallait bien retenir, mais pour le reste... Je peux fort bien comprendre qu'aujourd'hui des jeunes se mettent encore et toujours à fumer, malgré les campagnes d'intoxication et de prévention, car le contexte n'a toujours pas changé... Outre le mal-être que l'on peut ressentir à un âge où tout se bouscule autour de nous, le mattraquage publicitaire n'a jamais cessé, remplaçant le Cow-boy et sa Marlboro, le flic et sa Gauloise, par un slogan conjugant à tous les temps le verbe "fumer", déclinant sous toutes ses formes le mot "tabac"... Hier la société se taisait et laissait faire, aujourd'hui elle ne cesse de hurler stop, arrêtez, prenez garre... car le tabac est en danger ! Depuis ces temps reculés, j'ai juste modifié ma façon de fumer. Enfant de troupe puis soldat et sous-off, la cigarette se devait d'être forte: alors elle était brune et le filtre était exclus. Il a suffit que l'armée remplace ses paquets dans les rations pour que la mode change et surtout, le regard de l'autre. Exit tous les sobriquets associés au fumeur de blondes, on n'avait désormais le choix de la couleur et de la forme. Du coup, l'irrascible fumeur de sans filtres brunes était retrogradé au rang d'antiquité, de hasbeen! En quittant cet univers machiste et rustique, je pensais tirer un trait sur ces pratiques d'un autre temps, mais il n'en fut rien. Je pensais que la présence de femmes au travail permettrait d'arrondir les angles, qu'il n'y aurait plus cette épée de Damoclès sur la tête "fume ou tu vas passer pour un extra terrestre"... La cigarette était à la vie ce que le gasoil était à la voiture. "Quoi tu roules en diesel ???" Tout s'est depuis démocratisé, le diesel a pris le dessus et la cigarette est montrée du doigt... mais pour combien de temps. Déjà, on entend poindre à l'horizon les méfaits de ce carburant sur la santé et la cigarette pourrait être réhabilitée ne serait-ce pour lutter contre un nouveau fléau, la drogue ! Aujourd'hui, j'ai 53 ans et je n'ai jamais cessé de fumer. Oh, c'est sans commune mesure avec les 2 ou 3 paquets de jadis: Je ne fume "plus que" 5/7 cigarettes par jour, mais ça ne s'est pas fait du jour au lendemain. Je n'ai jamais pu ou su m'arrêter. J'ai bien essayé les patches, les gommes, les aiguilles and co mais c'était sans grande conviction. Certains ont fonctionné, 3 jours, 2 semaines voire 1 mois mais tôt ou tard, le contexte, la vie vous rattrapent et comme vous êtes encore indécis, elle n'a guère de mal à vous convaincre de revenir... Il y a 3 ans pourtant, j'ai décidé de recourir à nouveau au patch, non pas pour arrêter, juste pour réduire ma consommation et ça fonctionne. S'il m'arrive de l'oublier, la sanction est immédiate. Sauf que désormais, je suis devenu addict au patch et je n'ai toujours pas cessé de fumer. Lequel des deux aura ma peau, je l'ignore, car depuis 3 ans je souffre de migraines. Est-ce l'âge, le tabac, l'association avec le patch, un nouveau contexte ??? je l'ignore ! Mais je ne désespère pas un jour de trouver mon équilibre. Je gage juste que cela se fasse de gré et non, contraint et forcé par la maladie...
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Olfa (47 ans)
Nationalité Belgique
06 janvier 2024

Bonjour, Ça va faire 3 mois que j'ai arrêté. J'ai toujours des symptômes : maux de tête, nausées. Mais mon appétit est redevenu normal et la constipation est enfin passé. Je sens mes poumons qui me brûlent ces derniers temps et que fais de l'asthme par moments ( puff cortisone a petite dose pour aider) et aussi je sens du mucus qui s'évacue. "Bon signe" d'après le médecin. Et ça risque de durer m'a t'il dit . Il m'a aussi confirmé que le sevrage tabagique était le plus compliqué de tous. Car c est une drogue, (et oui la cigarette est une drogue) facile a trouver et peu cher. Je ne reprendrai plus jamais la cigarette, de ça, j en suis certaine. J'étais une fumeuse de 20 cigarettes à 10, pour 7, les tubées et pour finir des roulées avec des phases de non tabagisme pour reprendre car j'étais entourée de fumeurs ! Donc j'ai pris une décision : M'isoler des fumeurs, au début et prendre des patch pendant 1 mois. (La fumé, aujourd'hui me dérange fortement car elle me donne des nausées. ) Et les patch fonctionnent très bien quand on a le bon dosage . (1 mg=1 cigarette normal. ) Du coup, a part les symptômes que j'ai encore , j'ai une peau plus clair, la couleur de mes lèvres sont roses et mes dents ont aussi éclaircis. Je monte les escaliers plus facilement, deux volets et je suis beaucoup moins essoufflée, évidemment. Mais je ne suis pas encore capable de courir 5 km . Bientôt .... Voilà . Courage a tous et bonne chance a ceux qui vont penser a eux positivement en arrêtant de fumer .
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Yaya (61 ans)
Nationalité Française
10 décembre 2023

Deuxième jour sans tabac après 45ans de tabagisme. Je me sens très heureuse et j’entends bien continuer. J’ai reçu une amie aujourd’hui qui est sortie 4 fois fumer. 1 demi heure de perdue dans le froid et je me suis dit que c’est idiot de se priver du plaisir d’être avec son amie pour fumer. Bien entendu, je ne lui ai rien dit mais j’étais contente d’avoir eu cette pensée. Que de bons moments perdus dehors dans le froid de l’hiver pour m’adonner à ce vice ai-je perdu en 45ans. Sans parler de cette toux récu récurrente qui ne me lâche plus depuis des semaines. J’ai fait plusieurs tentatives stop tabac mais je sens que celle-ci est la bonne, ma motivation est puissante. Merci à STOP TABAC et à La Tribune, grâce à vous, je me sens moins seule.
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marine75011 (65 ans)
Nationalité francaise
05 octobre 2023

Bonjour ! J'entame mon 9 éme mois de l arrêt du tabac sans aide de qui que se soit ! tout est dans la tète ! Je fumais depuis plus de 20 ans 1 paquet 1/2 /par jour j ai eu des bronchites chroniques a répétition , je me sentais diminuée, essoufflée , fatiguée, tout ce qui est néfaste pour le corps et la sante Un matin après le petit déjeuner je désirais fumer une cigarette et soudainement l envie de vomir Le signal mon corps a dit STOP et je lui ai obéit J ai arrêté totalement Aucune envie de reprendre Je suis dans l autre étape le sevrage quelle souffrance je ne comprenais pas pourquoi j avais mal dans les jambes les articulations des membres du coup j allais au parc marcher pendant des heures et en rentrant impossible de me lever normalement tellement les muscles de mes jambes me faisait souffrir , je ne savais pas que c était le sevrage ! Avant d en connaitre les résultats de mes questions sur le sevrage j ai fais une cure de calcium et enfin les réponses a mes questions je les ai obtenues Il est normal d avoir mal partout après l arrêt du tabac car tout notre corps a été intoxique pendant des années A ce jour je ne souffre plus , je respire tellement bien , j'ai plus de râles , la peau de mon visage est repulpé je vis je suis heureuse sans être soumise au tabagisme Je suis fiere de moi
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Anonyme (38 ans)
Nationalité Belge
07 décembre 2022

Bonsoir (ou bonjour), Je fume depuis mes 12 ans. Mes parents étaient de très gros fumeurs (3 paquets par jour) à une époque où le tabagisme passif n’était qu’un discours de bobo de la santé. Ils fumaient partout dans la maison et la voiture, les fenêtres fermées. Autant dire que j’ai grandi avec la cigarette comme 3e parent… Vers 20 ans, j’en étais déjà à un paquet par jour. À 28 ans, à deux paquets. À 38, je fumais 35 à 45 cigarettes par jour. Même pendant ma grossesse (36 ans), je n’ai jamais réussi à arrêter totalement (2-3 cigarettes par jour à certains moments, rien à d’autres). Dès mon accouchement, comme je n’allaitais pas, j’ai repris comme avant. Depuis le 21/11, j’ai commencé sans trop me dire pourquoi, la cigarette électronique. En quelques jours, j’ai réduit ma consommation à une douzaine de cigarettes par jour. Puis en moins d’une semaine, je fumais moins de dix cigarettes par jour. Aujourd’hui, début décembre, je ne fume plus qu’une vingtaine de cigarettes par semaine. J’ai encore du chemin à faire. Je ne suis plus qu’à 6mg de ecig et encore quelques cigarettes par semaine. Tout le monde me dit que j’ai une super mine mais pensent que c’est à cause d’un changement de fonction car très peu de gens savent que j’essaie d’arrêter. Comme je l’ai lu dans d’autres témoignages, je ne l’ai pas annoncé pour éviter des questions du style « ça va, tu tiens ?? ». Cette guerre est entre moi et la cigarette, c’est déjà assez compliqué. Alors non je n’ai pas encore totalement arrêté. Mais je vais y arriver cette fois (je ne détaille et ne compte plus mes tentatives) car je fais cette démarche par conviction et non par obligation. Doucement mais sûrement. Aujourd’hui j’ai eu de violents maux de tête et j’ai fumé 3 cigarettes. Les maux de tête sont passés. Mon chemin est probablement encore long mais l’objectif est clair. Et la victoire sera mienne, sans m’imposer un arrêt complet dès le 1e jour ni même une date limite car cela m’a toujours fait échouer. Mais au final, je serais une non fumeuse. C’est une promesse envers moi-même et un message d’encouragement à celles et ceux qui essaient d’arrêter : allez-y à votre rythme et selon ce que votre corps accepte. Si vous mettez six ou douze ou vingt-quatre mois à vous arrêter c’est pas grave. L’objectif est important, pas le chemin. Courage et n’oubliez jamais votre but.
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Mathieu (56 ans)
Nationalité Suisse
12 août 2021

Bonjour, je pense maintenant être parmi les ex-fumeurs. J'ai arrêté le 7 septembre 2019, grâce à votre site découvert par hasard... J'ai vu les témoignages d'autres personnes, j'ai ouvert moi-même mon blog et j'ai reçu des témoignages d'autres personnes qui comme moi voulaient arrêter... J'ai consulté le site régulièrement, j'ai encouragé moi aussi d'autres personnes... En fait c'est un pari avec soi-même, si d'autres y arrivent pourquoi pas moi, c'est le défi que je me suis donné et jusqu'à présent je tiens...39 ans de tabagisme cela suffit...C'est vrai que cela n'est pas facile, mais au dur et à mesure que les jours passent on se sent mieux et surtout fier, heureux, j'ai récupéré du souffle je me sens mieux et je fais des économies...En 39 ans j'ai essayé au moins 50 fois d'arrêter sans succès...Le jour ou je suis tombé sur le site Stop Tabac, cela à été pour moi le déclic, les articles, les témoignages tout est fait pour vous aider et je trouve cela génial... J'étais alcoolique, je suis maintenant abstinent. Pourtant j'ai des problèmes comme tout le monde, mais je n'ai plus besoin d'un verre ou d'une clope pour les régler... Dans la joie comme dans la peine ce n'est ni l'alcool, ni le tabac qui nous aident, c'est un LEURRE...Une impression de bien être qui est très passagère, mais insidieuse car il faut augmenter les doses régulièrement et lorsque l'on se rend compte du problème, généralement il est déjà trop tard, nous sommes dépendants, et la pas facile, j'arrête! mais demain! Je pourrais vous écrire des pages, mais je veux juste vous dire pour ceux qui le veulent : OUI C'EST POSSIBLE... Bien amicalement, merci encore à vous.
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